INOVELON
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Anti-épileptiques, Anticonvulsivants non barbituriques, Dérivés de carboxamide, Rufinamide
Principes actifs :
Rufinamide
Syndrome de Lennox-Gastaut
Enfant - Nourrisson de 1 an à 4 ans . Traitement sans valproate associé : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut (implicite)
22½ mg par kilo matin et soir au cours des repas à écraser dans un peu d'eau. Maximum 45 mg par kilo par jour.
ou 0.05625 comprimé par kilo matin et soir au cours des repas à écraser dans un peu d'eau. Maximum 0.1125 comprimé par kilo par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de 30 à 50 Kg . Traitement sans valproate associé : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
900 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 1800 mg par jour.
ou 2½ comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 4½ comprimés par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de 30 à 50 Kg . Traitement avec le valproate : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
600 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 1200 mg par jour.
ou 1½ comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 3 comprimés par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de 50 à 70 Kg . Traitement sans valproate associé : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
1200 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 2400 mg par jour.
ou 3 comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 6 comprimés par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de 50 à 70 Kg . Traitement avec le valproate : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
800 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 1600 mg par jour.
ou 2 comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 4 comprimés par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de plus de 70 Kg . Traitement sans valproate associé : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
1600 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 3200 mg par jour.
ou 4 comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 8 comprimés par jour.
Adulte - Enfant de plus de 4 ans de plus de 70 Kg . Traitement avec le valproate : Entretien. Syndrome de Lennox-Gastaut
1100 mg matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 2200 mg par jour.
ou 3 comprimés matin et soir au cours des repas avec de l'eau. Maximum 5½ comprimés par jour.
Voie orale
CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas :
- D'éruption cutanée ou de fièvre.
- Si le nombre, la durée ou l'intensité des crises d'épilepsie augmente.
- D'idées autodestructrices ou suicidaires.
CONTACTER LE MEDECIN en cas de difficultés pour marcher, de mouvements anormaux, de vertiges ou de somnolence.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (vertiges, somnolence et vision trouble).
En cas de DIFFICULTEES à AVALER, les comprimés peuvent être écrasés et administrés avec un demi- verre d'eau.
Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de CONTRACEPTION pendant le traitement.
Acné
Anorexie
Anxiété
Constipation
Contusion
Convulsions
Diarrhée
Dyspepsie
Epistaxis
Etat de mal épileptique
Grippe
Insomnie
Oligoménorrhée
Pneumonie
Rhinite
Rhinopharyngite
Sinusite
Traumatisme crânien
Eruption cutanée
Diplopie
Diminution de l'appétit
Perte de poids
Tremblement
Nystagmus
Troubles de l'alimentation
Vision trouble
Trouble de la coordination
Mal de dos
Douleur abdominale haute
Hyperactivité psychomotrice
Trouble de la marche
Infection auriculaire
Vertige labyrinthique
Elévation des enzymes hépatiques
Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse
Bronchite
Congestion nasale
Irritabilité
Toux
Ataxie
Pyrexie
Infection des voies respiratoires supérieures
Otite moyenne
Raccourcissement de l'espace QTc
Synthèse du profil de tolérance
Pendant le programme de développement clinique, plus de 1 900 patients présentant différents types d'épilepsie ont été exposés au rufinamide. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été céphalées, vertiges, fatigue et somnolence. Chez les patients atteints du syndrome de Lennox-Gastaut, les effets indésirables les plus fréquents, observés à une incidence plus élevée que sous placebo, ont été somnolence et vomissements. Les effets indésirables ont été généralement d'intensité légère à modérée. Chez les patients présentant un syndrome de Lennox-Gastaut, les taux d'arrêt du traitement dus à des effets indésirables ont été de 8,2 % chez les patients recevant le rufinamide et de 0 % chez les patients recevant le placebo. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné l'arrêt du traitement dans le groupe traité par le rufinamide ont été des éruptions cutanées et des vomissements.
Tableau des effets indésirables
Les effets indésirables rapportés à une incidence plus élevée qu'avec le placebo dans les études en double aveugle dans le syndrome de Lennox-Gastaut ou dans la population globale exposée au rufinamide sont présentés dans le tableau ci-dessous par terme préférentiel MedDRA, classe de systèmes d'organes et fréquence.
Les fréquences sont définies ainsi : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000).
* Se référer à la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.Informations supplémentaires concernant les populations particulières
Population pédiatrique (de 1 an à moins de 4 ans)
Une étude multicentrique en ouvert a été menée afin de comparer l'ajout
du rufinamide à un autre médicament antiépileptique (MAE) choisi par
l'investigateur au traitement actuel par 1 à 3 MAE chez des enfants
âgés de 1 an à moins de 4 ans présentant un syndrome de Lennox-Gastaut
mal contrôlé. 25 patients, dont 10 étaient âgés de 1 à 2 ans, ont été
exposés au rufinamide en traitement adjuvant pendant 24 semaines à une
dose allant jusqu'à 45 mg/kg par jour en deux doses fractionnées. Les
événements indésirables apparus sous traitement (EIAT) les plus
fréquemment rapportés dans le groupe de traitement par le rufinamide
(survenus chez ≥ 10 % des patients) étaient : infection des voies
respiratoires supérieures et vomissements (28,0 % chacun), pneumonie et
somnolence (20,0 % chacun), sinusite, otite moyenne, diarrhée, toux et
pyrexie (16,0 % chacun) et bronchite, constipation, congestion nasale,
éruption cutanée, irritabilité et diminution de l'appétit (12,0 %
chacun). La fréquence, la nature et la sévérité de ces effets
indésirables étaient comparables à celles observées chez les enfants
âgés de 4 ans et plus, les adolescents et les adultes. La
caractérisation de l'âge chez les patients de moins de 4 ans n'a pas
été identifiée dans la base de données de sécurité limitées en raison
du faible nombre de patients dans l'étude.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse
Risque lié à l'épilepsie et aux médicaments antiépileptiques en général :
Il a été démontré que dans la descendance de femmes épileptiques, la
prévalence de malformations est deux à trois fois supérieure au taux
d'environ 3 % dans la population générale. Dans la population traitée,
une augmentation des malformations a été constatée sous polythérapie.
Toutefois, la part respective de responsabilité du traitement et/ou de
la maladie n'a pas été établie.
De plus, le traitement antiépileptique efficace ne doit pas être interrompu brutalement, car l'aggravation de la maladie est préjudiciable à la mère et au fœtus. Le traitement antiépileptique pendant la grossesse doit faire l'objet d'une discussion attentive avec le médecin traitant.
Risque lié au rufinamide :
Les études chez l'animal n'ont mis en évidence aucun effet tératogène,
mais une fœtotoxicité en présence d'une toxicité maternelle a été
observée (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Le risque potentiel en clinique n'est pas connu.
Pour le rufinamide, il n'existe pas de données sur l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte.
Compte tenu de ces données, le rufinamide ne doit pas être administré pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de moyen de contraception à moins d'une nécessité absolue.
Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par le rufinamide. Les médecins doivent tenter de s'assurer de l'utilisation d'un moyen de contraception approprié et doivent exercer leur jugement clinique pour évaluer si les contraceptifs oraux, ou les doses des composants du contraceptif oral, sont adaptés à l'état clinique particulier de la patiente (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Si les femmes traitées par le rufinamide planifient une grossesse, la poursuite de l'utilisation de ce produit doit être pesée minutieusement. Pendant la grossesse, l'interruption du traitement antiépileptique peut être préjudiciable à la mère et au fœtus si elle entraîne une aggravation de la maladie.
Allaitement
On ne sait pas si le rufinamide est excrété dans le lait maternel. En raison de ses effets délétères possibles sur le nourrisson allaité, il convient d'éviter l'allaitement pendant le traitement de la mère par le rufinamide.
Fertilité
Il n'existe pas de données concernant les effets sur la fertilité après un traitement par le rufinamide.
État de mal épileptique
Lors des études de développement clinique, il a été observé des cas d'état de mal épileptique lors du traitement par le rufinamide, alors qu'aucun cas n'a été observé avec le placebo. Ces événements ont conduit à l'arrêt du rufinamide dans 20 % des cas. Le rapport bénéfice/risque doit être réévalué si de nouveaux types de crises d'épilepsie apparaissent et (ou) si la fréquence de l'état de mal épileptique augmente par rapport à l'état initial du patient.
Sevrage du rufinamide
Le rufinamide doit être arrêté progressivement afin de réduire le risque possible de crises d'épilepsie à l'arrêt. Dans les études cliniques, le traitement était arrêté en réduisant la dose d'environ 25 % tous les deux jours. Les données sur l'arrêt des traitements antiépileptiques associés, une fois l'épilepsie contrôlée par l'ajout du rufinamide, sont insuffisantes.
Effets sur le système nerveux central
Le traitement par le rufinamide a été associé à des vertiges, une somnolence, une ataxie et des troubles de la marche, qui pourraient augmenter la survenue de chutes accidentelles dans cette population (voir rubrique Effets indésirables). Les patients et les aidants doivent exercer leur vigilance jusqu'à ce qu'ils soient familiarisés avec les effets possibles de ce médicament.
Réactions d'hypersensibilité
Des cas de syndrome grave d'hypersensibilité aux médicaments antiépileptiques incluant des syndromes DRESS (éruption cutanée avec éosinophilie et symptômes systémiques) et de Stevens-Johnson (SJS) sont survenus en association avec le traitement par rufinamide. Les signes et symptômes étaient variés ; cependant les patients présentaient généralement, mais pas exclusivement, de la fièvre et une éruption cutanée associés à une atteinte d'autres organes / systèmes. Parmi les autres manifestations on peut citer une lymphadénopathie, des anomalies des épreuves fonctionnelles hépatiques et une hématurie. Les manifestions du trouble étant variables, d'autres signes et symptômes d'organes / systèmes non observés jusqu'ici peuvent apparaître. Le syndrome d'hypersensibilité aux médicaments antiépileptiques (MAE) s'est produit peu de temps après l'instauration du traitement par le rufinamide et dans la population pédiatrique. En cas de suspicion de cette réaction, il convient d'arrêter le rufinamide et d'instaurer un autre traitement. Tous les patients développant une éruption cutanée sous rufinamide doivent être étroitement surveillés.
Raccourcissement de l'intervalle QT
Dans le cadre d'une étude approfondie portant sur l'intervalle QT, le rufinamide a entraîné un raccourcissement de l'intervalle QTc, proportionnel à sa concentration. Bien que le mécanisme sous-jacent et la pertinence de ce résultat en terme d'innocuité ne soient pas connus, les cliniciens doivent utiliser leur jugement clinique avant de prescrire du rufinamide à des patients exposés à un risque accru de raccourcissement de l'intervalle QTc (par exemple, dans le cas d'un syndrome congénital du QT court ou chez les patients ayant des antécédents familiaux de ce syndrome).
Femmes en âge de procréer
Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Inovelon. Les médecins doivent tenter de s'assurer de l'utilisation d'un moyen de contraception approprié et doivent exercer leur jugement clinique pour évaluer si les contraceptifs oraux, ou les doses des composants du contraceptif oral, sont adaptés à l'état clinique particulier de la patiente (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Fertilité, grossesse et allaitement).
Lactose
Inovelon contient du lactose. Ce médicament est contre-indiqué chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares).
Idées suicidaires
Des idées et un comportement suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des antiépileptiques dans plusieurs indications. Une méta-analyse d'études randomisées et contrôlées contre placebo de médicaments antiépileptiques a également montré une légère augmentation du risque d'idées et de comportements suicidaires. Le mécanisme de ce risque n'est pas connu et les données disponibles ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un risque accru avec Inovelon.
Il convient donc de surveiller les patients afin de détecter les signes d'idées et de comportement suicidaires et d'envisager un traitement approprié. Les patients (et leurs aidants) doivent être informés qu'ils doivent consulter un médecin en cas d'apparition de signes d'idées ou de comportements suicidaires.
Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse
Eruption cutanée
Syndrome congénital du QT court
Antécédent familial de syndrome du QT court
Idée suicidaire
Comportement suicidaire
Patiente en âge de procréer
Insuffisance hépatique légère à modérée
Inovelon peut provoquer vertiges, somnolence et vision trouble. En fonction de la sensibilité individuelle, le rufinamide peut avoir une influence mineure à importante sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Il convient de conseiller aux patients de se montrer prudents au cours des activités nécessitant une grande vigilance, comme la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
Effets possibles d'autres médicaments sur le rufinamide
Autres médicaments antiépileptiques
Aucune modification cliniquement pertinente des concentrations du
rufinamide n'a été observée lors de l'administration concomitante de
médicaments antiépileptiques connus pour être des inducteurs
enzymatiques.
Chez les patients traités par Inovelon, l'instauration du valproate peut entraîner une augmentation significative des concentrations plasmatiques du rufinamide. Par conséquent, une diminution de la dose d'Inovelon chez les patients doit être envisagée lors de l'instauration d'un traitement par le valproate (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
L'introduction ou l'arrêt de ces médicaments ou l'adaptation de leur posologie pendant le traitement par le rufinamide peut nécessiter une adaptation de la posologie du rufinamide (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Aucune modification significative de la concentration de rufinamide n'est observée après l'administration concomitante de lamotrigine, de topiramate ou de benzodiazépines.
Effet possible du rufinamide sur d'autres médicaments
Autres médicaments antiépileptiques
Les interactions pharmacocinétiques entre le rufinamide et les autres
médicaments antiépileptiques ont été évaluées chez les patients
épileptiques en utilisant un modèle de pharmacocinétique de population.
Le rufinamide ne semble pas avoir un effet clinique pertinent sur les
concentrations à l'équilibre de la carbamazépine, de la lamotrigine, du
phénobarbital, du topiramate, de la phénytoïne ou du valproate.
Contraceptifs oraux :
L'administration concomitante
pendant 14 jours de 800 mg de rufinamide deux fois par jour et d'un
contraceptif oral combiné comprenant 35 µg d'éthinylestradiol et 1 mg
de noréthindrone a entraîné une diminution de l'ASC0-24 moyenne de 22 % pour l'éthinylestradiol et de 14 % pour la noréthindrone.
Aucune étude n'a été menée avec les autres contraceptifs oraux et avec
les implants contraceptifs. Il convient de conseiller aux femmes en âge
de procréer et sous contraceptif hormonal d'utiliser un moyen de
contraception supplémentaire sûr et efficace (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Fertilité, grossesse et allaitement).
Enzymes du cytochrome P450
Le rufinamide est métabolisé par hydrolyse et n'est pas métabolisé de
façon importante par les enzymes du cytochrome P450. De plus, le
rufinamide n'inhibe pas l'activité des enzymes du cytochrome P450 (voir
rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Des interactions
cliniquement significatives dues à l'inhibition du système du
cytochrome P450 par le rufinamide sont donc peu probables. Le
rufinamide est un inducteur de l'enzyme CYP3A4 du cytochrome P450 et il
peut donc diminuer les concentrations plasmatiques des médicaments
métabolisés par cette enzyme. L'effet a été léger à modéré. L'activité
moyenne du CYP3A4, évaluée par la clairance du triazolam, a été
augmentée de 55 % après 11 jours de traitement par le rufinamide à
raison de 400 mg deux fois par jour. L'exposition au triazolam a été
réduite de 36 %. Des doses plus élevées de rufinamide peuvent entraîner
une induction plus importante. La possibilité que le rufinamide puisse
également diminuer l'exposition à des médicaments métabolisés par
d'autres enzymes ou transportés par des protéines de transport telles
que la glycoprotéine P ne peut pas être exclue.
Il est recommandé de surveiller attentivement les patients traités par des médicaments métabolisés par le système enzymatique CYP3A4, pendant deux semaines, au début ou après l'arrêt du traitement par le rufinamide ou après une variation importante de la posologie. Une adaptation de la posologie du médicament administré de façon concomitante peut s'avérer nécessaire. Ces recommandations doivent également être prises en considération lorsque le rufinamide est utilisé en même temps que des médicaments à marge thérapeutique étroite tels que la warfarine ou la digoxine.
Une étude d'interaction spécifique chez des sujets sains n'a pas mis en évidence d'influence du rufinamide à la dose de 400 mg deux fois par jour sur la pharmacocinétique de l'olanzapine, un substrat du CYP1A2.
Il n'existe pas de données concernant les interactions entre le rufinamide et l'alcool.
INOVELON_06112019_AVIS_CT17755
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Télécharger le documentNoyau : Lactose monohydraté, Cellulose microcristalline, Amidon de maïs, Croscarmellose sodique, Hypromellose, Magnésium stéarate, Sodium laurylsulfate, Silice colloïdale, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 8000, Titane dioxyde, Talc, Fer oxyde
EISAI
Tour Initiale 1 Terrasse Bellini
92800
PUTEAUX
Code UCD7 : 9332761
Code UCD13 : 3400893327616
Code CIS : 65869160
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : EISAI
Prix vente TTC : 128.61€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 128.61€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 16/01/2007
Rectificatif AMM : 15/07/2021
Marque : INOVELON
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938176292
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible