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Sur prescription seulement
Comprimé pelliculé sécable
Neurologie-psychiatrie, Antidépresseurs, Antidépresseurs non imipraminiques, non IMAO, Antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), Escitalopram
Escitalopram
Episode dépressif majeur, Trouble panique avec ou sans agoraphobie, Phobie sociale, Anxiété généralisée, Trouble obsessionnel compulsif
Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial. Trouble panique avec ou sans agoraphobie (implicite)
5 mg en une seule prise journalière pendant 1 semaine.
ou ½ comprimé en une seule prise journalière pendant 1 semaine.
Adulte de 18 ans à 65 ans (implicite)
10 mg en une seule prise journalière. Maximum 20 mg par jour.
ou 1 comprimé en une seule prise journalière. Maximum 2 comprimés par jour.
Sujet âgé de plus de 65 ans (implicite)
5 mg en une seule prise journalière. Maximum 10 mg par jour.
ou ½ comprimé en une seule prise journalière. Maximum 1 comprimé par jour.
Voie orale
Contre-indiqué dans les cas suivants : Allongement de l'intervalle QT, Patient de moins de 6 ans, Patient de 6 à 18 ans, Consommation d'alcool, Grossesse, Allaitement
Les effets indésirables sont surtout notés durant la première ou la seconde semaine du traitement et s'estompent habituellement par la suite en intensité et en fréquence.
Liste tabulée des effets indésirables.
Les effets indésirables connus pour la classe des ISRS et également rapportés pour l'escitalopram dans des études contrôlées versus placebo ou rapportés spontanément depuis la commercialisation, sont listés ci-dessous par classe système-organe et selon leur fréquence.
Les fréquences sont issues des études cliniques ; elles n'ont pas été corrigées comparativement au placebo.
Les fréquences sont ainsi définies : très fréquent (³ 1/10), fréquent (³ 1/100 à < 1/10), peu fréquent (³ 1/1 000 à < 1/100), rare (³ 1/10 000 à < 1/1 000), très rare (< 1/10 000) ou fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classes de systèmes d'organes | Fréquence | Effet indésirable |
Affections hématologiques et du système lymphatique | Fréquence indéterminée | Thrombocytopénie |
Affections du système immunitaire | Rare | Réaction anaphylactique |
Affections endocriniennes | Fréquence indéterminée | Sécrétion inappropriée d'ADH |
Troubles du métabolisme et de la nutrition | Fréquent | Perte d'appétit ou augmentation de l'appétit, prise de poids |
Peu fréquent | Perte de poids | |
Fréquence indéterminée | Hyponatrémie, anorexie1 | |
Affections psychiatriques | Fréquent | Anxiété, impatiences, rêves anormaux, baisse de la libido Chez la femme : anorgasmie |
Peu fréquent | Bruxisme, agitation, nervosité, attaques de panique, état confusionnel | |
Rare | Agressivité, dépersonnalisation, hallucinations | |
Fréquence indéterminée | Manie, idées suicidaires, comportement suicidaire 2 | |
Affections du système nerveux | Très fréquent | Céphalées |
Fréquent | Insomnie, somnolence, sensations vertigineuses, paresthésies, tremblements | |
Peu fréquent | Dysgueusie, troubles du sommeil, syncope | |
Rare | Syndrome sérotoninergique | |
Fréquence indéterminée | Dyskinésies, mouvements anormaux, convulsions, agitation psychomotrice/ akathisie1 | |
Affections oculaires | Peu fréquent | Mydriase, troubles visuels |
Affections de l'oreille et du labyrinthe | Peu fréquent | Acouphènes |
Affections cardiaques | Peu fréquent | Tachycardie |
Rare | Bradycardie | |
Fréquence indéterminée | Allongement de l'intervalle QT, arythmie ventriculaire incluant des torsades de pointes | |
Affectionsvasculaires | Fréquence indéterminée | Hypotension orthostatique |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Fréquent | Sinusite, bâillements |
Peu fréquent | Epistaxis | |
Affections gastro-intestinales | Très fréquent | Nausées |
Fréquent | Diarrhées, constipation, vomissements, bouche sèche | |
Peu fréquent | Hémorragies gastro-intestinales (incluant des rectorragies) | |
Affections hépatobiliaires | Fréquence indéterminée | Hépatite, anomalie du bilan hépatique |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Fréquent | Hypersudation |
Peu fréquent | Urticaire, alopécie, éruption cutanée, prurit | |
Fréquence indéterminée | Ecchymoses, angioedèmes | |
Affections musculo-squelettiques et systémiques | Fréquent | Arthralgies, myalgies |
Affections du rein et des voies urinaires | Fréquence indéterminée | Rétention urinaire |
Affections des organes de reproduction et du sein | Fréquent | Chez l'homme : troubles de l'éjaculation, impuissance |
Peu fréquent | Chez la femme : métrorragie, ménorragie | |
Fréquence indéterminée | Galactorrhée Chez l'homme : priapisme Hémorragie du post-partum3 | |
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Fréquent | Fatigue, fièvre |
Peu fréquent | Œdème |
1 Ces effets indésirables ont été rapportés pour la classe thérapeutique des ISRS.
2 Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par escitalopram ou peu après son arrêt (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
3 Cet événement a été rapporté pour la classe thérapeutique des ISRS et IRSNA (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, Fertilité, grossesse et allaitement).
Allongement de l'intervalle QT
Des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmie ventriculaire incluant des torsades de pointes, ont été rapportés depuis la commercialisation, en particulier chez les femmes et les patients présentant une hypokaliémie, un allongement de l'intervalle QT pré-existant ou d'autres pathologies cardiaques (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions, Surdosage et Propriétés pharmacodynamiques).
Effets de classe
Des études épidémiologiques, réalisées principalement chez des patients âgés de 50 ans et plus, montrent un risque accru de fractures osseuses chez les patients recevant des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou des antidépresseurs tricycliques. Le mécanisme conduisant à ce risque est inconnu.
Symptômes observés lors de l'arrêt du traitement
L'arrêt du traitement par ISRS/IRSNa (particulièrement lorsqu'il est brutal) conduit habituellement à la survenue de symptômes liés à cet arrêt. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies et sensations de choc électrique), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients.
Il est donc conseillé lorsqu'un traitement par escitalopram n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/
Ces mises en garde et précautions d'emploi s'appliquent à la classe thérapeutique des ISRS (Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine).
Population pédiatrique
L'utilisation de SEROPLEX est déconseillée chez la population pédiatrique. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez la population pédiatrique traitée par antidépresseurs par rapport à celle traitée par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de tolérance à long terme chez la population pédiatrique concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
Anxiété paradoxale
Certains patients souffrant de trouble panique peuvent présenter une exacerbation des symptômes anxieux en début de traitement par antidépresseur. Cette réaction paradoxale s'estompe généralement au cours des deux premières semaines de traitement. Il est donc conseillé de débuter le traitement à faible dose afin de réduire le risque de survenue de cet effet anxiogène (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Convulsions
L'escitalopram doit être interrompu si le patient présente des convulsions pour la première fois ou si la fréquence des convulsions augmente (pour les patients chez qui une épilepsie a été diagnostiquée précédemment). Les ISRS doivent être évités chez les patients présentant une épilepsie instable. En cas d'épilepsie contrôlée, une surveillance étroite des patients est recommandée.
Episodes maniaques
Les ISRS doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant des antécédents d'épisodes maniaques ou d'hypomanie. Les ISRS doivent être interrompus en cas d'accès maniaque.
Diabète
Un traitement par ISRS chez les patients diabétiques peut perturber l'équilibre glycémique (hypoglycémie ou hyperglycémie). Un ajustement posologique de l'insuline et/ou des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
Suicide/idées suicidaires ou aggravation clinique
La dépression est associée à un risque accru de pensées suicidaires, d'auto-agressivité et de suicide (événements liés au suicide). Ce risque persiste jusqu'à l'apparition d'une rémission significative. Comme l'amélioration peut ne pas apparaître au cours des toutes premières semaines ou plus de traitement, les patients doivent être surveillés étroitement jusqu'à ce qu'une telle amélioration apparaisse. L'expérience clinique générale laisse penser que le risque de suicide peut augmenter au cours des premières périodes du rétablissement.
Les autres troubles psychiatriques pour lesquels SEROPLEX est prescrit peuvent aussi être associés à un risque accru d'événements liés au suicide. De plus, ces troubles peuvent coexister avec un épisode dépressif majeur. Les précautions observées pendant le traitement des patients présentant un épisode dépressif majeur doivent donc également être appliquées aux patients traités pour d'autres troubles psychiatriques.
Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose.
Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
Akathisie/impatience psychomotrice
L'utilisation des ISRS/IRSNa a été associée au développement d'une akathisie, caractérisée par des impatiences ressenties comme désagréables ou pénibles et un besoin de bouger souvent, ainsi que par une impossibilité à rester assis ou debout tranquillement. Ces troubles surviennent le plus souvent au cours des toutes premières semaines de traitement. Une augmentation de posologie peut être préjudiciable aux patients ayant développé ces symptômes.
Hyponatrémie
De rares cas d'hyponatrémie, probablement dus à une sécrétion inappropriée de l'hormone antidiurétique (SIADH) ont été décrits avec les ISRS. Cette hyponatrémie disparaît généralement à l'arrêt du traitement. La prudence est recommandée chez les patients à risque tels que les personnes âgées, les patients présentant une cirrhose ou en cas d'association avec d'autres médicaments hyponatrémiants.
Hémorragie
Des troubles hémorragiques cutanés, tels qu'ecchymoses et purpura, ont été décrits avec les ISRS. Les ISRS et IRSNA peuvent augmenter le risque d'hémorragie du post-partum (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement et Effets indésirables). La prudence est recommandée en particulier chez les patients traités par des anticoagulants oraux ou des médicaments connus pour altérer la fonction plaquettaire (par exemple, parmi les antipsychotiques : les atypiques ou les phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques, l'acide acétylsalicylique, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), la ticlopidine, le dipyridamole) et chez les patients dont la tendance aux hémorragies est connue.
E.C.T (électroconvulsivothérapie)
En raison du peu de données cliniques disponibles sur l'administration d'un ISRS simultanément à une électroconvulsivothérapie, la prudence est recommandée.
Syndrome sérotoninergique
La prudence est recommandée si l'escitalopram est associé à des médicaments sérotoninergiques tels que les triptans (incluant le sumatriptan), les opioïdes (incluant le tramadol), et le tryptophane. De rares cas de syndrome sérotoninergique ont été décrits chez des patients associant un traitement avec des ISRS et des médicaments sérotoninergiques. Des symptômes tels qu'une agitation, des tremblements, des myoclonies et une hyperthermie peuvent indiquer la survenue d'un tel syndrome. Dans ce cas, cette association doit être immédiatement interrompue et un traitement symptomatique instauré.
Millepertuis
La prise concomitante de préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) peut entraîner une augmentation de la fréquence des effets indésirables (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Symptômes observés lors de l'arrêt du traitement
L'apparition de symptômes de sevrage lors de l'arrêt du traitement est fréquente, particulièrement si l'arrêt est brutal (voir rubrique Effets indésirables). Dans les études cliniques, les effets indésirables rencontrés lors de l'arrêt du traitement surviennent chez environ 25 % des patients traités par escitalopram et 15 % des patients sous placebo.
Le risque de survenue de symptômes liés à l'arrêt du traitement peut dépendre de plusieurs facteurs, dont la durée du traitement, la posologie et l'importance relative de la diminution de dose.
Les réactions les plus souvent rapportées sont les suivantes : sensations vertigineuses, perturbations sensorielles (incluant paresthésies et sensations de choc électrique), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels.
Généralement, ces symptômes sont d'intensité légère à modérée, cependant, ils peuvent être d'intensité sévère chez certains patients. Ils surviennent généralement durant les tous premiers jours d'arrêt de traitement, mais de très rares cas ont été rapportés chez des patients qui avaient par inadvertance oublié une prise.
Généralement, ces symptômes sont spontanément résolutifs et s'estompent habituellement en moins de 2 semaines, bien qu'ils puissent se prolonger dans certains cas (2 ou 3 mois, voire plus). Il est par conséquent recommandé de diminuer progressivement les doses d'escitalopram sur une période de plusieurs semaines ou mois, selon les impératifs du patient (voir "Symptômes observés lors de l'arrêt du traitement", rubrique Posologie et mode d'administration).
Dysfonction sexuelleLes inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (ou norépinéphrine) (IRSN) pourraient causer des symptômes de dysfonction sexuelle (voir rubrique Effets indésirables). Des cas de dysfonction sexuelle dont les symptômes se sont prolongés malgré l'arrêt du traitement par des ISRS/IRSN ont été rapportés.
Coronaropathie
En raison d'une expérience clinique limitée, la prudence est recommandée chez les patients présentant une coronaropathie (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Allongement de l'intervalle QT
Il a été montré que l'escitalopram induit un allongement dose-dépendant de l'intervalle QT. Des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmie ventriculaire incluant des torsades de pointes, ont été rapportés depuis la commercialisation, en particulier chez les femmes et les patients présentant une hypokaliémie, un allongement de l'intervalle QT préexistant ou d'autres pathologies cardiaques (voir rubriques Contre-indications, Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions, Effets indésirables, Surdosage et Propriétés pharmacodynamiques).
La prudence est recommandée chez les patients présentant une bradycardie significative, un infarctus aigu du myocarde récent ou souffrant d'insuffisance cardiaque non équilibrée.
Des anomalies électrolytiques telles qu'une hypokaliémie ou une hypomagnésémie augmentent le risque d'arythmie et doivent être corrigées avant de débuter tout traitement par l'escitalopram.
Si un patient présentant une pathologie cardiaque stabilisée est traité, un contrôle de l'électrocardiogramme (ECG) doit être envisagé avant de débuter le traitement.
Si des signes d'arythmie cardiaque apparaissent pendant le traitement par l'escitalopram, celui-ci doit être arrêté et un ECG doit être effectué.
Glaucome à angle fermé
Les ISRS dont l'escitalopram peuvent avoir un effet sur le diamètre de la pupille, entraînant une mydriase. Cet effet mydriatique peut réduire l'angle de l'oeil, conduisant à une augmentation de la pression intra-oculaire et à un risque de glaucome à angle fermé, en particulier chez les patients prédisposés. L'escitalopram doit donc être utilisé avec précaution chez les patients ayant un glaucome à angle fermé ou des antécédents de glaucome.
Excipients
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Convulsions
Augmentation de la fréquence des crises convulsives
Epilepsie
Antécédent d'épisode maniaque
Antécédent d'hypomanie
Accès maniaque
Diabétique
Antécédent de comportement suicidaire
Idée suicidaire
Patient de 18 à 25 ans
Akathisie
Risque d'hyponatrémie
Sujet âgé
Cirrhotique
Tendance aux hémorragies
Electroconvulsivothérapie
Coronaropathie
Sujet de sexe féminin
Hypokaliémie
Bradycardie
Infarctus du myocarde aigu
Insuffisance cardiaque non contrôlée
Hypomagnésémie
Arythmie cardiaque
Glaucome à angle fermé
Antécédent de glaucome
Insuffisance rénale sévère (Clcr < 30 ml/mn)
Insuffisance hépatique
Patient métaboliseur lent CYP2C19
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Télécharger le documentNoyau : Cellulose microcristalline, Silice colloïdale, Talc, Croscarmellose sodique, Magnésium stéarate, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 400, Titane dioxyde
LUNDBECK
102 TERRASSE BOIELDIEU
92800
Puteaux
Code UCD7 : 9240846
Code UCD13 : 3400892408460
Code CIS : 67219535
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : LUNDBECK
Laboratoire exploitant : LUNDBECK
Prix vente TTC : 5.46€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 5.46€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 21/08/2002
Rectificatif AMM : 30/05/2022
Marque : SEROPLEX
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400935993748
Référence LPPR : Aucune