RISEDRONATE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé
Catégories :
Rhumatologie, Traitement des désordres musculosquelettiques, Bisphosphonates, Risédronate de sodium
Principes actifs :
Risédronate monosodique
Ostéoporose post-ménopausique, Ostéoporose chez l'homme
Adulte de plus de 18 ans (implicite)
35 mg 1 fois par semaine à avaler avec un grand verre d'eau plate.
ou 1 comprimé 1 fois par semaine à avaler avec un grand verre d'eau plate.
Ne pas s'allonger pendant au moins 30 minutes.
Voie orale
ARRÊTER LE TRAITEMENT ET PRÉVENIR IMMÉDIATEMENT LE MÉDECIN en cas de :
-
Réactions allergiques sévères : gonflement du visage, de la langue ou
de la gorge, difficultés à avaler, urticaire et difficultés à respirer.
- Réactions cutanées sévères pouvant inclure une formation de cloques sous la peau.
PRÉVENIR RAPIDEMENT LE MÉDECIN en cas de :
- Inflammation de l'œil, habituellement avec douleur, rougeur et sensibilité à la lumière.
- Nécrose de l'os de la mâchoire associée à une guérison retardée et à une infection, souvent à la suite d'une extraction dentaire.
- Symptômes
œsophagiens tels que douleurs à la déglutition, difficultés à avaler,
douleurs dans la poitrine et brûlures d'estomac nouvelles ou aggravées.
CONSULTER LE MÉDECIN en cas de :
- Douleur, faiblesse ou gêne dans la cuisse, la hanche ou l'aine, ceci pouvant indiquer la possibilité d'une fracture.
- Douleurs de l'oreille, des écoulements de l'oreille et/ou une infection de l'oreille, ceci pouvant indiquer la possibilité d'une lésion osseuse de l'oreille.
PRÉVENIR LE DENTISTE en cas de traitement ou d'intervention dentaire prévus lors de la prise de ce médicament.
NE PAS PRENDRE CE MÉDICAMENT avec de la nourriture, des produits laitiers ou des boissons (autre que l'eau plate).
Gastrite
Oesophagite
Dysphagie
Duodénite
Iritis
Ulcère oesophagien
Glossite
Anomalie des tests hépatiques
Sténose de l'oesophage
Fracture fémorale atypique
Syndrome de Stevens-Johnson
Nécrolyse épidermique toxique
Ostéonécrose du conduit auditif externe
Alopécie
Urticaire
Uvéite
Réaction anaphylactique
Angio-oedème
Réaction cutanée allergique
Hypersensibilité
Rash généralisé
Réaction cutanée bulleuse
Diminution du phosphate
Diminution du calcium
Vascularite leucocytoclasique
Trouble hépatique
Ostéonécrose de la mâchoire
Le risédronate monosodique a été étudié lors d'essais cliniques de phase III sur plus de 15 000 patients.
Dans ces essais cliniques, la majorité des effets indésirables a été d'intensité légère à modérée et n'a généralement pas nécessité l'interruption du traitement.
Les évènements indésirables rapportés dans les essais cliniques de phase III chez les femmes ménopausées ostéoporotiques traitées jusqu'à 36 mois par risédronate monosodique 5 mg/jour (n = 5 020) ou placebo (n = 5 048) et considérés comme possiblement ou probablement liés au risédronate monosodique sont listés ci-dessous selon la convention suivante (incidences des évènements indésirables versus placebo notées entre parenthèses) : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 ; < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 ; < 1/100), rare (≥ 1/10 000 ; < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections du système nerveux
Fréquent : Maux de tête (1,8 % vs 1,4 %).
Affections oculaires
Peu fréquent : Iritis*.
Affections gastro-intestinales
Fréquent : Constipation (5,0 % vs 4,8 %), dyspepsie (4,5 % vs 4,1 %), nausées (4,3 % vs 4,0 %), douleurs abdominales (3,5 % vs 3,3 %), diarrhée (3,0 % vs 2,7 %).
Peu fréquent : Gastrite (0,9 % vs 0,7 %), oesophagite (0,9 % vs 0,9 %), dysphagie (0,4 % vs 0,2 %), duodénite (0,2 % vs 0,1 %), ulcère oesophagien (0,2 % vs 0,2 %).
Rare : Glossite (< 0,1 % vs 0,1 %), sténose de l'oesophage (< 0,1 % vs 0,0 %).
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Fréquent : Douleurs musculo-squelettiques (2,1 % vs 1,9 %).
Investigations
Rare : Anomalie des tests hépatiques*.
* Incidences non significatives dans les études de phase III sur l'ostéoporose ; fréquence basée sur les événements indésirables, les examens de laboratoire et les résultats du rechallenge dans les essais cliniques précoces.
Dans une étude multicentrique, en double aveugle, d'une durée d'un an, comparant le risédronate monosodique 5 mg en prise quotidienne (n = 480) et le risédronate monosodique 35 mg en prise hebdomadaire (n = 485) chez les femmes ménopausées ostéoporotiques, les profils globaux de tolérance et de sécurité d'emploi ont été similaires. Les effets indésirables suivants, considérés comme possiblement ou probablement liés au produit par les investigateurs, ont été rapportés (incidence supérieure dans le groupe risédronate monosodique 35 mg par rapport au groupe risédronate monosodique 5 mg) : troubles gastro-intestinaux (1,6 % vs. 1,0 %) et douleurs (1,2 % vs. 0,8 %).
Dans une étude de 2 ans chez des hommes ostéoporotiques, la tolérance et la sécurité d'emploi globales ont été similaires entre les groupes traitement et placebo. Les effets indésirables correspondent à ceux décrits précédemment chez les femmes ménopausées.
Examens biologiques
Une diminution précoce, transitoire, légère et asymptomatique de la calcémie et de la phosphatémie a été observée chez certains patients.
De plus, les effets indésirables supplémentaires suivants ont été rapportés depuis la commercialisation (fréquence indéterminée) :
Affections oculaires
Uvéite.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Ostéonécrose de la mâchoire.
Affections hépatobiliaires
Troubles hépatiques graves. Dans la plupart des cas rapportés, les patients étaient également traités avec d'autres médicaments connus pour causer des troubles hépatiques.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Hypersensibilité et réactions cutanées, comprenant angio-oedème, rash généralisé, urticaire, réactions cutanées bulleuses et vascularite leucocytoclasique, parfois sévères, incluant des cas isolés de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyses épidermiques toxiques.
Alopécie.
Affections du système immunitaire
Réaction anaphylactique.
Après la commercialisation, les effets indésirables suivants ont été rapportés :
Rare : Fractures fémorales atypiques sous-trochantériennes et diaphysaires (effets indésirables de classe des bisphosphonates).
Très rare : Ostéonécrose du conduit auditif externe (effets indésirables de la classe des bisphosphonates)
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
Voir plus
Grossesse
Il n'y a pas de données pertinentes sur l'utilisation du risédronate monosodique chez la femme enceinte. Des études chez l'animal ont montré une toxicité sur la fonction de reproduction (voir rubrique Données de sécurité précliniques). Le risque potentiel chez l'homme n'est pas connu.
Allaitement
Des études chez l'animal ont montré qu'une petite quantité de risédronate monosodique passait dans le lait maternel.
Le risédronate monosodique ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte ou qui allaite.
Les aliments, les boissons (autres que l'eau plate) et certains médicaments contenant des cations polyvalents (tels que calcium, magnésium, fer et aluminium) interfèrent avec l'absorption des biphosphonates et ne doivent pas être pris en même temps que le risédronate monosodique (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Afin d'obtenir l'efficacité escomptée, un strict respect des recommandations posologiques est nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
L'efficacité des bisphosphonates dans le traitement de l'ostéoporose est liée à la présence d'une densité minérale osseuse basse et/ou d'une fracture prévalente. Un âge élevé ou des facteurs de risque cliniques de fractures seuls ne sont pas des raisons suffisantes pour initier un traitement de l'ostéoporose par un bisphosphonate. Les preuves étayant l'efficacité des bisphosphonates dont le risédronate, chez les patients très âgés (> 80 ans), sont limitées (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Les bisphosphonates ont été associés à des oesophagites, des gastrites et à des ulcérations oesophagiennes et gastroduodénales. Par conséquent, une prudence devra être de mise :
· Chez les patients qui ont des antécédents de troubles oesophagiens pouvant retarder le transit ou la vidange oesophagienne (par exemple : sténose ou achalasie).
· Chez les patients qui sont dans l'incapacité de se tenir en position verticale pendant au moins 30 minutes après la prise du comprimé.
· Si le risédronate monosodique est prescrit à des patients avec des problèmes gastro-intestinaux proximaux ou oesophagiens, récents ou toujours actifs (y compris un oesophage de Barrett).
Le prescripteur doit insister auprès des patients sur l'importance de bien prendre connaissance des instructions posologiques et doit être vigilant quant à l'existence de signes ou symptômes indiquant une possible réaction oesophagienne. L'information de consulter s'ils présentent des symptômes d'irritation oesophagienne tels que dysphagie, douleur en avalant, douleur rétrosternale ou brûlures épigastriques nouvelles ou aggravées doit être donnée aux patients.
Toute hypocalcémie doit être corrigée avant de débuter un traitement par risédronate monosodique. Les autres troubles du métabolisme osseux et minéral (par exemple, dysfonctionnement parathyroïdien, hypovitaminose D) doivent être traités dès l'initiation du traitement par risédronate monosodique.
Une ostéonécrose de la mâchoire, généralement associée à une extraction dentaire et/ou à une infection locale (y compris une ostéomyélite) a été rapportée chez des patients atteints de cancer et recevant des traitements médicamenteux comprenant des bisphosphonates administrés principalement par voie intraveineuse. La plupart de ces patients avaient également reçu une chimiothérapie et des corticoïdes. Une ostéonécrose de la mâchoire a également été rapportée chez des patients atteints d'ostéoporose traités par bisphosphonates per os.
Un examen dentaire ainsi que des soins dentaires préventifs appropriés doivent être envisagés avant l'instauration d'un traitement par bisphophonates chez les patients présentant des facteurs de risque associés (par exemple : cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticothérapie, mauvaise hygiène buccale).
Au cours du traitement, ces patients doivent éviter si possible toute intervention dentaire invasive. Chez les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire au cours d'un traitement par bisphophonates, une chirurgie dentaire pourrait aggraver cette situation. Chez les patients nécessitant une intervention dentaire, aucune donnée ne permet de suggérer que l'arrêt du traitement par bisphosphonates réduit le risque d'ostéonécrose de la mâchoire.
L'appréciation de l'état clinique par le médecin traitant doit orienter la prise en charge de chaque patient, en se basant sur l'évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
L'ostéonécrose du conduit auditif externe a été rapportée avec les bisphosphonates, surtout en association avec une thérapie à long terme. Les facteurs de risque éventuels d'ostéonécrose du conduit auditif externe comprennent l'utilisation de stéroïdes et la chimiothérapie et/ou les facteurs de risque locaux tels qu'une infection ou un traumatisme. La possibilité d'ostéonécrose du conduit auditif externe doit être envisagée chez les patients recevant des bisphosphonates qui présentent des symptômes auditifs, notamment des infections chroniques de l'oreille.
Fractures atypiques du fémur
Des fractures fémorales atypiques sous-trochantériennes et diaphysaires ont été rapportées sous bisphosphonates, principalement chez des patients traités au long cours pour ostéoporose. Ces fractures transverses ou obliques courtes peuvent survenir sur n'importe quelle partie du fémur du dessous du petit trochanter jusqu'au-dessus de la zone supracondylienne. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou sans traumatisme, et certains patients présentent une douleur dans la cuisse ou l'aine, souvent associée à des signes radiologiques de fractures de stress, des semaines ou des mois avant la fracture fémorale. Les fractures sont souvent bilatérales ; par conséquent, le fémur controlatéral doit être examiné chez les patients traités par bisphosphonates ayant eu une fracture fémorale diaphysaire. Une mauvaise consolidation de ces fractures a été également rapportée. L'arrêt du traitement par bisphosphonates chez les patients chez lesquels une fracture fémorale atypique est suspectée doit être envisagé en fonction de l'évaluation du bénéfice/risque pour le patient.
Durant le traitement par bisphosphonates, les patients doivent être informés que toute douleur au niveau de la cuisse, de la hanche ou de l'aine doit être rapportée et tous les patients présentant de tels symptômes devront être examinés pour rechercher une fracture fémorale atypique.
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Patient de plus de 80 ans
Antécédent de troubles oesophagiens pouvant retarder le transit ou la vidange oesophagienne
Difficulté à se tenir debout
Troubles gastro-intestinaux hauts
Problème oesophagien
Dysphagie
Odynophagie
Douleur rétrosternale
Brûlure d'estomac
Dysfonctionnement parathyroïdien
Hypovitaminose D
Ostéonécrose de la mâchoire
Cancer
Chimiothérapie antinéoplasique
Radiothérapie
Mauvaise hygiène buccale
Intervention dentaire
Ostéonécrose du conduit auditif externe
Symptômes auriculaires
Infection de l'oreille
Trouble auditif
Fracture fémorale atypique
Douleur à l'aine
Douleur de la cuisse
Douleur à la hanche
Le risédronate monosodique n'a aucune influence sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Aucune étude spécifique d'interactions n'a été réalisée. Cependant, aucune interaction médicamenteuse cliniquement pertinente n'a été retrouvée pendant les essais cliniques. Respectivement 33 % et 45 % des patientes ayant participé aux études de Phase III dans l'ostéoporose avec le risédronate monosodique en prise quotidienne, ont utilisé de l'acide acétylsalicylique ou des AINS. Dans les études de phase III du risédronate monosodique en prise hebdomadaire chez la femme ménopausée, respectivement 57 % et 40 % des patientes ont utilisé de l'acide acétylsalicylique ou des AINS. Parmi les utilisateurs réguliers d'acide acétylsalicylique ou d'AINS (≥ 3 jours par semaine), l'incidence des effets secondaires gastro-intestinaux supérieurs a été identique chez les patients traités par risédronate monosodique et les sujets contrôle.
Si nécessaire, le risédronate monosodique peut être utilisé en association à un traitement oestrogénique substitutif (pour les femmes uniquement).
La prise simultanée de médicaments contenant des cations polyvalents (tels que calcium, magnésium, fer et aluminium) peut interférer avec l'absorption du risédronate monosodique (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Le risédronate monosodique n'est pas systématiquement métabolisé, n'entraîne pas d'induction enzymatique du cytochrome P450 et a un faible taux de fixation aux protéines.
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentACTONEL - CT 4544 - English version
Télécharger le documentACTONEL - CT 4544
Télécharger le documentNoyau du comprimé : Lactose, Amidon de maïs, Amidon de maïs, Silice colloïdale, Fumarate de stéaryle sodique, Magnésium stéarate, Pelliculage : Polyvinylique alcool, Titane dioxyde, Macrogol, Talc, Fer oxyde, Fer oxyde
ACCORD HEALTHCARE FRANCE
635 rue de la Chaude Rivière
59800
LILLE
Code UCD7 : 9362905
Code UCD13 : 3400893629055
Code CIS : 66887599
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : ACCORD HEALTHCARE FRANCE
Laboratoire exploitant : ACCORD HEALTHCARE FRANCE
Prix vente TTC : 9.22€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 9.22€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 02/11/2010
Rectificatif AMM : 10/07/2019
Marque : RISEDRONATE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400949618835
Référence LPPR : Aucune
ACTONEL 35 mg, comprimé pelliculé, boîte de 3 plaquettes de 4
ACTONEL 35 mg, comprimé pelliculé, boîte de 3 plaquettes thermoformées de 4 (IP)
ACTONEL 35 mg, comprimé pelliculé, boîte de 4
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