VENCLYXTO

Principes actifs : Vénétoclax

Les gammes de produits

VENCLYXTO 100 mg cp

Remboursable

Sur prescription seulement

Leucémie lymphoïde chronique
Leucémie aiguë myéloïde

Forme :

 Comprimé pelliculé

Catégories :

 Cancérologie et hématologie, Antinéoplasiques, Autres antinéoplasiques, Autres antinéoplasiques, Vénétoclax

Principes actifs :

 Vénétoclax

Posologie pour VENCLYXTO 100 mg cp

Indications

Leucémie lymphoïde chronique, Leucémie aiguë myéloïde

Posologie

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (semaine 3). Leucémie lymphoïde chronique
1 comprimé par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement Initial (semaine 4). Leucémie lymphoïde chronique
2 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement d'entretien. Leucémie lymphoïde chronique (implicite)
4 comprimés 1 fois par jour au cours d'un repas à la même heure chaque jour. A avaler entier avec de l'eau.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement d'entretien : associé au rituximab. Leucémie lymphoïde chronique
4 comprimés 1 fois par jour au cours d'un repas à la même heure chaque jour pendant 24 mois. A avaler entier avec de l'eau.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (semaine 3) : associé à l'obinutuzumab. Leucémie lymphoïde chronique
1 comprimé par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec de l'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (semaine 4) : associé à l'obinutuzumab. Leucémie lymphoïde chronique
2 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler en entier avec de l'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement d'entretien : associé à l'obinutuzumab. Leucémie lymphoïde chronique
4 comprimés 1 fois par jour au cours d'un repas à la même heure chaque jour. A avaler entier avec de l'eau.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (semaine 5): associé à l'obinutuzumab. Leucémie lymphoïde chronique
4 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler en entier avec de l'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (semaine 5). Leucémie lymphoïde chronique
4 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau pendant 7 jours. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement en association à J1. Leucémie aiguë myéloïde
1 comprimé par jour au cours du petit-déjeuner à avaler en entier avec de l'eau pendant 1 jour. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement de J2 en association. Leucémie aiguë myéloïde
2 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau pendant 1 jour. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement de J3 en association. Leucémie aiguë myéloïde
4 comprimés par jour au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau pendant 1 jour. Ne pas croquer, écraser ou casser le comprimé.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement d'entretien en association. Leucémie aiguë myéloïde
4 comprimés par jour au cours d'un repas à la même heure chaque jour. A avaler entier avec de l'eau.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :

- fièvre ou frissons,

- nausées (envie de vomir) ou vomissements,

- confusion mentale,

- essoufflement,

- battements de cœur irréguliers,

- urines foncées ou troubles,

- fatigue inhabituelle,

- douleurs musculaires ou articulations sensibles,

- convulsions,

- douleur ou gonflement abdominal.

INFORMER un médecin en cas de : fièvre, frissons, faiblesse ou confusion, toux, douleur ou sensation de brûlure en urinant (symptômes traduisant une infection).

NE pas CONSOMMER de préparations à base de millepertuis (Hypericum perforatum) au cours du traitement.

EVITER la consommation de produits à base de pamplemousse, d'oranges amères et de carambole pendant le traitement (cela inclut la consommation des fruits, des jus de fruit ou la prise de compléments alimentaires pouvant contenir ces fruits).

PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (fatigue, sensations vertigineuses).

FEMME en AGE de PROCREER : utiliser une méthode de contraception très efficace pendant le traitement et pendant au moins un mois après l'arrêt du traitement. En cas de contraception hormonale (pilule ou dispositifs), utiliser en plus une méthode de contraception mécanique (par exemple préservatifs).








Contre-indications pour VENCLYXTO 100 mg cp

  • Patient de moins de 6 ans
  • Allaitement
  • Absence de contraception efficace non hormonale
  • Absence de contraception féminine efficace
  • Patient de 6 à 18 ans
  • Insuffisance rénale sévère (Clcr < 30 ml/mn)
  • Grossesse

Effets indésirables pour VENCLYXTO 100 mg cp

Niveau d’apparition des effets indésirables

Très fréquent

Anémie

Asthénie

Céphalée

Constipation

Diarrhée

Douleur abdominale

Fatigue

Hémorragie

Hyperkaliémie

Hypocalcémie

Hypokaliémie

Hypotension

Infection urinaire

Pneumonie

Septicémie

Stomatite

Infection des voies respiratoires hautes

Thrombocytopénie

Syncope

Arthralgie

Diminution de l'appétit

Dyspnée

Neutropénie

Perte de poids

Sensation vertigineuse

Lymphopénie

Hyperphosphatémie

Nausée

Vomissement

Neutropénie fébrile

Bactériémie

Diminution de la numération plaquettaire

Bilirubinémie augmentée

Cholécystite

Hyperuricémie

Lithiase biliaire

Syndrome de lyse tumorale

Créatininémie augmentée

Insuffisance rénale aiguë

Dialyse

Arythmie

Crise convulsive

Diminution du nombre des globules blancs

Diminution du nombre de neutrophiles


Résumé du profil de tolérance

Leucémie lymphoïde chronique

Le profil global de tolérance de Venclyxto est basé sur les données de 758 patients atteints de LLC traités par le vénétoclax en association avec l'obinutuzumab ou le rituximab ou en monothérapie dans les études cliniques. L'analyse de tolérance a inclus les patients de deux études cliniques de phase III (CLL14 et MURANO), de deux études cliniques de phase II (M13-982 et M14-032) et d'une étude clinique de phase I (M12-175). L'étude CLL14 était une étude randomisée, contrôlée, dans laquelle 212 patients atteints d'une LLC non précédemment traités et présentant des comorbidités ont reçu le vénétoclax en association avec l'obinutuzumab. L'étude MURANO était une étude contrôlée, randomisée, dans laquelle 194 patients atteints de LLC préalablement traités ont reçu le vénétoclax en association avec le rituximab. Dans les études de phase II et l'étude de phase I, 352 patients atteints de LLC préalablement traités, dont 212 patients porteurs de la délétion 17p et 146 patients en échec d'un traitement par un inhibiteur des voies de signalisation du récepteur antigénique des cellules B, ont été traités par vénétoclax en monothérapie (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).

Les effets indésirables les plus fréquents (≥ 20 %) tous grades confondus survenant chez les patients ayant reçu du vénétoclax dans les études en association avec l'obinutuzumab ou le rituximab étaient : neutropénie, diarrhée et infection des voies respiratoires supérieures. Dans les études en monothérapie, les effets indésirables les plus fréquents étaient : neutropénie/diminution du nombre de neutrophiles, diarrhée, nausées, anémie, fatigue et infection des voies respiratoires supérieures.

Les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥ 2%) chez les patients ayant reçu du vénétoclax en association avec l'obinutuzumab ou le rituximab étaient : pneumonie, septicémie, neutropénie fébrile et SLT. Dans les études en monothérapie, les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥ 2%) étaient : pneumonie et neutropénie fébrile.

Leucémie aiguë myéloïde

Le profil global de tolérance de Venclyxto est basé sur les données de 314 patients atteints d'une leucémie aiguë myéloïde (LAM) nouvellement diagnostiquée et traités par le vénétoclax en association avec un agent hypométhylant (azacitidine ou décitabine) dans les études cliniques (VIALE‑A, de phaseIII randomisée, et M14‑358, de phase I non randomisée).

Dans l'étude VIALE‑A, les effets indésirables les plus fréquents (≥ 20 %) tous grades confondus survenant chez les patients ayant reçu du vénétoclax en association avec l'azacitidine étaient : thrombocytopénie, neutropénie, neutropénie fébrile, nausées, diarrhée, vomissements, anémie, fatigue, pneumonie, hypokaliémie et diminution de l'appétit.

Les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥ 5 %) chez les patients ayant reçu du vénétoclax en association avec l'azacitidine étaient : neutropénie fébrile, pneumonie, septicémie et hémorragie.

Dans l'étude M14‑358, les effets indésirables les plus fréquents (≥ 20 %) tous grades confondus survenant chez les patients ayant reçu du vénétoclax en association avec la décitabine étaient : thrombocytopénie, neutropénie fébrile, nausées, hémorragie, pneumonie, diarrhée, fatigue, sensations vertigineuses/syncope, vomissements, neutropénie, hypotension, hypokaliémie, diminution de l'appétit, céphalées, douleur abdominale et anémie. Les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥ 5 %) étaient : neutropénie fébrile, pneumonie, bactériémie et septicémie.

Dans l'étude VIALE‑A, le taux de mortalité à 30 jours était de 7,4 % (21/283) avec le vénétoclax en association avec l'azacitidine et de 6,3 % (9/144) dans le bras placebo + azacitidine.

Dans l'étude M14‑358, le taux de mortalité à 30 jours était de 6,5 % (2/31) avec le vénétoclax en association avec la décitabine.

Tableau des effets indésirables

Les effets indésirables sont présentés ci-dessous par classe de systèmes d'organes MedDRA et par fréquence. Les fréquences sont définies comme : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.

Leucémie lymphoïde chronique

Les fréquences des effets indésirables rapportés avec Venclyxto en association avec l'obinutuzumab ou le rituximab, ou en monothérapie chez les patients atteints de LLC sont récapitulées dans le Tableau 8.

Tableau 8 : Effets indésirables rapportés chez les patients présentant une LLC traités par vénétoclax

Leucémie aiguë myéloïde

Les fréquences des effets indésirables rapportés avec Venclyxto en association avec un agent hypométhylant chez les patients atteints de LAM sont récapitulées dans le Tableau 9.

Tableau 9 : Effets indésirables rapportés chez les patients atteints de LAM et traités par vénétoclax

Arrêt du traitement et réductions de dose en raison d'effets indésirables

Leucémie lymphoïde chronique

Des arrêts du traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportés chez 16 % des patients traités par le vénétoclax en association avec l'obinutuzumab ou le rituximab dans les études CLL14 et MURANO, respectivement. Dans les études du vénétoclax en monothérapie, 11 % des patients ont arrêté le traitement en raison d'effets indésirables. 

Des réductions posologiques en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 21 % des patients traités par l'association du vénétoclax et de l'obinutuzumab dans l'étude CLL14, 15 % des patients traités par l'association du vénétoclax et du rituximab dans l'étude MURANO et chez 14 % des patients traités par vénétoclax dans les études en monothérapie.

Des interruptions de traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 74 % des patients traités par l'association du vénétoclax et de l'obinutuzumab dans l'étude CLL14 et chez 71 % des patients traités par l'association du vénétoclax et du rituximab dans l'étude MURANO ; l'effet indésirable le plus fréquent ayant entraîné l'interruption du traitement par vénétoclax était la neutropénie (41 % et 43 % dans les études CLL14 et MURANO, respectivement). Dans les études en monothérapie avec le vénétoclax, des interruptions de traitement dûs à des effets indésirables ont été observées chez 40% des patients ; l'effet indésirable le plus fréquent ayant entraîné une interruption de traitement était la neutropénie (5%).

Leucémie aiguë myéloïde

Dans l'étude VIALE‑A, des arrêts du traitement par vénétoclax en raison d'effets indésirables ont été rapportés chez 24 % des patients traités par le vénétoclax en association avec l'azacitidine. Des réductions posologiques du vénétoclax en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 2 % des patients. Des interruptions du traitement par vénétoclax en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 72 % des patients. Parmi les patients ayant obtenu une clairance médullaire de leur leucémie, 53 % ont fait l'objet d'interruptions du traitement pour un NAN < 500/microlitre. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné l'interruption du traitement par vénétoclax (> 10 %) étaient : neutropénie fébrile, neutropénie, pneumonie et thrombocytopénie.

Dans l'étude M14‑358, des arrêts du traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportés chez 26 % des patients traités par le vénétoclax en association avec la décitabine. Des réductions posologiques en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 6 % des patients. Des interruptions du traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 65 % des patients. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné une interruption de dose de vénétoclax (≥ 5 %) étaient : neutropénie fébrile, neutropénie/diminution du nombre de neutrophiles, pneumonie, diminution de la numération plaquettaire et leucocytaire.

Description de certains effets indésirables

Syndrome de lyse tumorale

Le syndrome de lyse tumorale est un risque identifié important au début du traitement par vénétoclax.

Leucémie lymphoïde chronique

Dans les premières études de recherche de dose de phase I, dans lesquelles la phase de titration de dose était plus courte (2 à 3 semaines) et la dose initiale plus élevée, l'incidence du SLT a été de 13 % (10/77 ; 5 SLT biologiques, 5 SLT cliniques), avec deux événements fatals et trois événements d'insuffisance rénale aiguë, dont un nécessitant la mise sous dialyse.

Le risque de SLT a été réduit après révision du schéma posologique et modification des mesures de prophylaxie et de surveillance. Dans les études cliniques de vénétoclax, les patients ayant un ganglion mesurable ≥ 10 cm ou les patients ayant un nombre de lymphocytes circulants ≥ 25 x 109/l et un ganglion mesurable ≥ 5 cm étaient hospitalisés afin de permettre une hydratation et une surveillance plus intensives le premier jour d'administration des doses de 20 mg et 50 mg pendant la phase de titration de dose (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Chez 168 patients atteints de LLC commençant le traitement à une dose quotidienne de 20 mg, avec augmentation sur 5 semaines jusqu'à une dose quotidienne de 400 mg dans les études M13-982 et M14-032, le taux de SLT a été de 2 %. Tous étaient des SLT biologiques (anomalies biologiques qui répondaient à ≥ 2 des critères suivants dans les 24 heures consécutives : potassium > 6 mmol/l, acide urique > 476 µmol/l, calcium < 1,75 mmol/l ou phosphore > 1,5 mmol/l ; ou rapportées comme manifestation de SLT) et sont survenus chez des patients qui avaient un ou plusieurs ganglions ≥ 5 cm ou un nombre de lymphocytes circulants ≥ 25 x 109/l. Il n'a pas été observé de SLT avec des conséquences cliniques telles qu'une insuffisance rénale aiguë, des arythmies, ou une mort subite et/ou des crises convulsives chez ces patients. Tous les patients avaient une ClCr ≥ 50 ml/min.

Dans l'étude de phase III, randomisée, en ouvert (MURANO), l'incidence de SLT a été de 3 % (6/194) chez les patients traités par vénétoclax + rituximab. Après l'inclusion de 77/389 patients dans l'étude, le protocole a été amendé afin d'intégrer les mesures actuelles de prophylaxie et de surveillance du SLT décrites dans « Posologie » (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Tous les événements de SLT sont survenus pendant la phase de titration de dose du vénétoclax et se sont résolus dans les deux jours. Les six patients ont terminé la phase de titration de dose et atteint la dose quotidienne recommandée de 400 mg de vénétoclax. Aucun cas de SLT clinique n'a été observé chez les patients ayant suivi le schéma de titration de dose actuel de 5 semaines et les mesures de prophylaxie et de surveillance du SLT (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Les taux d'anomalies biologiques de grade ≥ 3 pertinentes pour le SLT étaient : hyperkaliémie 1 %, hyperphosphatémie 1 % et hyperuricémie 1 %.

Dans l'étude de phase III randomisée, en ouvert (CLL14), l'incidence de SLT a été de 1,4 % (3/212) chez les patients traités par vénétoclax + obinutuzumab. Les trois événements de SLT ont été résolus et n'ont pas mené à une sortie de l'étude. L'administration de l'obinutuzumab a été retardée dans deux cas en réponse aux événements de SLT.

Dans le cadre de la surveillance après commercialisation, des cas de SLT, incluant des événements d'issue fatale, ont été rapportés après une dose unique de 20 mg de vénétoclax (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

Leucémie aiguë myéloïde

Dans l'étude de phaseIII randomisée (VIALE‑A) avec le vénétoclax en association avec l'azacitidine, l'incidence du SLT était de 1,1 % (3/283 ; 1 SLT clinique). L'étude imposait une diminution du nombre de leucocytes à < 25 x 109/l avant l'instauration du traitement par vénétoclax et un schéma de titration de dose en plus des mesures de prophylaxie et de surveillance standard (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Tous les cas de SLT ont été rapportés durant la phase de titration de dose.

Dans l'étude M14‑358, aucun événement de SLT biologique ou clinique n'a été rapporté avec le vénétoclax en association avec la décitabine.

Neutropénie et infections

La neutropénie est un risque identifié du traitement par Venclyxto.

Leucémie lymphoïde chronique

Dans l'étude CLL14, une neutropénie (tous grades) a été rapportée chez 58 % des patients du bras vénétoclax + obinutuzumab ; 41 % des patients traités par l'association vénétoclax + obinutuzumab ont eu une interruption du traitement et 2 % des patients ont arrêté le vénétoclax en raison d'une neutropénie. Une neutropénie de grade 3 a été rapportée chez 25 % des patients et une neutropénie de grade 4 chez 28 % des patients. La durée médiane de la neutropénie de grade 3 ou 4 a été de 22 jours (intervalle : 2 à 363 jours). Une neutropénie fébrile a été rapportée chez 6 % des patients, des infections de grade ≥ 3 chez 19 % des patients et des infections graves chez 19 % des patients. Des décès dus à une infection sont survenus chez 1,9 % des patients encore sous traitement et 1,9 % des patients après l'arrêt du traitement.

Dans l'étude MURANO, une neutropénie (tous grades) a été rapportée chez 61 % des patients du bras vénétoclax + rituximab. Quarante-trois pour cent des patients traités par vénétoclax + rituximab ont dû interrompre le traitement et 3 % des patients ont arrêté le vénétoclax en raison d'une neutropénie. Une neutropénie de grade 3 a été rapportée chez 32 % des patients et une neutropénie de grade 4 chez 26 % des patients. La durée médiane de neutropénie de grade 3 ou 4 était de 8 jours (intervalle : 1 à 712 jours). Avec le traitement par vénétoclax + rituximab, une neutropénie fébrile a été rapportée chez 4 % des patients, des infections de grade ≥ 3 chez 18 % et des infections graves chez 21 % des patients.

Leucémie aiguë myéloïde

Dans l'étude VIALE‑A, une neutropénie de grade≥ 3 a été rapportée chez 45 % des patients. Les effets indésirables suivants ont également été rapportés dans le bras vénétoclax + azacitidine versus le bras placebo + azacitidine, respectivement : neutropénie fébrile (42 % versus 19 %), infections de grade ≥ 3 (64 % versus 51 %) et infections graves (57 % versus 44 %).

Dans l'étude M14‑358, une neutropénie a été rapportée chez 35 % (tous grades) et 35 % (grade 3 ou 4) des patients du bras vénétoclax + décitabine.

Population pédiatrique

Le profil de tolérance du vénétoclax chez les patients pédiatriques est basé sur les données d'une étude de phase I en ouvert (M13-833) menée auprès de 140 patients pédiatriques et jeunes adultes atteints de cancers récidivants ou réfractaires (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Aucun nouveau risque ou problème de sécurité n'a été identifié dans l'étude.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le VENCLYXTO 100 mg cp

Femmes en âge de procréer/Contraception chez les femmes

Les femmes doivent éviter le démarrage d'une grossesse pendant le traitement par Venclyxto et pendant au moins 30 jours après la fin du traitement. Par conséquent, les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes de contraception hautement efficaces pendant le traitement par vénétoclax et pendant 30 jours après la fin du traitement. On ne sait pas actuellement si le vénétoclax peut ou non diminuer l'efficacité des contraceptifs hormonaux ; par conséquent, les femmes utilisant une contraception hormonale doivent recourir en complément à une méthode de contraception mécanique.

Grossesse

Sur la base des études de toxicité embryo-fœtale chez l'animal (voir rubrique Données de sécurité préclinique), le vénétoclax peut provoquer une toxicité fœtale en cas d'administration à des femmes enceintes.

Il n'existe pas de données adéquates et bien contrôlées concernant l'utilisation du vénétoclax chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique). L'utilisation du vénétoclax est déconseillée au cours de la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthode de contraception hautement efficace.

Allaitement

On ne sait pas si le vénétoclax ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel.

Un risque pour l'enfant allaité ne peut être exclu.

L'allaitement doit être interrompu au cours du traitement avec Venclyxto.

Fertilité

Il n'existe pas de données sur les effets du vénétoclax sur la fertilité humaine. En raison de la toxicité testiculaire observée chez le chien à des expositions cliniquement pertinentes, le traitement par vénétoclax pourrait altérer la fertilité masculine (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Un avis spécialisé sur la possibilité de conservation du sperme doit être proposé à certains patients avant le début du traitement.


Mise en garde pour VENCLYXTO 100 mg cp

Mise en garde

Syndrome de lyse tumorale

Un syndrome de lyse tumorale, incluant des événements d'issue fatale et des insuffisances rénales nécessitant la mise sous dialyse, a été observé chez des patients traités par vénétoclax (voir rubrique Effets indésirables).

Le vénétoclax peut provoquer une réduction tumorale rapide et entraîner ainsi un risque de SLT lors de l'instauration et pendant la phase de titration de dose. Des modifications des électrolytes évocatrices d'un SLT nécessitant une prise en charge urgente peuvent survenir dès les 6 à 8 heures suivant la première dose de vénétoclax et lors de chaque augmentation de dose. Dans le cadre de la surveillance après commercialisation, des cas de SLT, incluant des événements d'issue fatale, ont été rapportés après une dose unique de 20 mg de vénétoclax. Afin de prévenir et réduire le risque de SLT, il convient de suivre les informations présentées dans la rubrique Posologie et mode d'administration, notamment en ce qui concerne l'évaluation du risque, les mesures de prophylaxie, le schéma de titration de dose et de modifications posologiques, la surveillance des valeurs biologiques et les interactions médicamenteuses.

Le risque de SLT est un continuum basé sur de nombreux facteurs, dont les comorbidités (en particulier la diminution de la fonction rénale), le volume tumoral et la splénomégalie chez les patients atteints de LLC.

Tous les patients doivent être évalués pour déterminer le risque, et recevoir une prophylaxie appropriée pour un SLT, incluant hydratation et agents hypo-uricémiants. Les paramètres biochimiques sanguins doivent être surveillés et les anomalies traitées sans attendre. Des mesures plus intensives (hydratation par voie intraveineuse, contrôles fréquents, hospitalisation) doivent être prises lorsque le risque global augmente. L'administration doit être interrompue si nécessaire ; à la reprise du traitement par vénétoclax, les recommandations relatives aux modifications posologiques doivent être suivies (voir Tableau 4 et Tableau 5). Les instructions pour la « Prophylaxie du syndrome de lyse tumorale (SLT) » doivent être suivies (voir rubrique Posologie et mode d'administration). 

L'association de ce médicament avec des inhibiteurs modérés ou puissants du CYP3A augmente l'exposition au vénétoclax et peut majorer le risque de SLT en début de traitement et pendant la phase de titration de dose (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Contre-indications). Les inhibiteurs de la P-gp ou de la protéine de résistance du cancer du sein (BCRP) peuvent également augmenter l'exposition au vénétoclax (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Neutropénie et infections

Chez les patients atteints de LLC, une neutropénie de grade 3 ou 4 a été rapportée chez des patients traités par vénétoclax dans les études en association avec le rituximab ou l'obinutuzumab et dans les études en monothérapie (voir rubrique Effets indésirables).

Chez les patients atteints de LAM, la survenue d'une neutropénie de grade 3 ou 4 est fréquente avant le début du traitement. Une détérioration du taux de neutrophiles peut être observée avec un traitement par vénétoclax en association avec un agent hypométhylant. La neutropénie peut réapparaître lors des cycles de traitement ultérieurs.

L'hémogramme doit être surveillé pendant toute la durée du traitement. Des interruptions du traitement ou des réductions de la dose sont recommandées chez les patients présentant une neutropénie sévère (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Des infections graves, incluant des cas de septicémie d'issue fatale, ont été rapportées (voir rubrique Effets indésirables). La surveillance de tout signe et symptôme d'infection est nécessaire. Toute suspicion d'infection doit être traitée rapidement, notamment par des antimicrobiens, par une interruption ou une réduction de la dose, et par l'administration de facteurs de croissance (par exemple G-CSF) selon le cas (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Vaccination

La sécurité et l'efficacité de la vaccination avec des vaccins vivants atténués pendant ou après le traitement par vénétoclax n'ont pas été étudiées. Les vaccins vivants ne doivent pas être administrés pendant le traitement et ce jusqu'à la reconstitution de la population lymphocytaire B.

Inducteurs du CYP3A

L'administration concomitante d'inducteurs du CYP3A4 peut entraîner une diminution de l'exposition au vénétoclax et par conséquent un risque de diminution de l'efficacité. L'utilisation concomitante du vénétoclax avec des inducteurs puissants ou modérés du CYP3A4 doit être évitée (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Femmes en âge de procréer

Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception hautement efficace au cours du traitement par le vénétoclax (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement).

Excipients à effet notoire

Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Précautions d'emploi

Syndrome de lyse tumorale

Fonction rénale réduite

Masse tumorale élevée

Splénomégalie

Neutropénie sévère

Infection

Suspicion d'infection

Insuffisance rénale (30 < Clcr < 80 ml/mn)

Vomissement

Insuffisance hépatique modérée à sévère

Patiente en âge de procréer

Homme fertile

Risque de développer un syndrome de lyse tumorale

Neutrophiles < 1000/mm3

Thrombopénie < 25000/mm3

Aptitude à conduire

Venclyxto n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Une fatigue et des sensations vertigineuses ont été rapportés chez certains patients traités par vénétoclax ; ces effets doivent être pris en compte lors de l'évaluation de l'aptitude du patient à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

Interaction avec d'autre médicaments

Le vénétoclax est métabolisé essentiellement par le CYP3A. 

Agents pouvant modifier les concentrations plasmatiques du vénétoclax

Inhibiteurs du CYP3A

L'administration concomitante de 400 mg une fois par jour de kétoconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A, de la P-gp et de la BCRP, pendant 7 jours chez 11 patients a augmenté la Cmax de 2,3 fois et l'ASC de 6,4 fois du vénétoclax. L'administration concomitante de 50 mg une fois par jour de ritonavir, un inhibiteur puissant du CYP3A et de la P-gp, pendant 14 jours chez 6 volontaires sains a augmenté la Cmax de 2,4 fois et l'ASC de 7,9 fois du vénétoclax. Par rapport au vénétoclax 400 mg seul, l'administration concomitante de 300 mg de posaconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A et de la P‑gp, avec du vénétoclax 50 mg et 100 mg pendant 7 jours chez 12 patients a augmenté la Cmax du vénétoclax de 1,6 fois et 1,9 fois, ainsi que l'ASC de 1,9 fois et 2,4 fois, respectivement. L'administration concomitante du vénétoclax avec d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 devrait augmenter l'ASC du vénétoclax de 5,8 à 7,8 fois en moyenne.

Pour les patients nécessitant l'administration concomitante de vénétoclax avec des inhibiteurs puissants du CYP3A (par exemple itraconazole, kétoconazole, posaconazole, voriconazole, clarithromycine, ritonavir) ou des inhibiteurs modérés du CYP3A (par exemple ciprofloxacine, diltiazem, érythromycine, fluconazole, vérapamil), la posologie de vénétoclax doit être administrée conformément au Tableau 7. Les patients doivent être surveillés plus étroitement pour détecter des signes de toxicité et un nouvel ajustement posologique peut s'avérer nécessaire. La dose de vénétoclax qui était administrée avant l'instauration du traitement par l'inhibiteur du CYP3A doit être reprise 2 à 3 jours après l'arrêt de l'inhibiteur (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

La consommation de produits à base de pamplemousse, d'oranges amères et de carambole doit être évitée pendant le traitement par le vénétoclax car ils contiennent des inhibiteurs du CYP3A.

Inhibiteurs de la P-gp et de la BCRP

Le vénétoclax est un substrat de la P-gp et de la BCRP. L'administration concomitante d'une dose unique de 600 mg de rifampicine, un inhibiteur de la P-gp, chez 11 volontaires sains a augmenté de 106 % la Cmax et de 78 % l'ASC du vénétoclax.L'utilisation concomitante du vénétoclax avec des inhibiteurs de la P-gp et de la BCRP en début de traitement et pendant la phase de titration de dose doit être évitée ; si l'administration d'un inhibiteur de la P-gp et de la BCRP est nécessaire, les patients doivent être surveillés étroitement pour détecter des signes de toxicité (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

Inducteurs du CYP3A

L'administration concomitante d'une dose quotidienne de 600 mg de rifampicine, un inducteur puissant du CYP3A, pendant 13 jours chez 10 volontaires sains a diminué la Cmax de 42 % et l'ASCde 71 % du vénétoclax. L'administration concomitante de vénétoclax avec des inducteurs puissants du CYP3A (par exemple carbamazépine, phénytoïne, rifampicine) ou modérés (par exemple bosentan, éfavirenz, étravirine, modafinil, nafcilline) doit être évitée. Des traitements alternatifs ayant un effet inducteur moindre sur le CYP3A doivent être envisagés. L'utilisation de préparations à base de millepertuis est contre-indiquée au cours du traitement par vénétoclax, en raison d'une réduction potentielle de l'efficacité (voir rubrique Contre-indications).

Azithromycine

Dans une étude clinique sur les interactions médicamenteuses chez 12 volontaires sains, l'administration concomitante de 500 mg d'azithromycine le premier jour, suivis de 250 mg d'azithromycine une fois par jour pendant 4 jours a diminué de 25 % la Cmax et de 35 % l'ASC du vénétoclax. Aucun ajustement posologique n'est nécessaireen cas d'utilisation de courte durée d'azithromycine dans le cadre d'une administration concomitante avec du vénétoclax.

Agents diminuant l'acidité gastrique

Selon une analyse pharmacocinétique de population, les agents diminuant l'acidité gastrique (par exemple inhibiteurs de la pompe à protons, antihistaminiques H2, antiacides) n'ont pas d'effet sur la biodisponibilité du vénétoclax.

Chélateurs des acides biliaires

L'administration concomitante de chélateurs des acides biliaires avec vénétoclax n'est pas recommandée car elle pourrait réduire l'absorption du vénétoclax. Si un chélateur des acides biliaires est administré en même temps que le vénétoclax, le RCP du chélateur des acides biliaires doit être respecté afin de réduire le risque d'interaction et le vénétoclax doit être administré au moins 4 à 6 heures après le chélateur.

Agents dont les concentrations plasmatiques peuvent être modifiés par le vénétoclax

Warfarine

Dans une étude clinique sur les interactions médicamenteuses chez trois volontaires sains, l'administration d'une dose unique de 400 mg de vénétoclax avec 5 mg de warfarine a entraîné une augmentation de 18 % à 28 % de la Cmaxet de l'ASC de la R-warfarine et de la S-warfarine. Le vénétoclax n'ayant pas été administré à l'état d'équilibre, il est recommandé de surveiller étroitement le rapport international normalisé (INR) chez les patients traités par la warfarine.

Substrats de la P-gp, de la BCRP et de l'OATP1B1

Le vénétoclax est un inhibiteur de la P-gp, de la BCRP et de l'OATP1B1 (protéine de transport de l'anion organique) in vitro. Dans une étude clinique sur les interactions médicamenteuses, l'administration d'une dose unique de 100 mg de vénétoclax avec 0,5 mg de digoxine, un substrat de la P-gp, a entraîné une augmentation de 35 % de la Cmax de la digoxine et une augmentation de 9 % de l'ASC de la digoxine. L'administration concomitante de substrats de la P-gp ou de la BCRP à marge thérapeutique étroite (par exemple, digoxine, dabigatran, évérolimus, sirolimus) avec le vénétoclax est déconseillée.

Si l'utilisation d'un substrat de la P-gp ou de la BCRP à marge thérapeutique étroite est nécessaire, celui-ci doit être utilisé avec prudence. S'il s'agit d'un substrat de la P-gp ou de la BCRP sensible à l'inhibition dans le tractus gastro-intestinal (par exemple, dabigatran etexilate), son administration doit être séparée le plus possible de l'administration du vénétoclax afin de minimiser une interaction potentielle.

En cas d'utilisation concomitante d'une statine (substrat de l'OATP) avec le vénétoclax, une surveillance étroite de la toxicité liée aux statines est recommandée.


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Excipients

Noyau du comprimé : Copovidone, Silice colloïdale, Polysorbate 80, Fumarate de stéaryle sodique, Calcium hydrogénophosphate, Pelliculage : Fer oxyde, Polyvinylique alcool, Titane dioxyde, Macrogol 3350, Talc

Exploitant / Distributeur

ABBVIE

10, rue d'Arcueil

94528

RUNGIS CEDEX

Code UCD7 : 9422808

Code UCD13 : 3400894228080

Code CIS : 63696471

T2A médicament : Non

Laboratoire exploitant : ABBVIE

Prix vente TTC : 659.21€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 659.21€

Taux SS : 100%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH1

Date AMM : 05/12/2016

Rectificatif AMM : 21/10/2025

Marque : VENCLYXTO

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400930077900

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

VENCLYXTO 100 mg, comprimé pelliculé, boîte de 28 plaquettes de 4

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VENCLYXTO 100 mg, comprimé pelliculé, boîte de 7 plaquettes de 1

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