UMATROPE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Poudre et solvant pour solution injectable
Catégories :
Endocrinologie, Hormones de l'antéhypophyse et analogues, Somatropine et analogues, Somatropine
Principes actifs :
Somatropine
Retard de croissance lié à un déficit en hormone de croissance, Petite taille chez les enfants atteints du syndrome de Turner, Retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique, Retard de croissance chez l'enfant associé à un déficit du gène SHOX, Retard de croissance chez l'enfant né petit pour l'âge gestationnel, Déficit en hormone de croissance chez l'adulte
Adulte . Déficit somatotrope de l'adulte. Voie SC (implicite)
0.3 mg par jour en injection SC. Maximum 1 mg par jour.
ou 0.0375 ml par jour en injection SC. Maximum 0.125 ml par jour.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant . Retard de croissance chez l'enfant associé à un déficit du gène SHOX. Voie SC
0.05 mg par kilo par jour en injection SC.
ou 0.00625 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant . de sexe féminin. Petite taille chez les enfants atteints du syndrome de Turner. Voie SC
0.05 mg par kilo le soir en injection SC.
ou 0.00625 ml par kilo le soir en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant . Retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique. Voie SC
0.05 mg par kilo par jour en injection SC.
ou 0.00625 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant . Retard de croissance lié à un déficit somatotrope. Voie SC (implicite)
0.035 mg par kilo par jour en injection SC.
ou 0.004375 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant de plus de 4 ans . Retard de croissance chez l'enfant né petit pour l'âge gestationnel. Voie SC
0.035 mg par kilo par jour en injection SC.
ou 0.004375 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Voie SC
PREVENIR IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de maux de tête sévères ou persistants, de problèmes visuels, nausées et/ou vomissements.
CONSULTER LE MEDECIN en cas d' apparition d'une claudication ou d'une douleur à la hanche ou au genou.
PREVENIR LE MEDECIN en cas de mal de ventre intense ou douleur dans le dos.
SPORTIFS : Substance dopante.
Apnée du sommeil
Hypertension
Insomnie
Syndrome du canal carpien
Myalgie
Dyspnée
Hyperglycémie
Paresthésie
Oedème généralisé
Hypersensibilité
Anticorps antihormone de croissance
Douleur au site d'injection
Oedème au site d'injection
Hypothyroïdisme
Progression de la scoliose
Gynécomastie
Faiblesse
Diabète de type 2
Pancréatite
Glycosurie
Hypertension intracrânienne bénigne
Oedème
Résistance à l'insuline
La liste suivante détaille les effets indésirables ainsi que leur fréquence basée sur les essais cliniques et rapports spontanés de post-marketing :
Affections du système immunitaire
Hypersensibilité aux solvants (métacrésol/glycérol) : 1 %-10 %.
Hypersensibilité à la substance active : fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections endocriniennes
Hypothyroïdisme : 1 %-10 %.
Affections des organes de reproduction et du sein
Gynécomastie : 0,1 %-1 %.
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Hyperglycémie modérée : 1 % enfants ; 1 %-10 % adultes.
Diabète de type 2 : 0,1 %-1 % enfants ; des cas adultes ont été rapportés spontanément avec une fréquence indéterminée.
Résistance à l'insuline.
Affections du système nerveux
Hypertension intracrânienne bénigne : 0,01 %-0,1 %.
Maux de tête : > 10 % adultes.
Insomnie : < 0,01 % enfants ; 1 %-10 % adultes.
Paresthésie : 0,01 %-0,1% enfants ; 1 %-10 % adultes.
Syndrome du canal carpien : 1 %-10 % adultes.
Affections vasculaires
Hypertension : < 0,01 % enfants ; 1 %-10 % adultes.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Dyspnée : 1 %-10 % adultes.
Apnée du sommeil : 1 %-10 % adultes.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Douleur musculaire localisée (myalgie) : 1 %-10 % adultes ; 0,01 %-0,1 % enfants.
Douleur et trouble articulaire (arthralgie) : > 10 % adultes
Progression de la scoliose : 1 %-10 % enfants.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Faiblesse : 0,1 %-1 %.
Douleur au niveau du site d'injection (réaction) : 1 %-10 %.
Œdème (local et généralisé) : 1 %-10 % enfants ; 10 % adultes.
Investigations
Glycosurie : < 0,01 % enfants ; 0,01 %-0,1 % adultes
Population pédiatrique
Dans les études cliniques réalisées chez des patients ayant un déficit en hormone de croissance, environ 2 % des patients ont développé des anticorps contre l'hormone de croissance. Dans les études réalisées dans le cas de syndrome de Turner et comportant l'administration de fortes doses, jusqu'à 8 % des patients ont développé des anticorps contre l'hormone de croissance.
La capacité de fixation de ces anticorps était faible et la vitesse de croissance n'était pas perturbée. La présence d'anticorps contre l'hormone de croissance doit être recherchée chez tout patient qui ne répond pas au traitement.
Un léger oedème transitoire précoce a été observé au cours du traitement.
Des cas de leucémies ont été rapportés chez un petit nombre d'enfants traités par l'hormone de croissance. Cependant, il n'y a pas de preuve que l'incidence de leucémies soit augmentée chez les patients traités par l'hormone de croissance, en l'absence de facteurs prédisposants.
Chez l'adulte :
Chez les adultes qui ont un déficit en hormone de croissance, des phénomènes d'oedème, de douleur musculaire, de douleur et d'affection articulaires ont été rapportés en début de traitement et étaient le plus souvent transitoires.
La fréquence des effets indésirables est plus faible chez les adultes traités par hormone de croissance qui ont un déficit somatotrope depuis l'enfance que ceux ayant un déficit acquis à l'âge adulte.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr
Voir plus
Grossesse
Aucune étude de reproduction animale n'a été réalisée avec UMATROPE. L'éventualité d'un effet nocif d'UMATROPE sur le foetus lors de l'administration chez la femme enceinte ou sur la capacité de reproduction n'est pas connue. UMATROPE ne doit être administré à la femme enceinte qu'en cas de nécessité.
Allaitement
Aucune étude n'a été réalisée avec UMATROPE chez la femme en période de lactation. Il n'existe aucune donnée sur la sécrétion du produit dans le lait. Etant donné le grand nombre de médicaments sécrétés dans le lait, la prudence s'impose lorsqu'UMATROPE est administré chez la femme en période de lactation.
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
La dose maximale quotidienne recommandée ne doit pas être dépassée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Le déficit somatotrope des sujets ayant été traités pendant l'enfance et jusqu'à leur taille finale par l'hormone de croissance doit être réévalué après la soudure des cartilages de conjugaison avant l'instauration du traitement substitutif aux doses recommandées pour l'adulte.
Le diagnostic et le traitement par UMATROPE doivent être réalisés et suivis par un médecin spécialisé et expérimenté dans le diagnostic et le traitement de patients atteints d'un déficit en hormone de croissance.
A ce jour, il n'a pas été montré que la substitution en hormone de croissance influence le taux de récidive ou la progression des néoplasies intracrâniennes ; cependant en pratique clinique, des contrôles réguliers d'imagerie hypophysaire sont nécessaires chez les patients ayant des antécédents de pathologie hypophysaire. Une imagerie de base est recommandée chez ces patients avant d'instaurer le traitement substitutif par hormone de croissance.
Un risque plus élevé de second néoplasme (bénin ou malin) a été rapporté chez les patients traités par somatropine, ayant survécu à un cancer durant leur enfance. Parmi ces seconds néoplasmes, les tumeurs intracrâniennes, en particulier, ont été les plus fréquentes.
En cas de céphalées sévères ou récidivantes, de problèmes visuels, de nausées et/ou vomissements, il est conseillé de pratiquer un examen du fond de l'oeil à la recherche d'un oedème papillaire. En cas d'oedème papillaire confirmé, il faut envisager un diagnostic d'hypertension intracrânienne bénigne et le cas échéant, le traitement par hormone de croissance doit être interrompu.
L'état actuel des connaissances ne permet pas de recommander la poursuite du traitement chez des patients ayant une hypertension intracrânienne résolue. Si le traitement par hormone de croissance est réinstitué, une surveillance rapprochée à la recherche de signes d'hypertension intracrânienne s'impose.
Les patients atteints de pathologies endocriniennes, dont le déficit en hormone de croissance, peuvent présenter plus fréquemment une épiphysiolyse de hanche. Tout enfant présentant une claudication au cours du traitement par l'hormone de croissance devra être examiné.
L'hormone de croissance augmente la conversion périphérique de T4 en T3 et peut ainsi révéler une hypothyroïdie débutante. C'est pourquoi la surveillance thyroïdienne devrait être effectuée chez tous les patients.
Chez les patients présentant un hypopituitarisme, les autres traitements substitutifs doivent être adaptés étroitement lors de l'introduction du traitement par l'hormone de croissance.
Chez les enfants, le traitement doit être poursuivi jusqu'à l'achèvement de la croissance. Il est conseillé de ne pas dépasser la posologie recommandée étant donné les risques potentiels d'acromégalie, d'hyperglycémie et de glycosurie.
Avant d'instaurer le traitement par de la somatropine pour le retard de la croissance secondaire à une insuffisance rénale chronique, les patients doivent avoir été suivis pendant un an afin de confirmer ce retard. Un traitement conservateur de l'insuffisance rénale (incluant le contrôle de l'acidose, de l'hyperparathyroïdie et de l'état nutritionnel pendant l'année précédant l'instauration du traitement) doit avoir été établi et doit être maintenu pendant toute la durée de traitement. Le traitement par la somatropine doit être arrêté au moment de la transplantation rénale.
Les effets de l'hormone de croissance sur l'évolution d'un état critique ont été étudiés dans deux essais contrôlés versus placebo chez 522 adultes présentant des complications secondaires à une intervention chirurgicale à coeur ouvert ou abdominale, un polytraumatisme, ou une insuffisance respiratoire aiguë. La mortalité a été plus élevée dans le groupe de patients traités par l'hormone de croissance (doses de GH : 5,3-8 mg/jour) que dans le groupe sous placebo (41,9 % versus 19,3 %). La sécurité d'emploi sur la poursuite du traitement par l'hormone de croissance chez les patients recevant des doses substitutives dans les indications validées et qui développeraient parallèlement ces pathologies n'a pas été établie. En conséquence, le bénéfice potentiel de la poursuite du traitement chez les patients en état critique aigu doit être évalué au regard de ce risque potentiel.
Si une femme traitée par somatropine débute un traitement oestrogénique par voie orale, il peut être nécessaire d'augmenter la dose de somatropine pour maintenir les taux sériques d'IGF-1 dans l'intervalle normal pour l'âge. Inversement, si une femme sous somatropine interrompt un traitement oestrogénique oral, il se peut que la dose de somatropine doive être réduite pour éviter un excès d'hormone de croissance et / ou des effets indésirables (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). La dose administrée d'hormone de croissance devra être réadaptée lors de toute modification de la voie d'administration des oestrogènes (voie orale vers voie transdermique ou vice-versa). Une augmentation de la sensibilité à l'hormone de croissance (se traduisant par un changement du taux d'IGF-1 à la même dose d'hormone de croissance) peut apparaître en cours de traitement notamment chez l'homme.
L'initiation du traitement par la somatropine peut entraîner une inhibition de la 11βHSD-1 et réduire les concentrations sériques de cortisol. Chez les patients traités par la somatropine, une insuffisance surrénale centrale (secondaire) non diagnostiquée auparavant peut être découverte et un traitement substitutif par glucocorticoïde peut être nécessaire. De plus, les patients traités par glucocorticoïde pour une insuffisance surrénalienne préalablement diagnostiquée peuvent nécessiter une augmentation de leurs doses d'entretien ou de stress, après le début du traitement par la somatropine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
A moins que les patients ayant un syndrome de Prader-Willi ne présentent un déficit en hormone de croissance, UMATROPE n'est pas indiqué pour le traitement des patients atteints d'un retard de croissance lié à un syndrome de Prader-Willi confirmé génétiquement.
Des cas d'apnée du sommeil et de mort subite ont été rapportés après l'initiation d'un traitement par hormone de croissance chez des patients présentant un syndrome de Prader-Willi et ayant un ou plusieurs facteurs de risque suivants : obésité sévère, antécédents d'obstruction des voies aériennes supérieures, d'apnée du sommeil, ou d'infection respiratoire non identifiée.
La somatropine pouvant réduire la sensibilité à l'insuline, les patients doivent être surveillés à la recherche d'une intolérance au glucose. Il peut être nécessaire d'ajuster la dose d'insuline après l'instauration d'un traitement par de la somatropine chez les patients diabétiques. Les patients diabétiques ou intolérants au glucose doivent être étroitement surveillés lors du traitement par de la somatropine.
Les patients âgés (âge ≥ 65 ans) sont plus sensibles à l'action d'UMATROPE et peuvent être plus prédisposés à développer des effets indésirables (sévères).
Les données concernant les patients âgés de plus de 80 ans sont limitées.
Il n'y a pas de données concernant le traitement prolongé chez l'adulte.
Chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel, les autres causes ou traitements pouvant expliquer un retard de croissance doivent être exclus avant d'initier le traitement.
Chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel, il est recommandé de mesurer l'insulinémie et la glycémie à jeun avant de commencer le traitement, puis annuellement. Chez les patients présentant un risque accru de diabète (antécédents familiaux de diabète, obésité, insulino-résistance sévère, acanthosis nigricans, par exemple), un test d'hyperglycémie provoquée par voie orale doit être réalisé. Si un diabète est diagnostiqué, l'hormone de croissance ne devra pas être administrée tant que le diabète ne sera pas équilibré. L'hormone de croissance pourra ensuite être instaurée avec un étroit contrôle de l'équilibre glycémique. Une augmentation de la dose d'insuline pourra être nécessaire.
Chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel, il est recommandé de mesurer la concentration plasmatique d'IGF-1 avant d'initier le traitement, et par la suite de le faire 2 fois par an. Si sur des mesures répétées, les taux d'IGF-1 sont supérieurs à + 2 DS comparés aux valeurs standard pour le sexe, l'âge et le stade pubertaire, le ratio IGF-1/IGFBP-3 devrait être pris en considération pour l'ajustement de la dose.
Chez les patients nés petits pour l'âge gestationnel ou les enfants présentant un déficit du gène SHOX, il n'est pas recommandé d'initier le traitement proche du début de la puberté, l'expérience étant limitée.
Une partie du gain de taille obtenu chez les enfants nés petits pour l'âge gestationnel pourrait être perdue si le traitement est arrêté avant que la taille finale ne soit atteinte.
Pancréatite
Bien que rare, une pancréatite doit être envisagée chez les patients traités par somatropine qui présentent une douleur abdominale, surtout chez les enfants.
Progression de la scoliose chez les enfants
Une scoliose peut progresser chez tout enfant lors d'une croissance rapide. Les signes de scoliose doivent être surveillés pendant le traitement.
Excipient(s) à effet notoire
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium par dose (23 mg), c'est-à-dire qu'il est essentiellement sans sodium.
Maladie hypophysaire
Rémission d'une maladie maligne
Céphalée
Problèmes visuels
Nausées et/ou vomissements
Oedème papillaire
Hypertension intracrânienne bénigne
Claudication
Surveillance fonction thyroïdienne
Insuffisance surrénale secondaire
Syndrome de Prader-Willi
Diabète
Intolérance au glucose (dysglycémie)
Sujet âgé de plus de 65 ans
Facteurs de risque de diabète
Douleur abdominale
Scoliose
Paresthésie sévère
Oedème
Allaitement
Il peut être nécessaire d'ajuster les doses d'insuline et/ou d'antidiabétiques chez les patients diabétiques qui reçoivent concomitamment de la somatropine.
Un traitement concomitant par des glucocorticoïdes inhibe les effets stimulants de la croissance de la somatropine. Le traitement substitutif par glucocorticoïdes des patients présentant un déficit en ACTH doit être ajusté avec précaution afin d'éviter tout effet inhibiteur sur la croissance. L'hormone de croissance diminue la conversion de la cortisone en cortisol et peut mettre en évidence une insuffisance surrénale centrale non encore diagnostiquée ou rendre inefficaces de faibles doses des glucocorticoïdes (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Chez les femmes ayant un traitement oral substitutif par oestrogènes, une dose plus élevée d'hormone de croissance est parfois nécessaire pour obtenir le résultat escompté (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
La somatropine peut augmenter l'activité de l'enzyme cytochrome P450 (CYP) chez l'homme et peut conduire à une diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des médicaments métabolisés par le CYP3A tels que les stéroïdes sexuels, les corticostéroïdes, la cyclosporine et les anticonvulsivants.
UMATROPE_10042024_AVIS_CT20681
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Télécharger le documentHormone de croissance synthétique (somatropine) : suivi de la tolérance à long terme de ces médicaments - Point d'information
Télécharger le documentSomatropine : L'EMA confirme le rapport bénéfice/risque favorable de l'hormone de croissance recombinante dans les indications et aux doses recommandées par l'AMM - Point d'information
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Télécharger le documentDocument court "L’hormone de croissance chez l’enfant non déficitaire, éva
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Télécharger le documentHormone de Croissance recombinante (somatropine recombinante) : Actualisation des données sur le rapport bénéfice/risque
Télécharger le documentPoints d'information sur les dossiers discutés en commission d'AMM Séance du jeudi 26 mai 2011- Communiqué de presse
Télécharger le documentHormone de Croissance recombinante (somatropine recombinante) : Premiers résultats de l'étude épidémiologique sur la tolérance à long terme (SAGhE)
Télécharger le documentHormone de Croissance synthétique (somatropine recombinante) : Premiers résultats de l'étude épidémiologique sur la tolérance à long terme - Communiqué
Télécharger le documentHormone de Croissance recombinante (somatropine recombinante) : Premiers résultats de l'étude épidémiologique sur la tolérance à long terme - Information destinée aux médecins endocrinologues et pédiatres.
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Télécharger le documentUMATROPE - CT 4613 - English version
Télécharger le documentUMATROPE - CT 4613
Télécharger le documentCartouches de poudre : Mannitol, Glycine, Phosphate disodique, Phosphorique acide, Sodium hydroxyde, Seringues de solvant : Glycérol, Métacrésol, Eau pour préparations injectables, Chlorhydrique acide, Sodium hydroxyde, Substrats d'origine : Protéines d'Escherichia coli
LILLY FRANCE
24 Boulevard Vital Bouhot CS 50004
92521
NEUILLY SUR SEINE CEDEX
Code UCD7 : 9238246
Code UCD13 : 3400892382463
Code CIS : 64156624
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : LILLY FRANCE
Laboratoire exploitant : LILLY FRANCE
Prix vente TTC : 535.76€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 535.76€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 21/11/1995
Rectificatif AMM : 06/07/2021
Marque : UMATROPE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400934216015
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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