TRANXENE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Lyophilisat et solution pour usage parentéral
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Anxiolytiques, Benzodiazépines, Clorazépate
Principes actifs :
Lyophilisat :, Clorazépate dipotassique
Crise d'angoisse paroxystique, Crise d'agitation, Delirium tremens et autres manifestations du sevrage alcoolique lorsque la voie orale est impossible, Delirium tremens en unité de soins intensifs ou de réanimation, Prémédication à certaines explorations fonctionnelles
Adulte . Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV (implicite)
200 mg par jour.
ou 20 ml par jour.
Adulte . Delirium tremens et autres manifestations du sevrage alcoolique lorsque la voie orale est impossible. Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV
100 mg par jour.
ou 10 ml par jour.
Adulte . Prémédication à certaines explorations fonctionnelles. Voie IM profonde, IV directe lente
50 mg à injecter, 1/4 d'heure à 1/2 heure avant l'examen.
ou 5 ml à injecter, 1/4 d'heure à 1/2 heure avant l'examen.
Adulte . Delirium tremens en unité de soins intensifs ou de réanimation. Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV
100 mg tous les 3 heures. Maximum 800 mg par jour.
ou 10 ml tous les 3 heures. Maximum 80 ml par jour.
Sujet âgé . Traitement initial. Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV (implicite)
100 mg par jour.
ou 10 ml par jour.
Sujet âgé . Traitement initial. Delirium tremens et autres manifestations du sevrage alcoolique lorsque la voie orale est impossible. Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV
50 mg par jour.
ou 5 ml par jour.
Sujet âgé . Traitement initial. Delirium tremens en unité de soins intensifs ou de réanimation. Voie IM profonde, IV directe lente ou perfusion IV
50 mg tous les 3 heures. Maximum 400 mg par jour.
ou 5 ml tous les 3 heures. Maximum 40 ml par jour.
Sujet âgé . Traitement initial. Prémédication à certaines explorations fonctionnelles. Voie IM profonde, IV directe lente
25 mg à injecter, 1/4 d'heure à 1/2 heure avant l'examen.
ou 2½ ml à injecter, 1/4 d'heure à 1/2 heure avant l'examen.
Voie IM
Voie IV
ARRETER LE TRAITEMENT et CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Perte de la mémoire concernant les événements survenus pendant le traitement (amnésie antérograde).
- Troubles du comportement (tels que agressivité ou actes automatiques), agitation, nervosité, colère, euphorie ou irritabilité, tension.
- Insomnie, cauchemars.
- Altération de l'état de conscience, idées délirantes.
- Difficulté à coordonner certains mouvements (altération des fonctions psychomotrices).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou de machines (somnolence, baisse de vigilance).
EVITER la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool.
CONTACTER LE MEDECIN le plus tôt possible en cas d'idées suicidaires.
Asthénie
Sensation ébrieuse
Syndrome de sevrage
Dépendance psychique
Dépendance physique
Syndrome de rebond à l'arrêt du traitement
Agitation
Irritabilité
Eruption cutanée
Confusion
Hypotonie musculaire
Modification de la libido
Réaction d'hypersensibilité
Eruption prurigineuse
Trouble de l'attention
Agressivité
Céphalée
Insomnie
Cauchemars
Amnésie antérograde
Diplopie
Ataxie
Réaction paradoxale aux benzodiazépines
Trouble de la mémoire
Chute
Apnée
Etat confuso-onirique
Trouble cognitif
Modification de la conscience
Tension nerveuse
Trouble du comportement
Trouble de la parole
Hallucination
Les effets indésirables sont classés par fréquence d'apparition en utilisant la règle suivante : très fréquent (= 1/10), fréquent (= 1/100 à < 1/10), peu fréquent (= 1/1000 à < 1/100), rare (= 1/10 000 à < 1/1000), très rare (< 1/10 000), indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Ils sont en rapport avec la dose ingérée et la sensibilité individuelle du patient.
Affections psychiatriques
· Fréquent : dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement.
· Peu fréquent : agitation, irritabilité, confusion, modifications de la libido.
· Indéterminée :
o troubles du comportement et troubles paradoxaux, modifications de la conscience, agressivité, hallucinations, état confuso-onirique.
o insomnie, cauchemars, tension.
Affections du système nerveux
· Très fréquent : baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez le sujet âgé).
· Fréquent : sensations ébrieuses.
· Peu fréquent : hypotonie musculaire, troubles de l'attention.
· Indéterminée :
o troubles cognitifs tels que troubles de la mémoire (amnésie antérograde), qui peuvent survenir aux doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose, troubles de la parole.
o céphalées, ataxie.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
· Peu fréquent : éruptions cutanées, prurigineuses ou non.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
· Fréquent : asthénie.
· Indéterminée :
o chute, risque d'apnée en cas d'injection intraveineuse rapide.
Affections oculaires
· Indéterminée : diplopie.
Affections du système immunitaire
· Peu fréquent : réactions d'hypersensibilité.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.
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Grossesse
De nombreuses données issues d'études de cohorte n'ont pas mis en évidence la survenue d'effets malformatifs lors d'une exposition aux benzodiazépines au cours du 1er trimestre de la grossesse. Cependant, dans certaines études épidémiologiques cas-témoins, une augmentation de la survenue de fentes labio-palatines a été observée avec les benzodiazépines. Selon ces données, l'incidence des fentes labio-palatines chez les nouveau-nés serait inférieure à 2/1000 après exposition aux benzodiazépines au cours de la grossesse alors que le taux attendu dans la population générale est de 1/1000.
En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3ème trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et une variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits. Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépines même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une faible prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néo-natal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue.
Compte tenu de ces données, par mesure de prudence, l'utilisation de clorazépate est déconseillée au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme.
En cas de prescription de clorazépate à une femme en âge de procréer, celle-ci devrait être avertie de la nécessité de contacter son médecin si une grossesse est envisagée ou débutée afin qu'il réévalue l'intérêt du traitement.
En fin de grossesse, s'il s'avère réellement nécessaire d'instaurer un traitement par clorazépate, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.
Allaitement
L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée.
Mises en garde spéciales
TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE
L'effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines.
DEPENDANCE
Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.
Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :
· durée du traitement,
· dose,
· antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises ; ceci n'a pas été observé avec le clorazépate dipotassique compte-tenu de sa longue demi-vie (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques.).
L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance.
Des cas d'abus ont également été rapportés.
PHENOMENE DE REBOND
Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.
AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES
Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise.
TROUBLES DU COMPORTEMENT ET TROUBLES PARADOXAUX
Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire.
Peuvent être observés :
· aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité,
· idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique,
· désinhibition avec impulsivité, colère,
· euphorie, irritabilité,
· amnésie antérograde,
· suggestibilité.
Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :
· comportement inhabituel pour le patient,
· comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient,
· conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement. Elles sont plus fréquemment observées chez les enfants et les sujets âgés.
RISQUE D'ACCUMULATION
Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques).
Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament.
Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
RISQUE D'UTILISATION CONCOMITANTE DES BENZODIAZEPINES AVEC LES OPIOÏDES
L'utilisation concomitante de benzodiazépines, y compris le clorazépate dipotassique, et d'opioïdes peut entrainer une sédation, une dépression respiratoire, un coma et un décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante d'opioïdes et de benzodiazépines doit être réservée aux patients pour lesquels les alternatives thérapeutiques sont inadéquates.
Si la décision est prise de prescrire de façon concomitante du clorazépate dipotassique et des opioïdes, la dose efficace la plus faible doit être prescrite pour une durée la plus courte possible et le patient doit être étroitement suivi pour tout signe et symptôme de dépression respiratoire et de sédation (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
SUJET AGE
Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation, de sensations ébrieuses et/ou d'effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population. Une diminution de la posologie est recommandée.
Précautions d'emploi
Ce médicament contient moins de 1 mmol (39 mg) de potassium par flacon de 20 mg/2mL de solution reconstituée, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans potassium ».
Néanmoins, ce médicament contenant 17 mg de potassium par flacon de 20 mg/2 ml de solution reconstituée, il est à prendre en compte chez les patients insuffisants rénaux ou chez les patients contrôlant leur apport alimentaire en potassium, pour des doses supérieures à 40 mg de solution reconstituée.
Du fait de sa concentration en potassium, ce médicament peut causer des douleurs au site d'injection.
La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolisme ou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions.)
IDEE SUICIDAIRE/TENTATIVE DE SUICIDE/SUICIDE ET DEPRESSION
Certaines études épidémiologiques montrent une augmentation de l'incidence des idées suicidaires, des tentatives de suicide et des suicides chez les patients dépressifs ou non, et traités par des benzodiazépines et autres hypnotiques, y compris le clorazépate dipotassique. Cependant, le lien de causalité n'a pas été établi.
CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR OU UNE ANXIETE ASSOCIEE A UNE DEPRESSION
Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.
MODALITES D'ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT
Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.
Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin de minimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.
Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.
SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU HEPATIQUE
Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir Mises en garde).
INSUFFISANT RESPIRATOIRE
Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété et l'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).
La prise d'alcool ou de produits en contenant est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Antécédent de dépendance alcoolique
Antécédent de dépendance
Comportement anormal
Comportement d'auto-agression
Comportement agressif
Conduite automatique avec amnésie post-événementielle
Sujet âgé
Insuffisant rénal
Insuffisant hépatique léger à modéré
Dépression
Insuffisant respiratoire
Patiente en âge de procréer
Régime hypokaliémiant
Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence, d'amnésie, d'altération de la vigilance et de diminution de la force musculaire.
L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru.
Associations déconseillées
+ Alcool (boisson ou excipient)
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
+ Oxybate de sodium
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Associations à prendre en compte
+ Autres médicaments sédatifs : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; neuroleptiques ; barbituriques ; autres benzodiazépines ; anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple méprobamate) ; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine) ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide.
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Opioïdes
L'utilisation concomitante de benzodiazépines et d'opioïdes augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison de l'addition des effets dépresseurs du système nerveux central. Les doses et la durée du traitement concomitant par des benzodiazépines et des opioïdes doivent être limitées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Barbituriques
Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l'association.
+ Buprénorphine
Avec la buprénorphine utilisée en traitement de substitution : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.
Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.
+ Clozapine
Risque accru de collapsus avec arrêt respiratoire et/ou cardiaque.
+ Morphiniques
Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l'association.
REEVALUATION_BENZODIAZEPINES_12062024_AVIS_CT-EVAL561
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Télécharger le documentÉTAT DES LIEUX DE LA CONSOMMATION DES BENZODIAZÉPINES EN FRANCE
Télécharger le documentL'Afssaps dresse un etat des lieux de la consommation des benzodiazepines en France- Communiqué de presse
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Télécharger le documentTRANXENE 20 mg/2 ml lyophilisat et solution pour usage parentéral. Rupture de stock TRANXENE 20 mg/2 ml lyophilisat et solution pour usage parentéral (modèle hospitalier)
Télécharger le documentPsychiatrie : Livret AFSSaPS Médicaments et Grossesse Version N°4.
Télécharger le documentD-mannitol, Carbonate dipotassique, Solvant : Potassium hydrogénophosphate, Potassium dihydrogénophosphate, Eau pour préparations injectables, Présence de : Potassium
NEURAXPHARM FRANCE
44 Rue Cambronne
75015
PARIS
Code UCD7 : 9094362
Code UCD13 : 3400890943628
Code CIS : 62416105
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : NEURAXPHARM FRANCE
Laboratoire exploitant : NEURAXPHARM FRANCE
Prix vente TTC : 12.6€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 12.6€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 27/07/1988
Rectificatif AMM : 22/10/2025
Marque : TRANXENE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400932430161
Référence LPPR : Aucune
TRANXENE 20 mg/2 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral, boîte de 20 flacons de lyophilisat + 20 ampoules de solvant de 2 ml
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