TRANDOLAPRIL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Gélule
Catégories :
Cardiologie et angéiologie, Antihypertenseurs, Médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine, Inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC/ACE) non associés, Trandolapril, Cardiologie et angéiologie, Traitement de l'insuffisance cardiaque, Inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC/ACE), Trandolapril
Principes actifs :
Trandolapril
Hypertension artérielle légère ou modérée, Dysfonction ventriculaire gauche post-infarctus du myocarde
Adulte . Traitement initial. Hypertension artérielle légère ou modérée
½ mg 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau pendant 4 semaines.
ou 1 gélule 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau pendant 4 semaines.
Adulte . Traitement de J1. Dysfonction ventriculaire gauche post-infarctus du myocarde
½ mg 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau pendant 1 jour.
ou 1 gélule 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau pendant 1 jour.
Adulte . Traitement d'entretien. Hypertension artérielle légère ou modérée (implicite)
2 mg 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau. Maximum 4 mg par jour.
ou 4 gélules 1 fois par jour à avaler avec un peu d'eau. Maximum 8 gélules par jour.
Voie orale
Constipation
Crampe musculaire
Diarrhée
Douleur thoracique
Insomnie
Palpitation
Infection des voies respiratoires hautes
Oedème périphérique
Somnolence
Trouble gastro-intestinal
Malaise
Bouffées de chaleur
Diminution de la libido
Douleur dorsale
Nausée
Douleur gastro-intestinale
Trouble de l'érection
Inflammation des voies respiratoires supérieures
Extrémités douloureuses
Congestion des voies respiratoires supérieures
Sensation anormale
Accident vasculaire cérébral
Acné
Affection cutanée
Agitation
Anémie
Angine de poitrine
Anorexie
Anxiété
Blépharite
Bradycardie
Bronchite
Douleur abdominale
Dyspepsie
Eczéma
Epistaxis
Fatigue
Flatulence
Gastrite
Goutte
Hématémèse
Hépatite
Hypercholestérolémie
Hyperhidrose
Hyperlipidémie
Hypertension
Hyperuricémie
Hyponatrémie
Hypotension orthostatique
Ichtyose
Infarctus du myocarde
Infection des voies urinaires
Insuffisance rénale
Irritation de la gorge
Leucopénie
Migraine
Nervosité
Oedème
Pharyngite
Psoriasis
Sécheresse cutanée
Tachycardie
Tachycardie ventriculaire
Varice
Dépression
Syncope
Myalgie
Toux productive
Arthralgie
Diminution de l'appétit
Douleur osseuse
Dysgueusie
Dyspnée
Hyperglycémie
Paresthésie
Pollakiurie
Polyurie
Rhinorrhée
Trouble oculaire
Trouble respiratoire
Sécheresse de la bouche
Apathie
Myoclonie
Hypersensibilité
Vomissement
Hyperbilirubinémie
Trouble visuel
Trouble du sommeil
Oedème conjonctival
Cardiopathie congénitale
Azotémie
Inflammation pharyngée
Ischémie myocardique
Trouble vasculaire périphérique
Anomalie des globules blancs
Acouphène
Anomalie des plaquettes
Angioedème
Hallucination
Ostéo-arthrite
Douleur oropharyngée
Angiopathie
Anomalie enzymatique
Migraine sans aura
Crise cardiaque
Cholestase
Iléus
Pancréatite
Dermatite
Hyperlipasémie
Elévation des GGT
Augmentation des immunoglobulines
Alopécie
Anémie hémolytique
Bloc auriculoventriculaire
Glossite
Hyperkaliémie
Rhinite
Sinusite
Urticaire
Agranulocytose
Bronchospasme
Eruption cutanée
Hémorragie cérébrale
Arythmie
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Eosinophilie
Protéinurie
Erythème polymorphe
Arrêt cardiaque
Diminution de l'hématocrite
Pancytopénie
Trouble de l'équilibre
Eruption psoriasiforme
Augmentation de l'urémie
Vision floue
Pyrexie
Diminution du taux d'hémoglobine
Diminution du nombre de plaquettes
Nécrolyse épidermique toxique
Prurit cutané
Fonction rénale anormale
Accident ischémique transitoire
Jaunisse
Augmentation du taux de créatinine
Anomalie des tests biologiques
Augmentation de l'ASAT
Augmentation des taux des anticorps antinucléaires
Augmentation des taux sanguins de lactate déshydrogénase
Electrocardiogramme anormal
Augmentation des taux sanguins de phosphatase alcaline
Angioedème intestinal
ALAT augmentées
Diminution des transaminases
Le tableau ci-dessous mentionne les effets indésirables rapportés lors d'études cliniques sur l'hypertension (n=2 520) et l'infarctus du myocarde (n=876) et à partir des données de pharmacovigilance du trandolapril.
Au sein de chaque fréquence de groupe, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité, quand un degré de gravité peut être évalué.
*Selon l'étude clinique TRACE (n=876), l'hypotension est un effet fréquent chez les patients atteints de dysfonctionnement du ventricule gauche suite à un infarctus du myocarde. Cependant, cet effet est peu fréquent chez les patients des essais cliniques sur l'hypertension (n=2 520).
Effets indésirables rapportés avec les IEC en tant que classe (fréquence non précisée) :
Affections hématologiques et du système lymphatique :
Anémie hémolytique, éosinophilie et/ou augmentation des anticorps antinucléaires (ANN).
Affections du système nerveux
Confusion
Affections oculaires
Vision floue
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Sinusite, rhinite, glossite
Affections gastro-intestinales :
Angio-oedème intestinal
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Erythème polymorphe, éruptions psoriasiformes.
Affections congénitales, familiales et génétiques
Anémie hémolytique avec déficit congénital en G6PD (glucose-6-phosphate déshydrogénase)
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
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Grossesse
L'utilisation d'IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). L'utilisation des IEC est contre-indiquée au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC pendant le 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant, une légère augmentation du risque de malformation congénitale ne peut être exclue.
A moins que le traitement IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire, un traitement alternatif sera débuté.
L'exposition aux IEC au cours des 2èmes et 3èmes trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité humaine (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d'ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (voir aussi rubrique Données de sécurité préclinique). En cas d'exposition aux IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Allaitement
En raison de l'absence d'information disponible sur l'utilisation de TRANDOLAPRIL VIATRIS au cours de l'allaitement, TRANDOLAPRIL VIATRIS est déconseillé. Il est préférable d'utiliser d'autres traitements ayant un profil de sécurité mieux établi pendant l'allaitement, particulièrement chez le nouveau-né ou le prématuré.
Risque d'hypotension artérielle et/ou d'insuffisance rénale
Chez les patients atteints d'hypertension artérielle non compliquée, de rares cas d'hypotension symptomatique ont été observés après la première dose ou suite à augmentation de la posologie.
Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée dans certaines conditions, en particulier au cours des déplétions hydrosodées sévères (régime hyposodé, traitement diurétique prolongé, dialyse, diarrhée ou vomissements), en cas de sténose de l'artère rénale, d'insuffisance cardiaque et de cirrhose du foie avec oedèmes et/ou ascites. Le blocage de ce système par l'IEC peut entraîner une hypotension artérielle sévère et/ou une insuffisance rénale fonctionnelle, surtout lors de la première prise, lorsque la posologie est augmentée et au cours des deux premières semaines de traitement. Une hypotension artérielle sévère peut provoquer des pertes de connaissance et/ou provoquer des lésions ischémiques dans les organes ayant une pathologie artérielle (par exemple, infarctus aigu du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
Chez ces patients à risque, dont ceux ayant une maladie cardiaque ischémique ou une pathologie vasculaire cérébrale, le traitement par le trandolapril doit être instauré à faible posologie, sous étroite surveillance médicale, avec un ajustement progressif de la posologie. En cas de traitement antérieur par diurétique, et particulièrement quand le traitement a été récemment instauré, la chute de la pression sanguine peut être excessive lors de l'initiation du traitement par trandolapril. Il est recommandé d'arrêter ce dernier 72 heures au moins avant de commencer le trandolapril à la posologie de 0,5 mg par jour (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Toute déplétion hydrosodée doit être corrigée avant le début du traitement par trandolapril.
En cas d'apparition d'une hypotension artérielle ou d'une insuffisance rénale pendant le traitement, une diminution de la posologie ou une interruption du traitement par le trandolapril et/ou le diurétique peut être nécessaire.
La survenue d'une hypotension artérielle après la première dose n'exclut pas la poursuite du traitement par le trandolapril, à condition que la dose soit ajustée avec prudence.
Si une hypotension artérielle survient, le patient doit être placé en décubitus et, si besoin, recevoir une perfusion intraveineuse de sérum physiologique. Une injection intraveineuse d'atropine peut être nécessaire en cas de bradycardie associée.
Hypertension réno-vasculaire
Le traitement de l'hypertension réno-vasculaire est la revascularisation.
Néanmoins les IEC peuvent être utiles aux malades présentant une hypotension réno-vasculaire dans l'attente d'une de l'intervention correctrice ou lorsque cette intervention n'est pas possible.
Les patients aux antécédents de sténose unilatérale ou bilatérale des artères rénales présentent un risque majoré d'hypotension artérielle sévère et d'insuffisance rénale en cas de traitement par IEC.
Les diurétiques peuvent encore davantage aggraver ce risque.
Une insuffisance fonctionnelle rénale peut s'installer avec des variations minimes de la créatininémie, même chez les patients présentant une sténose d'une seule artère rénale. Chez ces patients, le traitement doit être initié en milieu hospitalier, sous étroite surveillance médicale, avec une posologie initiale réduite et un ajustement prudent de la posologie.
Le traitement diurétique doit être interrompu et la fonction rénale et la kaliémie doivent être contrôlées pendant les premières semaines de traitement.
Evaluation de la fonction rénale
L'évaluation du patient doit comporter une évaluation de la fonction rénale avant le début du traitement et pendant le traitement. Une protéinurie peut apparaître en cas d'insuffisance rénale initiale ou en cas d'utilisation de posologies relativement élevées.
Insuffisance rénale
En cas d'insuffisance rénale, la posologie doit être réduite si la clairance de la créatinine est = 0,5 ml/s (= 30 ml/min) (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Chez les insuffisants rénaux, il est recommandé de surveiller étroitement la fonction rénale et la kaliémie pendant les premières semaines de traitement et après si nécessaire. Certains patients hypertendus sans insuffisance rénale précédemment diagnostiquée peuvent présenter une augmentation du taux d'azote uréique et de la créatininémie en cas d'administration concomitante de trandolapril et de diurétiques. L'apparition d'une protéinurie est possible.
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale, d'insuffisance cardiaque congestive de sténose unilatérale ou bilatérale des artères rénales, en cas de rein unique ainsi qu'après transplantation, il existe un risque d'altération de la fonction rénale. Diagnostiquée précocement, cette d'altération de la fonction rénale est réversible à l'arrêt du traitement.
Par ailleurs, le risque d'hyperkaliémie doit être envisagé chez les patients souffrant d'insuffisance rénale. L'état électrolytique du patient devra être contrôlé régulièrement.
Transplantation rénale
En l'absence de données concernant l'administration du trandolapril à des patients ayant subi récemment une greffe de rein, le traitement par le trandolapril est déconseillé chez ce type de patients.
Insuffisance fonctionnelle hépatique
Le trandolapril étant une prodrogue transformée par le foie en son métabolite actif, il convient d'être particulièrement prudent et de surveiller étroitement les patients présentant une altération de la fonction hépatique.
Insuffisance hépatique
Dans de rares cas, les IEC ont été associés à un ictère cholestatique ou une hépatite évoluant vers une nécrose hépatique fulminante pouvant parfois conduire au décès. Le mécanisme de ce syndrome n'a pas été élucidé. Chez les patients traités par IEC qui développent un ictère ou qui présentent une augmentation importante des enzymes hépatiques, le traitement par IEC doit être interrompu et un suivi médical approprié doit être mis en place.
Hypersensibilité / Angio-oedème
Des cas d'oedème de la face, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx, ainsi que des membres, ont été décrits chez des patients traités avec un IEC, trandolapril inclus. Un angio-oedème peut tout particulièrement se développer pendant les premières semaines de traitement. Il est rare qu'il apparaisse après un traitement prolongé par un IEC.
Dans un tel cas, le traitement par le trandolapril doit être interrompu immédiatement et le patient mis en observation jusqu'à la disparition de l'oedème. Quand l'oedème n'intéresse que la face, l'évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques puissent être utilisés pour soulager les symptômes.
L'association d'un oedème de la face et d'un oedème de la glotte peut être fatale. Le gonflement de la langue, de la glotte ou du larynx peut provoquer une obstruction des voies aériennes. Une injection sous-cutanée d'adrénaline à 0,1% (0,3 - 0,5 ml) doit être réalisée rapidement et les autres mesures thérapeutiques appropriées doivent être appliquées. Les patients ayant des antécédents d'angio-oedème idiopathique devront être surveillés, le trandolapril est contre-indiqué lorsque l'angio-oedème était une réaction suite à la prise d'un IEC (voir rubrique Contre-indications).
La prescription d'un IEC ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients. Les patients ayant un antécédent d'oedème de Quincke non lié à la prise d'un IEC ont un risque accru d'oedème de Quincke sous IEC (voir rubrique Contre-indications).
Il a été démontré que le risque d'angio-oedème dû à la prise d'un IEC est plus élevé chez les patients de race noire que les patients d'autres races.
L'utilisation concomitante d'IEC avec l'association sacubitril/valsartan est contre-indiquée en raison du risque accru d'angio-oedème. Le traitement par sacubitril/valsartan ne doit pas être débuté moins de 36 heures après la dernière dose de trandolapril. Le traitement par trandolapril ne doit pas être débuté moins de 36 heures après la dernière dose de sacubitril/valsartan (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
L'utilisation concomitante d'autres inhibiteurs de la NEP (p. ex. racécadotril) et des IEC peut également augmenter le risque d'angio-oedème (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Par conséquent, il est nécessaire d'évaluer rigoureusement le rapport risque/bénéfice avant d'instaurer un traitement par des inhibiteurs de la NEP (p. ex. racécadotril) chez les patients sous trandolapril.
Un angio-oedème intestinal a été décrit chez des patients traités avec un IEC. Ces patients présentaient un tableau de douleurs abdominales (avec ou sans nausées et vomissements) ; dans certains cas, il n'y avait pas d'antécédents d'angio-oedème de la face et le taux de la C-1 estérase était normal. L'angio-oedème a été diagnostiqué par des examens de type tomodensitométrie abdominale, échographie, ou en peropératoire et les symptômes ont disparu avec l'arrêt de l'IEC. L'angio-oedème intestinal doit être inclus dans le diagnostic différentiel des douleurs abdominales chez les patients sous IEC (voir rubrique Effets indésirables.).
L'Utilisation concomitante d'IEC avec le racécadotril, les inhibiteurs de mTOR (p. ex. sirolimus, évérolimus, temsirolimus) et la vildagliptine peut entraîner un risque accru d'angio-oedème (p. ex. gonflement des voies aériennes ou de la langue, avec ou sans insuffisance respiratoire) (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Il convient de faire preuve de prudence lors de la mise en route d'un traitement par racécadotril, inhibiteurs de mTOR (p. ex. sirolimus, évérolimus, temsirolimus) et vildagliptine chez un patient prenant déjà un IEC.
Différences ethniques
Tout comme les autres IEC, le trandolapril peut être moins efficace pour faire baisser la pression artérielle chez les patients noirs que chez les patients non noirs. Cela peut s'expliquer par une plus grande fréquence des états de rénine basse chez les hypertendus noirs.
Toux
Une toux sèche et non productive a été rapportée avec l'utilisation des IEC. Elle disparaît à l'arrêt du traitement. Si l'administration d'un IEC s'avère indispensable, la poursuite du traitement peut être envisagée.
La toux induite par les IEC doit être considérée comme un élément du diagnostic différentiel de la toux.
Kaliémie
Les facteurs de risque de développer une hyperkaliémie sont: l'insuffisance rénale, l'aggravation de l'état rénal, l'âge (> 70 ans), le diabète, des évènements intercurrents et en particulier la déshydratation, la dysfonction du ventricule gauche après une infarctus du myocarde, l'acidose métabolique, la prise concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), les suppléments potassiques ou les substituts du sel contenant du potassium, les patients dont les traitements associés engendrent une augmentation de la kaliémie (par exemple : héparine, co-trimoxazole également dénommé triméthoprime/sulfaméthoxazole). L'hyperkaliémie peut être responsable de troubles du rythme cardiaque graves, parfois mortels.
Chirurgie / anesthésie
En cas d'intervention chirurgicale majeure ou lorsque l'anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les IEC, incluant le trandolapril, peuvent bloquer la formation d'angiotensine II secondaire à la libération compensatrice de rénine qui peut être à l'origine d'une hypotension éventuellement sévère qu'il est possible de corriger avec des solutions de remplissage.
Si l'interruption thérapeutique par l'IEC est impossible, les solutions de remplissage doivent être administrées avec prudence.
Rétrécissement aortique / Cardiomyopathie hypertrophique
Les IEC ne doivent pas être utilisés chez les patients porteurs d'un rétrécissement aortique ou d'un obstacle à l'éjection du sang à partir du ventricule gauche.
Neutropénie / agranulocytose et dépression de la moelle osseuse
Des cas d'agranulocytose, de neutropénie et de dépression de la moelle osseuse ont été rapportés chez des patients prenant des IEC. Ces réactions sont plus fréquentes chez les patients insuffisants rénaux, particulièrement chez ceux présentant une collagénose avec manifestations vasculaires (par exemple: lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant. La neutropénie est réversible à l'arrêt du traitement. Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un IEC doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice-risque sera soigneusement mesuré. Un contrôle régulier des globules blancs et des protéines dans les urines doit être envisagé chez les patients avec une collagénose (par exemple : lupus érythémateux et sclérodermie), en particulier en cas d'insuffisance rénale et de traitement concomitant, surtout par des corticoïdes et des antimétabolites ou de traitement par l'allopurinol ou le procaïnamide.
Protéinurie
L'apparition d'une protéinurie est possible, surtout en cas d'insuffisance rénale ou chez les patients recevant de relativement fortes doses d'IEC. Le trandolapril ne doit être éventuellement administré qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque chez les patients présentant une protéinurie cliniquement importante (plus d'1 g/jour).
Réactions anaphylactiques au cours de la désensibilisation par venin animal
De rares cas de réaction anaphylactique ayant menacé le pronostic vital ont été rapportés chez des patients ayant reçu des IEC au cours d'une désensibilisation au venin animal ; il est possible de prévenir ces réactions en interrompant temporairement le traitement par les IEC avant chaque désensibilisation.
Réactions anaphylactiques au cours de l'aphérèse des LDL
Dans de rares cas, des patients prenant des IEC pendant une aphérèse des lipoprotéines de basse densité (LDL) avec le dextran sulfate ont présenté une réaction anaphylactique ayant menacé leur pronostic vital.
Il est possible de prévenir ces réactions en interrompant temporairement le traitement par les IEC avant chaque aphérèse.
Réactions anaphylactiques au cours de l'hémodialyse
Des réactions anaphylactoïdes telles que rougeurs du visage, hypotension, et dyspnée, ont été observées au cours d'hémodialyses utilisant des membranes de haute perméabilité (par exemple AN69) chez des patients traités par IEC. Chez ces patients, il est conseillé d'utiliser un autre type de membrane de dialyse ou une autre classe de traitement antihypertenseur afin d'éviter cette association.
Diabète
Chez les patients diabétiques traités avec des hypoglycémiants oraux ou de l'insuline, la glycémie doit être étroitement contrôlée pendant le premier mois de traitement par un IEC (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Grossesse
Les IEC ne doivent pas être instaurés pendant la grossesse. A moins que le traitement par IEC soit considéré comme essentiel, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par les IEC doit être arrêté immédiatement et, s'il y a lieu, un traitement alternatif doit être débuté (voir rubriques Contre-indications et Fertilité, grossesse et allaitement).
Population pédiatrique
La tolérance et l'efficacité du trandolapril chez les enfants n'ont pas été étudiées.
Interactions
Ce traitement n'est généralement pas recommandé en association avec les diurétiques épargneurs potassiques, les sels de potassium et le lithium (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
Il est établi que l'association d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine-II (ARA Il) ou d'aliskiren augmente le risque d'hypotension, d'hyperkaliémie et d'altération de la fonction rénale (incluant le risque d'insuffisance rénale aiguë). En conséquence, le double blocage du SRAA par l'association d'IEC, d'ARA Il ou d'aliskiren n'est pas recommandé (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacodynamiques).
Néanmoins, si une telle association est considérée comme absolument nécessaire, elle ne pourra se faire que sous la surveillance d'un spécialiste et avec un contrôle étroit et fréquent de la fonction rénale, de l'ionogramme sanguin et de la pression artérielle. Les IEC et les ARA Il ne doivent pas être associés chez les patients atteints d'une néphropathie diabétique.
Contient du lactose
Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Déplétion hydrosodée
Régime hyposodé
Déplétion hydrosodée lors d'un traitement par diurétique
Dialyse
Diarrhée
Vomissement
Sténose de l'artère rénale
Insuffisance cardiaque
Cirrhotique avec oedèmes et ascite
Cardiopathie ischémique
Pathologie vasculaire cérébrale
Hypotension artérielle
Insuffisance rénale
Antécédent de transplantation rénale
Altération de la fonction hépatique
Ictère
Augmentation des enzymes hépatiques
Angio-oedème
Antécédent d'oedème de Quincke
Sujet noir
Douleur abdominale
Toux sèche
Risque d'hyperkaliémie
Déshydratation
Acidose métabolique
Sujet âgé
Intervention chirurgicale majeure
Anesthésie générale
Rétrécissement aortique
Cardiomyopathie hypertrophique
Insuffisant rénal associant une collagénose
Lupus érythémateux
Sclérodermie
Protéinurie > 1g/jour
Désensibilisation au venin d'hyménoptère
Aphérèse des LDL au sulfate de dextran
Hémodialyse utilisant des membranes de haute perméabilité
Diabète
Consommation d'alcool
Insuffisance hépatique sévère
Etant donné les propriétés pharmacologiques du trandolapril, aucun effet particulier n'est attendu.
Compte-tenu des variations individuelles dans la réaction aux IEC, l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines peut être altérée à cause d'effets indésirables comme la somnolence et la fatigue. Cela survient en particulier en début de traitement ou lors d'un changement de traitement, après une augmentation de la dose ou en cas de prise concomitante d'alcool. C'est pourquoi, il n'est pas recommandé de conduire ou utiliser des machines plusieurs heures après la première prise ou après une augmentation de dose.
+ Médicaments augmentant le risque d'angio-oedème
L'utilisation concomitante d'IEC avec l'association sacubitril/valsartan est contre-indiquée en raison du risque accru d'angio-oedème (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). L'utilisation concomitante d'IEC avec le racécadotril, les inhibiteurs de mTOR (p. ex. sirolimus, évérolimus, temsirolimus) et la vildagliptine peut entraîner un risque accru d'angio-oedème (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Associations déconseillées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)
+ Inhibiteurs de la NEP :
L'association de trandolapril avec le sacubitril/valsartan est contre-indiquée, car l'inhibition concomitante de la néprilysine (NEP) et de l'ECA peut augmenter le risque d'angio-oedème. Le sacubitril/valsartan ne doit pas être commencé dans les 36 heures qui suivent la dernière dose du traitement par trandolapril. Le traitement par trandolapril ne doit pas être commencé dans les 36 heures qui suivent la dernière dose de sacubitril/valsartan (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). L'association avec autres inhibiteurs de la NEP (p. ex. racécadotril) et du trandolapril peut également augmenter le risque d'angio-oedème (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Diurétiques épargneurs de potassium, suppléments potassiques ou substituts de sel contenant du potassium
Bien que la kaliémie demeure habituellement dans les limites de la normale, une hyperkaliémie peut survenir chez certains patients traités par trandolapril. Les diurétiques épargneurs de potassium (p. ex. spironolactone, triamtérène ou amiloride), les suppléments potassiques ou les substituts de sel contenant du potassium peuvent entraîner des augmentations significatives de la kaliémie. Il convient également de faire preuve de prudence lors de l'administration de trandolapril avec d'autres médicaments hyperkaliémiants, tels que le triméthoprime et le cotrimoxazole (triméthoprime/sulfaméthoxazole) car le triméthoprime agit comme un diurétique épargneur de potassium tel que l'amiloride. Par conséquent, l'association du trandolapril avec les médicaments susmentionnés n'est pas recommandée. Si une utilisation concomitante est indiquée, elle doit se faire avec précaution et être accompagnée d'une surveillance fréquente de la kaliémie.
L'association au potassium ou aux diurétiques épargneurs potassique augmente le risque d'hyperkaliémie, surtout en cas d'insuffisance rénale, de diabète et/ou en cas de dysfonctionnement du ventricule gauche après un infarctus du myocarde. Dans une étude randomisée, à groupes parallèles, contrôlée par placebo (TRAndolapril Cardiac Evaluation (TRACE)) chez des patients atteints d'un dysfonctionnement systolique du ventricule gauche à la suite d'un infarctus du myocarde, l'hyperkaliémie a été observée chez 5 % (0,2 % relatif) et 3 % des sujets (non relatif) respectivement dans les groupes trandolapril et placebo. 80 % (quatre-vingts) des sujets de cette étude ont reçu des diurétiques (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Si une telle association est jugée indispensable, il est nécessaire de contrôler fréquemment la kaliémie.
+ Lithium
L'association peut entraîner une augmentation du lithium dans le sang avec potentiellement des taux sanguins toxiques (diminue de l'excrétion rénale du lithium). L'utilisation du trandolapril avec le lithium n'est pas recommandée, mais si elle est indispensable une surveillance étroite de la lithiémie s'impose.
+ Anesthésiants
Les IEC peuvent potentialiser les effets hypotenseurs de certains gaz anesthésiques.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Thiazides et diurétiques de l'anse
Les patients traités par diurétiques, et en particulier les patients qui ont récemment débuté le traitement et/ou qui ont une déplétion hydrosodée préexistante, peuvent présenter une chute importante de la pression artérielle et/ou une insuffisance pré-rénale lors de l'instauration du traitement par un IEC.
Le risque de survenue d'une hypotension peut être réduit par l'arrêt préalable des diurétiques, par l'augmentation préalable de l'apport sodé et l'administration initiale d'une posologie réduite d'inhibiteur de l'enzyme de conversion. Une éventuelle augmentation ultérieure de la posologie de l'IEC doit être faite avec prudence.
Le trandolapril peut limiter les pertes de potassium induites par les diurétiques de type thiazidique et les diurétiques de l'anse.
+ Antihypertenseurs
L'association de trandolapril à d'autres antihypertenseurs peut potentialiser la réponse hypotensive aux IEC. L'utilisation de médicaments bloquants-adrénergiques associés au trandolapril doit se faire sous étroite surveillance.
Les données issues des essais cliniques ont montré que le double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine Il ou d'aliskiren est associé à une fréquence plus élevée d'événements indésirables tels que l'hypotension, l'hyperkaliémie et l'altération de la fonction rénale (incluant l'insuffisance rénale aiguë) en comparaison à l'utilisation d'un seul médicament agissant sur le SRAA (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques).
+ Opiacés / Antipsychotiques
En cas d'association, une hypotension orthostatique peut survenir.
+ Allopurinol, procaïnamide, cytostatiques et immunosuppresseurs, corticoïdes systémiques
Lorsqu'ils sont utilisés en association avec les IEC, ces médicaments peuvent augmenter le risque de leucopénie.
+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Comme avec tous les antihypertensifs, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (p.ex. acide acétylsalicylique à dose anti-inflammatoire, inhibiteurs sélectifs de la Cox-2 et AINS non sélectifs) peuvent réduire l'effet antihypertenseur du trandolapril. L'utilisation concomitante des IEC et des AINS peut augmenter le risque d'altération de la fonction rénale, incluant une insuffisance rénale aiguë et une augmentation de la kaliémie.
Ces effets sont, en général, réversibles et surviennent tout particulièrement chez les patients avec une insuffisance rénale pré-existante.
Cette association doit être instaurée avec précaution, surtout chez les personnes âgées.
Les patients doivent être suffisamment hydratés et il faut envisager de surveiller la tension artérielle ainsi que la fonction rénale pendant l'instauration ou l'arrêt du traitement associé et régulièrement par la suite.
Chez les patients avec une insuffisance cardiaque, la prise d'AINS incluant l'acide acétylsalicylique, sauf si celui-ci est utilisé à doses faibles comme inhibiteur de l'agrégation plaquettaire, en association avec des IEC doit être évitée.
+ Sympathomimétiques
Les sympathomimétiques peuvent réduire l'effet hypotensif des IEC. Les patients doivent être étroitement suivis afin de s'assurer que l'effet désiré est atteint.
+ Antidiabétiques (insuline, sulfamides hypoglycémiants) :
Comme avec tous les IEC, l'utilisation concomitante avec des médicaments antidiabétiques (insuline ou antidiabétiques oraux) peut augmenter leur effet sur la réduction de la glycémie avec risque accru d'hypoglycémie. Par conséquent, la glycémie doit être étroitement surveillée chez les patients diabétiques, surtout en début de traitement ou lors de l'augmentation des doses de l'IEC.
+ Antiacides
Leur administration en association peut entraîner une diminution de la biodisponibilité des IEC. Il convient donc d'espacer de 2 heures au moins l'administration du trandolapril et celle des antiacides.
+ Neuroleptiques et antidépresseurs tricycliques
Comme avec tous les autres anti-hypertensifs, il existe un risque élevé d'hypotension orthostatique lors de l'association avec des neuroleptiques ou des antidépresseurs tricycliques.
+ Ciclosporine
Une hyperkaliémie peut survenir lors de l'utilisation concomitante d'IEC avec de la ciclosporine. Une surveillance de la kaliémie est recommandée.
+ Héparine
Une hyperkaliémie peut survenir lors de l'utilisation concomitante d'IEC avec de l'héparine. Une surveillance de la kaliémie est recommandée.
+ Co-trimoxazole (triméthoprime/sulfaméthoxazole)
Les patients prenant un traitement concomitant par co-trimoxazole (triméthoprime/sulfaméthoxazole) peuvent présenter un risque accru d'hyperkaliémie (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Sels d'or
Il y a de rares risques de réaction « nitritoïde » (symptômes incluant rougeurs du visage, nausées, vomissements et hypotension) chez les patients recevant des injections de sels d'or (aurothiomalate de sodium) et un traitement par des IEC.
+ Alcool
L'absorption d'alcool augmente l'effet hypotensif du trandolapril.
+ Utilisation de membranes de haute perméabilité en polyacrylonitrile lors de l'hémodialyse
Des réactions anaphylactoïdes ont été observées au cours d'hémodialyses utilisant des membranes de haute perméabilité en polyacrylonitrile chez des patients traités par IEC. De même qu'avec les autres antihypertenseurs de cette classe chimique, cette association doit être évitée lors de la prescription d'IEC à des patients hémodialysés.
Absence d'interactions avec d'autres médicaments
Dans les études menées chez des volontaires sains, aucune interaction pharmacocinétique n'a été observée en cas d'association du trandolapril avec la digoxine, le furosémide, la nifédipine, le glibenclamide, le propranolol et la cimétidine. Les propriétés anticoagulantes de la warfarine ne sont pas affectées en cas d'association avec le trandolapril.
Aucune interaction clinique n'a été décelée chez les patients présentant un dysfonctionnement du ventricule gauche suite à un infarctus du myocarde aigu en cas d'administration associée de thrombolytiques, d'acide acétylsalicylique, de bêta-bloquants, d'inhibiteurs calciques, de dérivés nitrés, d'anticoagulants, de diurétiques ou de digoxine.
Population particulière
Population pédiatrique
Les études d'interaction n'ont été réalisées que chez l'adulte.
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VIATRIS SANTE
Code UCD7 : 9315975
Code UCD13 : 3400893159750
Code CIS : 60094125
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : VIATRIS SANTE
Laboratoire exploitant : VIATRIS SANTE
Prix vente TTC : 1.91€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 1.91€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 28/03/2008
Rectificatif AMM : 14/10/2025
Marque : TRANDOLAPRIL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938471977
Référence LPPR : Aucune
GOPTEN 0,5 mg, gélule, boîte de 28 (détails indisponibles)
ODRIK 0,5 mg, gélule, boîte de 28
ODRIK 0,5 mg, gélule, boîte de 30
ODRIK 0,5 mg, gélule, boîte de 84
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