LOVAPHARM

Principes actifs : Ethinylestradiol

Les gammes de produits

LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

Remboursable

Sur prescription seulement

Contraception orale

Forme :

 Comprimé pelliculé

Catégories :

 Contraception et interruption de grossesse, Contraception hormonale, Estroprogestatifs combinés, Minidosés : = < 0,04 mg d'éthinylestradiol, Monophasiques, Lévonorgestrel + Ethinylestradiol, Lévonorgestrel + Ethinylestradiol : prise sur 21 jours

Principes actifs :

 Ethinylestradiol, Lévonorgestrel

Posologie pour LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

Indications

Contraception orale

Posologie

Adulte Femme . Contraception orale (implicite)
1 comprimé 1 fois par jour au même moment de la journée à prendre régulièrement et sans oubli pendant 21 jours. Puis arrêt pendant 7 jours.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

ARRETER le traitement et CONSULTER immédiatement un médecin en cas de :

- Maux de têtes sévères, prolongés et inhabituels ou crises de migraine plus fréquentes ou plus intenses que d'habitude.

- Augmentation de la tension artérielle.

- Douleur sévère et/ou gonflement net de l'une des jambes.

- Douleur sévère et brutale dans la poitrine, irradiant ou non dans le bras gauche.

- Difficultés à respirer, essoufflement soudain.

- Toux inhabituelle, de survenue brutale, sans cause évidente.

- Trouble de la vue, cécité partielle ou totale, ou vision double.

- Trouble du langage ou incapacité à parler.

- Changement brutal de l'audition, de l'odorat ou du goût.

- Vertiges ou évanouissements.

- Faiblesse, sensation bizarre ou engourdissement très important affectant une partie de votre corps.

- Maux d'estomac sévères, de survenue brutale.

EVITER : - De s'exposer au soleil en cas de mélasme/chloasma apparu lors d'une grossesse ou sous contraceptifs oraux estroprogestatifs.

- La prise de millepertuis (Hypericum perforatum)pendant le traitement (possibilité de diminuer l'efficacité contraceptive du médicament).


Contre-indications pour LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

  • Thrombose veineuse
  • Thrombose artérielle
  • Risque thromboembolique
  • Intervention chirurgicale majeure
  • Prodrome d'accident thrombo-embolique artériel
  • Accident vasculaire cérébral
  • Antécédent d'AVC
  • Antécédent de migraine avec signes neurologiques focalisés
  • Diabète avec atteinte vasculaire
  • Hypertension artérielle sévère
  • Dyslipoprotéinémie sévère
  • Affection hépatique sévère jusqu'au retour à la normale de la fonction hépatique
  • Antécédent d'affection hépatique
  • Tumeur hépatique évolutive
  • Tumeur hépatique ancienne
  • Tumeur estrogénodépendante
  • Saignement vaginal non diagnostiqué
  • Intolérance au galactose
  • Déficit en lactase
  • Syndrome de malabsorption du glucose
  • Syndrome de malabsorption du galactose
  • Allaitement

Effets indésirables pour LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

Niveau d’apparition des effets indésirables

Fréquent

Acné

Aménorrhée

Douleur abdominale

Dysménorrhée

Nervosité

Oedème

Vaginite

Vertige

Somnolence

Tension mammaire

Rétention hydrique

Nausée

Vomissement

Hypertrophie mammaire

Modification de l'humeur

Diminution du poids

Augmentation du poids

Douleur mammaire

Sécrétion mammaire

Modification du flux menstruel

Modification de la sécrétion cervicale

Modifications au niveau du col de l'utérus

Alopécie

Chloasma

Flatulence

Hirsutisme

Hypertension artérielle

Diminution de l'appétit

Crampe abdominale

Exanthème

Augmentation de l'appétit

Intolérance au glucose

Modification des lipides plasmatiques

Accident thrombo-embolique veineux

Urticaire

Accident thrombo-embolique artériel

Réaction anaphylactique

Angio-oedème

Erythème noueux

Ictère cholestatique

Réaction anaphylactoïde

Réaction allergique

Diminution des taux plasmatiques de l'acide folique

Intolérance aux lentilles de contact

Erythème multiforme

Carcinome hépatocellulaire

Accident vasculaire cérébral

Hépatite

Hypertriglycéridémie

Infarctus du myocarde

Lithiase biliaire

Otosclérose

Prurit de cholestase

Tumeur hépatique

Dépression

Embolie pulmonaire

Perte de la vision

Dysfonctionnement hépatique

Modification de la libido

Thrombose veineuse

Syndrome hémolytique et urémique

Accident ischémique transitoire

Colite ischémique

Exacerbation d'une maladie de Crohn

Lésion hépatique

Aggravation d'une porphyrie

Herpès gravidique

Aggravation d'une dépression

Exacerbation d'un lupus érythémateux disséminé

Aggravation de l'épilepsie

Aggravation de lithiase biliaire

Aggravation de cholestase

Vaginite à Candida

Aggravation de colite ulcérative

Atteinte biliaire

Pancréatite avec une hypertriglycéridémie sévère

Exacerbation d'une chorée de Sydenham

Inflammation du nerf optique

Aggravation des varices

Aggravation d'ictère cholestatique


Description de certains effets indésirables particuliers

Une augmentation du risque d'événement thrombotique et thrombo-embolique artériel et veineux, incluant l'infarctus du myocarde, l'AVC, les accidents ischémiques transitoires, la thrombose veineuse et l'embolie pulmonaire, a été observée chez les femmes utilisant des CHC ; ceci est abordé plus en détails en rubrique Mises en garde et précautions d'emploi.

Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours de l'utilisation de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé.

Les fréquences sont définies de la façon suivante :

Très fréquents                          ≥ 1/10

Fréquents                                ≥ 1/100 - < 1/10

Peu fréquents                          ≥ 1/1 000 - < 1/100

Rares                                       ≥ 1/10 000 - < 1/1 000

Très rares                                 < 1/10 000

Fréquence indéterminée            ne peut être estimée sur la base des données disponibles

En outre, les réactions indésirables suivantes ont été rapportées pendant l'utilisation de contraceptifs oraux de type combiné. La fréquence de ces réactions indésirables ne peut pas être calculée d'après les rapports.

·         inflammation du nerf optique (peut conduire à une perte partielle ou complète de vision),

·         exacerbation des varices,

·         pancréatite en cas d'hypertriglycéridémie co-existante sévère,

·         colite ischémique,

·         lésions hépatiques (par exemple hépatite, dysfonctionnement hépatique),

·         pathologie de la vésicule biliaire, y compris lithiase (les contraceptifs oraux de type combiné peuvent provoquer l'apparition d'une pathologie de la vésicule biliaire ou aggraver une pathologie pré-existante de la vésicule biliaire),

·         syndrome hémolytique et urémique,

·         herpès gestationnel,

·         otosclérose,

·         exacerbation d'un lupus érythémateux disséminé,

·         exacerbation d'une porphyrie,

·         exacerbation d'une chorée de Sydenham,

·         exacerbation d'une dépression,

·         exacerbation de maladies intestinales inflammatoires chroniques (maladie de Crohn ou colite ulcéreuse)

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

Grossesse

LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé n'est pas indiqué pendant la grossesse.

En cas de découverte d'une grossesse pendant la prise de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé, son utilisation devra être immédiatement interrompue.

De nombreuses études épidémiologiques n'ont pas révélé de risque augmenté d'anomalies congénitales chez les enfants nés de mères ayant utilisé un COC avant la grossesse. Aucun effet tératogène n'a été observé si un COC a été pris par erreur au cours de la grossesse.

Des études chez l'animal ont montré la présence d'effets indésirables au cours de la grossesse et de l'allaitement (voir rubrique Données de sécurité précliniques). D'après ces données chez l'animal, un effet indésirable dû à l'activité hormonale des principes actifs ne peut être exclu. Cependant, sur la base de l'expérience de l'utilisation des COC pendant la grossesse, un tel effet indésirable n'a pas été observé chez l'homme.

Les données disponibles concernant l'utilisation de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé au cours de la grossesse sont trop peu nombreuses pour permettre de conclure à d'éventuels effets néfastes de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé sur la grossesse ou sur la santé du foetus ou du nouveau-né.

Aucune donnée épidémiologique ne permet à ce jour de conclure.

Une augmentation du risque de TEV pendant le post-partum est à prendre en considération lors de la reprise de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé.

Allaitement

Les COC pouvant influer sur la composition quantitative et qualitative du lait maternel, ceux-ci sont généralement déconseillés jusqu'à la fin de l'allaitement. L'utilisation de COC peut s'accompagner d'une excrétion de faibles quantités de ces contraceptifs et/ou de leurs métabolites dans le lait, pouvant avoir un effet chez l'enfant.


Mise en garde pour LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

Mise en garde

Mises en garde

Chez une femme donnée, la présence de l'un des symptômes ou facteurs de risque mentionnés ci-dessous doit faire discuter avec la patiente le rapport bénéfice/risque avant toute prescription d'une contraception orale.

En cas d'aggravation, d'exacerbation ou de survenue pour la première fois de ces symptômes ou de ces facteurs de risque, il sera recommandé aux femmes de contacter leur médecin qui décidera si la contraception orale doit être interrompue.

Risque thromboembolique veineux (TEV)

L'utilisation de tout contraceptif oral combiné (COC) augmente le risque thromboembolique veineux par rapport à une non-utilisation. Les CHC contenant du lévonorgestrel, du norgestimate ou de la noréthistérone sont associés au risque de TEV le plus faible. L'augmentation du risque thromboembolique est plus élevée pendant la première année d'utilisation d'un contraceptif oral combiné. Certaines données indiquent également une augmentation du risque lors de la reprise d'un CHC après une interruption de 4 semaines ou plus.

Parmi les femmes qui n'utilisent pas de CHC et qui ne sont pas enceintes, environ 2 sur 10 000 développeront une TEV sur une période d'un an. Cependant, chez une femme donnée, le risque peut être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque qu'elle présente (voir ci-dessous).

On estime que sur 10 000 femmes qui utilisent un CHC contenant du lévonorgestrel, environ 6(1) développeront une TEV sur une période d'un an.

 (1) Point central de l'intervalle de 5-7 pour 10 000 années-femmes sur la base d'un risque relatif, pour les CHC contenant du lévonorgestrel par rapport à la non-utilisation d'un CHC, d'environ 2,3 à 3,6.

Ce nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum. La TEV peut être fatale dans 1 à 2 % des cas.

Nombre de cas de TEV pour 10 000 femmes sur une période d'un an

CHC contenant du lévonorgestrel (5-7 cas)

 

Non-utilisatrices de CHC (2 cas)

 

De façon extrêmement rare, des cas de thrombose ont été signalés chez des utilisatrices de CHC dans d'autres vaisseaux sanguins, p. ex. les veines et artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes.

Facteurs de risque de TEV

Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si d'autres facteurs de risque sont présents, en particulier si ceux-ci sont multiples (voir le tableau ci-dessous).

LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé est contre-indiqué chez les femmes présentant de multiples facteurs de risque, ceux-ci les exposant à un risque élevé de thrombose veineuse (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).

Tableau : Facteurs de risque de TEV

Facteur de risque

Commentaire

Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²)

L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque.

Ceci est particulièrement important à prendre en compte si d'autres facteurs de risque sont présents.

Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur

 

 

 

 

 

 

Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée.

Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé n'a pas été interrompu à l'avance.

Remarque : l'immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens > 4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque

 

Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans)

En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC

 

Autres affections médicales associées à la TEV

 

Cancer, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique) et drépanocytose

Âge

En particulier au-delà de 35 ans

Il n'existe aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans l'apparition ou la progression d'une thrombose veineuse.

L'augmentation du risque de thrombo-embolie pendant la grossesse, et en particulier pendant les 6 semaines de la période puerpérale, doit être prise en compte (pour des informations concernant « Grossesse et allaitement », voir rubrique Grossesse et allaitement).

Symptômes de TEV (thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire)

Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC.

Les symptômes de la thrombose veineuse profonde (TVP) peuvent inclure :

·         gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe ;

·         douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche ;

·         sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.

Les symptômes de l'embolie pulmonaire (EP) peuvent inclure :

·         apparition soudaine et inexpliquée d'un essoufflement ou d'une accélération de la respiration ;

·         toux soudaine, pouvant être associée à une hémoptysie ;

·         douleur thoracique aiguë ;

·         étourdissements ou sensations vertigineuses sévères ;

·         battements cardiaques rapides ou irréguliers.

Certains de ces symptômes (p. ex. « essoufflement », « toux ») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p. ex.).

Les autres signes d'une occlusion vasculaire peuvent inclure : douleur soudaine, gonflement et coloration légèrement bleutée d'une extrémité.

Si l'occlusion se produit dans l'oeil, les symptômes peuvent débuter sous la forme d'une vision trouble indolore pouvant évoluer vers une perte de la vision. Dans certains cas, la perte de la vision peut survenir presque immédiatement.

Risque de thrombo-embolie artérielle (TEA)

Des études épidémiologiques ont montré une association entre l'utilisation de CHC et l'augmentation du risque de thrombo-embolie artérielle (infarctus du myocarde) ou d'accident cérébrovasculaire (p. ex. accident ischémique transitoire, AVC). Les événements thrombo-emboliques artériels peuvent être fatals.

Facteurs de risque de TEA

Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou d'accident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir le tableau). LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).

Tableau : Facteurs de risque de TEA

Facteur de risque

Commentaire

Âge

En particulier au-delà de 35 ans

Tabagisme

 

Il doit être conseillé aux femmes de ne pas fumer si elles souhaitent utiliser un CHC. Il doit être fortement conseillé aux femmes de plus de 35 ans qui continuent de fumer d'utiliser une méthode de contraception différente.

Hypertension artérielle

 

Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2)

 

L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque.

Ceci est particulièrement important à prendre en compte chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque.

Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans)

En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC.

Migraine

 

L'accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l'utilisation d'un CHC (qui peut être le prodrome d'un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d'arrêt immédiat du CHC.

Autres affections médicales associées à des événements indésirables vasculaires

 

Diabète, hyperhomocystéinémie, valvulopathie cardiaque et fibrillation auriculaire, dyslipoprotéinémie et lupus érythémateux disséminé

Symptômes de TEA

Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC.

Les symptômes d'un accident cérébrovasculaire peuvent inclure :

·         apparition soudaine d'un engourdissement ou d'une faiblesse du visage, d'un bras ou d'une jambe, en particulier d'un côté du corps ;

·         apparition soudaine de difficultés à marcher, de sensations vertigineuses, d'une perte d'équilibre ou de coordination ;

·         apparition soudaine d'une confusion, de difficultés à parler ou à comprendre ;

·         apparition soudaine de difficultés à voir d'un oeil ou des deux yeux ;

·         céphalée soudaine, sévère ou prolongée, sans cause connue ;

·         perte de conscience ou évanouissement avec ou sans crise convulsive.

Des symptômes temporaires suggèrent qu'il s'agit d'un accident ischémique transitoire (AIT).

Les symptômes de l'infarctus du myocarde (IM) peuvent inclure :

·         douleur, gêne, pression, lourdeur, sensation d'oppression ou d'encombrement dans la poitrine, le bras ou sous le sternum ;

·         sensation de gêne irradiant vers le dos, la mâchoire, la gorge, le bras, l'estomac ;

·         sensation d'encombrement, d'indigestion ou de suffocation ;

·         transpiration, nausées, vomissements ou sensations vertigineuses ;

·         faiblesse, anxiété ou essoufflement extrêmes ;

·         battements cardiaques rapides ou irréguliers.

Tumeurs

Certaines études épidémiologiques suggèrent que les COC pourraient être associés à une augmentation du risque de cancer du col de l'utérus chez les utilisatrices de COC à long terme (> 5 ans). Il n'est cependant pas établi si ces pathologies sont dues à d'autres facteurs comme le comportement sexuel et le papillomavirus humain HPV).

Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a conclu qu'il existe une légère augmentation du risque relatif (RR = 1,24) de cancer du sein chez les femmes sous contraception orale. Cette majoration du risque disparaît progressivement au cours des 10 années qui suivent l'arrêt du COC.

Le cancer du sein étant rare chez les femmes de moins de 40 ans, le nombre plus élevé de cancers diagnostiqués chez les utilisatrices habituelles ou nouvelles utilisatrices de COC reste faible par rapport au risque global de cancer du sein.

Ces études ne permettent pas d'établir une relation de causalité. Il est possible que, chez les utilisatrices de COC, cette augmentation du risque soit due à un diagnostic plus précoce du cancer du sein, aux effets biologiques de cette contraception ou à l'association des deux. Les cancers du sein diagnostiqués chez les utilisatrices ont tendances à être moins évolués cliniquement par rapport à ceux diagnostiqués chez des femmes n'en ayant jamais utilisé.

Dans de rares cas, des tumeurs bénignes du foie, et dans de plus rares cas encore, des tumeurs malignes du foie ont été rapportées chez les utilisatrices de COC.

Dans des cas isolés, ces tumeurs ont conduit à des hémorragies intra-abdominales mettant en jeu le pronostic vital. Chez les femmes sous COC, la survenue de douleurs de la partie supérieure de l'abdomen, d'augmentation du volume du foie ou de signes d'hémorragie intra-abdominale doit faire évoquer une tumeur hépatique.

L'utilisation de COC plus fortement dosés (50 µg éthinylestradiol) diminue le risque de cancer de l'endomètre et de l'ovaire. Ceci demande à être confirmé avec les COC plus faiblement dosés.

Autres pathologies

Chez les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, un risque accru de pancréatite peut survenir en cas d'utilisation d'un COC.

Une augmentation modérée de la pression artérielle a été observée chez de nombreuses femmes sous COC mais elle était rarement cliniquement significative. Une interruption immédiate du COC n'est justifiée que dans ces rares cas. La persistance de chiffres tensionnels élevés ou le non contrôle des chiffres tensionnels par un traitement antihypertenseur chez une femme hypertendue prenant un COC doit faire interrompre celui-ci. Le COC pourra éventuellement être repris après normalisation des chiffres tensionnels par un traitement antihypertenseur.

Chez les femmes présentant un angioedème héréditaire, les estrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver des symptômes d'angioedème.

La survenue d'anomalie hépatiques aiguës ou chroniques peut nécessiter l'arrêt du COC jusqu'à la normalisation des paramètres hépatiques.

Les COC peuvent avoir un effet sur la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose; il n'est cependant pas obligatoire de modifier le traitement chez des diabétiques utilisant un COC faiblement dosé (contenant moins de 0,05 mg d'éthinylestradiol). Les femmes diabétiques doivent cependant être étroitement surveillées, en particulier lors de l'instauration d'un COC.

La récidive d'un ictère cholestatique et/ou d'un prurit liés à une cholestase survenue au cours d'une grossesse précédente ou de la prise antérieure d'hormones stéroïdiennes doit faire arrêter le COC.

La survenue ou l'aggravation des pathologies suivantes a été observée au cours de la grossesse ou chez des femmes prenant des COC, bien que la responsabilité des COC n'ait pu être établie : ictère et/ou prurit dû à une cholestase, lithiase biliaire, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytico-urémique, chorée de Sydenham, herpès gravidique, hypoacousie par otosclérose.

Des cas d'aggravation de dépression endogène, d'épilepsie, de maladie de Crohn et de rectocolite hémorragique ont été observés sous COC.

Un chloasma peut survenir, en particulier chez les femmes ayant des antécédents de chloasma gravidique. Les femmes ayant une prédisposition au chloasma sous COC doivent éviter de s'exposer au soleil ou aux rayons ultra-violets.

Une attention particulière devra être portée aux patientes ayant une hyperprolactinémie.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).

Examen médical/ consultation médicale

Avant l'instauration ou la reprise de LOVAPHARM 30 microgrammes/150 microgrammes, comprimé pelliculé, il sera nécessaire d'obtenir un historique médical complet (y compris les antécédents familiaux) et d'écarter toute grossesse éventuelle. Il sera également nécessaire de mesurer la pression artérielle et de pratiquer un examen médical complet, en tenant compte des contre-indications (voir rubrique Contre-indications) et des mises en garde (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

La femme sera également informée de la nécessité de lire attentivement la notice et de respecter scrupuleusement les conseils fournis. La fréquence et la nature des examens pratiqués tiendront compte des recommandations médicales établies et seront adaptées à chaque patiente.

La patiente sera informée que les COC ne protègent pas contre l'infection par le VIH (SIDA) ni contre les autres maladies sexuellement transmissibles (MST).

Diminution de l'efficacité

L'efficacité des COC peut être réduite en cas d'oubli de comprimés (voir rubrique Posologie et mode d'administration), de troubles gastro-intestinaux, (voir rubrique Posologie et mode d'administration) ou de prise concomitante d'autres médicaments (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Troubles du cycle

Des saignements irréguliers (« spottings » ou métrorragies) peuvent survenir sous COC en particulier au cours des premiers mois. Ces saignements irréguliers seront considérés comme significatifs s'ils persistent après environ 3 cycles.

Si les saignements irréguliers persistent ou surviennent après des cycles réguliers, une recherche étiologique non hormonale doit alors être effectuée ; des examens diagnostiques appropriés doivent être pratiqués afin d'exclure une tumeur maligne ou une grossesse. Ces examens peuvent comporter un curetage.

Chez certaines femmes, les hémorragies de privation peuvent ne pas survenir au cours de l'intervalle libre. Si le COC a été pris tel que décrit dans la rubrique Posologie et mode d'administration, il est peu probable que la femme soit enceinte. Cependant, si le COC n'a pas été pris correctement avant l'absence de la première hémorragie de privation ou si deux hémorragies de privation successives ne se produisent pas, il convient de s'assurer de l'absence de grossesse avant de poursuivre le COC.

Précautions d'emploi

Obésité (IMC > = 30 kg/m²)

Immobilisation prolongée

Traumatisme majeur

Antécédent familial d'accident thrombo-embolique

Cancer

Lupus érythémateux disséminé

Syndrome hémolytique et urémique

Maladie de Crohn

Rectocolite hémorragique

Drépanocytose

Femme de plus de 35 ans

Tabagisme

Hypertension artérielle

Migraine

Diabète

Hyperhomocystéinémie

Valvulopathie cardiaque

Fibrillation auriculaire

Dyslipoprotéinémie

Douleur de l'hypochondre droit

Augmentation du volume du foie

Hémorragie intra-abdominale

Hypertriglycéridémie

Antécédent familial d'hypertriglycéridémie

Angio-oedème héréditaire

Antécédent d'ictère cholestatique de la grossesse

Antécédent de prurit gravidique

Lithiase biliaire

Porphyrie

Chorée de Sydenham

Otosclérose

Dépression

Epilepsie

Antécédent de chloasma gravidique

Hyperprolactinémie

Vomissement

Diarrhée sévère

Interaction avec d'autre médicaments

Remarque : Les informations des médicaments concomitants doit être consulté pour identifier les interactions potentielles.

Effets d'autres médicaments sur LOVAPHARM

Les interactions peuvent se produire avec des médicaments qui induisent les enzymes microsomales pouvant entraîner une augmentation de la clairance des hormones sexuelles et conduire à la survenue de saignements et/ ou à l'échec de la contraception.

Gestion

L'induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours de traitement. L'induction enzymatique est maximale généralement quelques semaines après le début de la prise. Après la cessation de la thérapie médicamenteuse, l'induction enzymatique peut être maintenue pendant environ 4 semaines.

Traitement à court terme

Les femmes traitées avec des médicaments inducteurs enzymatiques doivent utiliser temporairement une méthode barrière ou une autre méthode de contraception en plus du COC. La méthode barrière doit être utilisée pendant toute la durée du traitement médicamenteux concomitant et pendant 28 jours après son arrêt. Si le traitement médicamenteux va au-delà de la fin des comprimés dans la boite de COC, la prochaine boite de COC doit être démarrée juste après la précédente sans l'intervalle habituel sans comprimé.

Le traitement à long terme

Chez les femmes ayant un traitement à long terme avec des substances actives inductrices enzymatiques au niveau hépatiques, une autre méthode de contraception fiable non hormonale est recommandée.

Les interactions suivantes ont été rapportées dans la littérature.

Substances augmentant la clairance du COC (efficacité diminuée du COC par induction enzymatique), e.g .:

Barbituriques, bosentan, carbamazépine, phénytoïne, primidone, la rifampicine et le VIH médicaments ritonavir, névirapine et l'efavirenz et peut-être aussi felbamate, la griséofulvine, l'oxcarbazépine, le topiramate et des produits à base de plantes millepertuis (Hypericum perforatum).

Les substances ayant des effets variables sur la clairance du COC:

En cas de co-administration avec les COC, de nombreuses combinaisons d'inhibiteurs de la protéase du VIH et des inhibiteurs de la transcriptase inverse non nucléosidiques, y compris des combinaisons avec des inhibiteurs de VHC peuvent augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques d'oestrogènes ou progestatifs. L'effet net de ces changements peut être cliniquement pertinent dans certains cas.

Par conséquent, les informations de prescription de médicaments concomitants VIH / VHC doit être consulté pour identifier les interactions potentielles et les recommandations connexes. En cas de doute, une méthode contraceptive de barrière supplémentaire devrait être utilisée par les femmes sur les inhibiteurs de la protéase ou les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse.

Substances diminuant la clairance de la COC (inhibiteurs d'enzymes):

La pertinence clinique des interactions potentielles avec les inhibiteurs de l'enzyme reste inconnue.

L'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 peut augmenter les concentrations plasmatiques de l'oestrogène ou de la progestérone, ou les deux.

On a montré que des doses d'etoricoxib de 60 à 120 mg / jour peuvent augmenter les concentrations plasmatiques de l'éthinylestradiol respectivement de 1,4 à 1,6 fois, lorsqu'il est pris en association avec un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d'éthinylestradiol.

Effets de LOVAPHARM sur d'autres médicaments

Les COC peuvent affecter le métabolisme de certaines autres substances actives. Par conséquent, les concentrations plasmatiques et tissulaires peuvent soit augmenter (par exemple la ciclosporine) ou une diminution (par exemple la lamotrigine).

In vitro l'éthinylestradiol est un inhibiteur réversible de CYP 2C19, CYP 1A1 et 1A2 ainsi qu'un mécanisme inhibiteur à base de CYP3A4 / 5, CYP 2C8 et CYP 2J2. Dans les essais cliniques, l'utilisation d'un contraceptif contenant de l'éthinylestradiol hormonal n'a pas conduit à une augmentation ou ni à une légère augmentation, dans les niveaux plasmatiques des substrats du CYP3A4 (de exemple le midazolam) tandis que les niveaux plasmatiques des substrats du CYP1A2 ont pu être légèrement augmenté (par exemple la theophylline) ou modérément (par exemple, la tizanidine).

Les tests de laboratoire

L'utilisation de stéroïdes contraceptifs peut influencer les résultats de certains tests de laboratoire, y compris les paramètres biochimiques du foie, de la thyroïde, des glandes surrénales et de la fonction rénale, les taux plasmatiques de protéines (porteuses), par exemple corticostéroïde-binding globulin et des fractions lipides / lipoprotéines, les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone et des paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. Les modifications restent en général dans la plage normale du laboratoire.


Informations complémentaires pour LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr cp

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Excipients

Noyau : Lactose, Amidon de maïs, Gélatine, Magnésium stéarate, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 4000, Titane dioxyde, Fer oxyde

Exploitant / Distributeur

MAJORELLE

6, Rue COPERNIC

75116

PARIS

Code UCD7 : 9388738

Code UCD13 : 3400893887387

Code CIS : 64001684

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : MAJORELLE

Laboratoire exploitant : MAJORELLE

Prix vente TTC : 1.59€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui

Base de remboursement : 1.59€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 12/03/2012

Rectificatif AMM : 01/08/2016

Marque : LOVAPHARM

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400922033396

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

LOVAPHARM GE 30microgrammes/150microgr Comprimé boîte de 3 plaquettes de 21

Comprimé pelliculé

LUDEAL Gé 0,15 mg/0,03 mg Comprimé boîte de 1 plaquette de 21

Comprimé enrobé

LUDEAL Gé 0,15 mg/0,03 mg 30microgrammes/150microgr Comprimé boîte de 3 plaquettes de 21

Comprimé enrobé

MINIDRIL, comprimé enrobé, boîte de 1 plaquette de 21

Comprimé enrobé