PROPRANOLOL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Gélule à libération prolongée
Catégories :
Cardiologie et angéiologie, Antihypertenseurs, Bêtabloquants, Bêtabloquants non sélectifs, Propranolol, Cardiologie et angéiologie, Traitement de l'insuffisance coronarienne, Bêtabloquants, Bêtabloquants non sélectifs, Propranolol, Cardiologie et angéiologie, Anti-arythmiques, Anti-arythmiques-Groupe II : Bêtabloquants, Bêtabloquants non sélectifs, Propranolol
Principes actifs :
Propranolol
Hypertension artérielle, Angor d'effort, Infarctus du myocarde, Troubles du rythme, Manifestation cardiovasculaire des hyperthyroïdies, Intolérance aux traitements substitutifs des hypothyroïdies, Cardiomyopathie obstructive
Adulte . Angor d'effort
2 gélules par jour de préférence le matin. Maximum 4 gélules par jour.
Adulte . Cardiomyopathie obstructive
2 gélules par jour de préférence le matin. Maximum 4 gélules par jour.
Adulte . Traitement d'entretien. Infarctus du myocarde
1 gélule 2 fois par jour.
Adulte . insuffisant hépatique. Traitement initial. Hypertension artérielle
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . insuffisant hépatique. Traitement initial. Angor d'effort
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . insuffisant hépatique. Traitement initial. Cardiomyopathie obstructive
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . Hypertension artérielle (implicite)
2 gélules par jour de préférence le matin. Maximum 4 gélules par jour.
Adulte . insuffisant rénal. Traitement initial. Hypertension artérielle
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . insuffisant rénal. Traitement initial. Angor d'effort
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . insuffisant rénal. Traitement initial. Cardiomyopathie obstructive
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . Troubles du rythme
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . Manifestation cardiovasculaire des hyperthyroïdies
1 gélule par jour de préférence le matin.
Adulte . Intolérance aux traitements substitutifs des hypothyroïdies
1 gélule par jour de préférence le matin.
Sujet âgé . Traitement initial. Hypertension artérielle
1 gélule par jour de préférence le matin.
Sujet âgé . Traitement initial. Angor d'effort
1 gélule par jour de préférence le matin.
Sujet âgé . Traitement initial. Cardiomyopathie obstructive
1 gélule par jour de préférence le matin.
Voie orale
SI UN SIGNE D’HYPOGLYCEMIE SURVIENT, MANGER OU BOIRE QUELQUE CHOSE DE SUCRE ET CONTACTER LE MEDECIN. Les signes annonciateurs d'une hypoglycémie sont : une faiblesse, des sueurs, une fringale, des tremblements, une somnolence, des vertiges, des maux de tête, des troubles de la vision.
PREVENIR L’ANESTHESISTE de ce traitement en cas d’intervention chirurgicale.
Diarrhée
Gastralgie
Nausée
Vomissement
Alopécie
Hypotension orthostatique
Impuissance
Insuffisance cardiaque
Sécheresse oculaire
Bronchospasme
Thrombocytopénie
Syncope
Psychose
Purpura
Confusion
Paresthésie
Sensation vertigineuse
Eruption psoriasiforme
Aggravation d'une claudication intermittente
Intensification d'un bloc auriculoventriculaire
Exacerbation d'un psoriasis
Ralentissement de la conduction auriculoventriculaire
Modification de l'humeur
Perturbation de la vision
Rash cutané
Hallucination
Hypoglycémie
Myasthénie
Syndrome lupique
Apparition d'anticorps antinucléaires
Exacerbation d'une myasthénie
Les effets indésirables suivants, présentés par fréquence et classe organe ont été rapportés :
Fréquents (1-9,9%)
Général : asthénie.
Affections cardiovasculaires : bradycardie, refroidissement des extrémités, syndrome de Raynaud.
Troubles du système nerveux central : insomnie, cauchemars.
Peu fréquents (0,1-0,9%)
Troubles digestifs : gastralgies, nausées, vomissements, diarrhées.
Rares (0,01-0,09%)
Général : sensations vertigineuses.
Système hématopoïétique : thrombocytopénie.
Affections cardiovasculaires : insuffisance cardiaque, ralentissement de la conduction auriculo-ventriculaire ou intensification d'un bloc auriculo-ventriculaire existant, hypotension orthostatique pouvant être associée à une syncope, aggravation d'une claudication intermittente existante.
Troubles du système nerveux central : hallucinations, psychoses, modifications de l'humeur, confusion, impuissance.
Système cutané : purpura, alopécie, éruptions psoriasiformes, exacerbation d'un psoriasis, rash cutané.
Troubles neurologiques : paresthésies.
Vision : sécheresse oculaire, perturbation de la vision.
Système respiratoire : un bronchospasme peut survenir chez les patients présentant un asthme ou des antécédents d'asthme, avec parfois une issue fatale.
Très rares (< 0,01%)
Système endocrinien : hypoglycémie chez les sujets à risque (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Au niveau biologique : on a pu observer, dans de rares cas, l'apparition d'anticorps antinucléaires ne s'accompagnant qu'exceptionnellement de manifestations cliniques à type de syndrome lupique et cédant à l'arrêt du traitement.
Système nerveux : des cas isolés de myasthénie ou d'exacerbation ont été rapportés.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
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Grossesse
Aspect tératogène
Chez l'animal, aucune action tératogène n'a été mise en évidence. Dans l'espèce humaine, aucun effet tératogène n'a été rapporté à ce jour et les résultats d'études prospectives contrôlées avec quelques bêta-bloquants n'ont pas fait état de malformations à la naissance.
Aspect néonatal
Chez le nouveau-né de mère traitée, l'action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance : si cette rémanence peut être sans conséquence clinique, il est néanmoins possible que survienne une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (voir rubrique Surdosage), en évitant les solutés de remplissage (risque d'OAP); par ailleurs bradycardie, détresse respiratoire, hypoglycémie ont été signalées. C'est pourquoi une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée en milieu spécialisé.
Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques).
Le risque de survenue d'hypoglycémie et de bradycardie n'a pas été évalué : en conséquence et par précaution, l'allaitement est déconseillé pendant la durée du traitement.
| Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; L'arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite. |
En cas d'hémorragie digestive, les risques de défaillance circulatoire peuvent être majorés par la prise de propranolol.
Interactions médicamenteuses
L'association du propranolol avec les antagonistes du calcium (diltiazem, vérapamil, bépridil) est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Précautions d'emploi
Arrêt du traitement
Le traitement ne doit pas être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c'est-à-dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l'angor.
Insuffisance cardiaque
Chez l'insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas de nécessité, le propranolol sera administré à très faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance médicale stricte.
Bradycardie
Si la fréquence s'abaisse au-dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
Bloc auriculo-ventriculaire du premier degré
Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
Phéochromocytome
L'utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l'hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
Sujet âgé
Chez le sujet âgé, le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite.
Insuffisance rénale ou hépatique
Ces deux situations nécessitent la prudence dans l'institution de la posologie initiale.
Sujet diabétique
Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l'autosurveillance glycémique.
Les signes annonciateurs d'une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
Hypoglycémie
Le propranolol s'oppose à la réponse des catécholamines endogènes permettant de corriger une hypoglycémie.
De plus, il masque les signes adrénergiques annonciateurs d'hypoglycémie.
Il peut donc aggraver les hypoglycémies survenant dans des situations à risque, telles que : le nouveau-né, l'enfant, le sujet âgé, le patient hémodialysé, le patient traité par antidiabétique hypoglycémiant, l'insuffisant hépatique, le jeûne, ainsi qu'en cas de surdosage.
Ces hypoglycémies associées à la prise de propranolol ont pu se présenter exceptionnellement sous forme de crise convulsive et/ou de coma.
Psoriasis
Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l'indication mérite d'être pesée.
Réactions allergiques
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu'en soit l'origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l'adrénaline aux posologies habituelles.
Anesthésie générale
Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d'hypotension. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d'arythmie, d'ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l'anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
Si l'arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures peut être considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensibilité aux catécholamines.
Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
· Chez les malades atteints d'insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu'à l'intervention, étant donné le risque lié à l'arrêt brutal des bêta-bloquants.
· En cas d'urgence ou d'impossibilité d'arrêt, le patient doit être protégé d'une prédominance vagale par une prémédication suffisante d'atropine renouvelée selon les besoins. L'anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
Le risque anaphylactique devra être pris en compte.
Thyrotoxicose
Les bêta-bloquants sont susceptibles d'en masquer les signes cardio-vasculaires.
Sportifs
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
Hémorragie digestive du cirrhotique
Il est indispensable de surveiller régulièrement la numération globulaire, l'hématocrite et le taux d'hémoglobine afin de dépister d'éventuels saignements occultes.
Hémorragie digestive
Cardiopathie ischémique
Insuffisant cardiaque
Bradycardie au-dessous de 50-55 pulsations par minute
Bloc auriculoventriculaire du premier degré
Hypertension due au phéochromocytome traité
Sujet âgé
Insuffisant rénal
Insuffisant hépatique
Diabétique
Hypoglycémie
Jeûne
Hémodialyse
Psoriasis
Patient susceptible de faire une réaction anaphylactique sévère
Traitement désensibilisant
Anesthésie générale
Thyrotoxicose
Sportif
Nouveau-né de mère traitée
Grossesse
Associations contre-indiquées
(Voir rubrique Contre-indications)
+ Floctafénine
En cas de choc ou d'hypotension dus à la floctafénine, réduction des réactions cardiovasculaires de compensation par les bêta-bloquants.
Associations déconseillées
(Voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi)
+ Bépridil (antagoniste du calcium)
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et risque majoré de troubles du rythme ventriculaire (torsades de pointes) ainsi que défaillance cardiaque.
Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECG étroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
+ Diltiazem et Vérapamil (antagonistes du calcium)
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et défaillance cardiaque.
Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECG étroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Amiodarone
Troubles de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction (suppression des mécanismes sympathiques compensateurs). Surveillance clinique et ECG.
+ Anesthésiques volatils halogénés
Réduction des réactions cardiovasculaires de compensation par les bêta-bloquants. L'inhibition bêta-adrénergique peut être levée durant l'intervention par les bêta-mimétiques.
En règle générale, ne pas arrêter le traitement bêta-bloquant et, de toute façon, éviter l'arrêt brutal. Informer l'anesthésiste de ce traitement.
+ Antihypertenseurs centraux : clonidine, alphaméthyldopa, guanfacine, moxonidine, rilménidine
Augmentation importante de la pression artérielle en cas d'arrêt brutal du traitement par l'antihypertenseur central.
Eviter l'arrêt brutal du traitement par l'antihypertenseur central. Surveillance clinique.
+ Baclofène
Majoration de l'effet antihypertenseur.
Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique de l'antihypertenseur si nécessaire.
+ Ergotamine
Ergotisme : quelques rares cas de spasmes artériels avec ischémie des extrémités ont été observés (addition des effets vasculaires).
Surveillance clinique renforcée, en particulier pendant les premières semaines de l'association.
+ Fluvoxamine
Augmentation des concentrations plasmatiques de propranolol par inhibition de son métabolisme hépatique, avec majoration de l'activité et des effets indésirables, par exemple : bradycardie importante.
Surveillance clinique accrue ; si besoin, adaptation de la posologie du propranolol pendant le traitement par la fluvoxamine et après son arrêt.
+ Insuline, sulfamides hypoglycémiants
Tous les bêta-bloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie : palpitations et tachycardie.
Prévenir le malade et renforcer, surtout en début de traitement, l'autosurveillance glycémique.
+ Lidocaïne IV
Augmentation des concentrations plasmatiques de lidocaïne avec possibilité d'effets indésirables neurologiques et cardiaques (diminution de la clairance hépatique de la lidocaïne).
Surveillance clinique ECG et éventuellement contrôle des concentrations plasmatiques de lidocaïne pendant l'association et après l'arrêt du bêta-bloquant. Adaptation si besoin de la posologie de la lidocaïne.
+ Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes
anti-arythmiques de la classe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide)
anti-arythmiques de la classe III (amiodarone, dofétilide, ibutilide, sotalol)
certains neuroleptiques : phénothiaziniques (chlorpromazine, cyamémazine, lévomépromazine, thioridazine), benzamides (amisulpride, sulpiride, sultopride, tiapride), butyrophénones (dropéridol, halopéridol), autres neuroleptiques (pimozide)
autres : cisapride, diphémanil, érythromycine IV, halofantrine, méthadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, spiramycine IV, vincamine IV, luméfantrine, véralipride.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Propafénone
Trouble de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction (suppression des mécanismes sympathiques compensateurs).
Surveillance clinique et ECG.
+ Rizatriptan
Augmentation des concentrations plasmatiques de rizatriptan par diminution de son métabolisme hépatique par le propranolol.
Diminuer la posologie de rizatriptan de moitié en cas de traitement par le propranolol.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et charbon
Diminution de l'absorption digestive du bêtabloquant.
Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance du bêta-bloquant (plus de 2 heures, si possible).
Associations à prendre en compte
+ AINS
Réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS et rétention hydrosodée avec les AINS pyrazolés).
+ Alphabloquants à visée urologique : alfuzosine, doxazosine, prazosine, tamsulosine, térazosine
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique majoré.
+ Amifostine
Majoration de l'effet antihypertenseur.
+ Antidépresseurs imipraminiques, neuroleptiques
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effet additif).
+ Antihypertenseurs alpha-bloquants
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque majoré d'hypotension orthostatique.
+ Dihydropyridines
Hypotension, défaillance cardiaque chez les patients en insuffisance cardiaque latente ou non contrôlée (addition des effets inotropes négatifs). Le bêta-bloquant peut par ailleurs minimiser la réaction sympathique réflexe mise en jeu en cas de répercussion hémodynamique excessive.
+ Dipyridamole (voie IV)
Majoration de l'effet antihypertenseur.
+ Phénobarbital (par extrapolation primidone), rifampicine (inducteurs enzymatiques)
Diminution des concentrations plasmatiques du propranolol avec réduction de ses effets cliniques (augmentation de son métabolisme hépatique).
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentPovidone, Ethylcellulose, Talc, Microgranules neutres : Saccharose, Amidon de maïs, Enveloppe de la gélule : Gélatine, Titane dioxyde
TEVA SANTE
100 - 110 esplanade du Géneral de Gaulle
92931
PARIS LA DEFENSE CEDEX
Code UCD7 : 9144120
Code UCD13 : 3400891441208
Code CIS : 65667550
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE
Laboratoire exploitant : TEVA SANTE
Prix vente TTC : 9.46€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 9.46€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 09/11/1989
Rectificatif AMM : 07/08/2017
Marque : PROPRANOLOL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400937234375
Référence LPPR : Aucune
PROPRANOLOL TEVA L P 80 mg, gélule à libération prolongée, boîte de 28 (détails indisponibles)
PROPRANOLOL TEVA L P 80 mg, gélule à libération prolongée, boîte de 30
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