PRALUENT
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable
Catégories :
Métabolisme et nutrition, Médicaments modificateurs des lipides, Médicaments modificateurs des lipides, non associés, Autres médicaments modificateurs des lipides, Alirucomab
Principes actifs :
Alirocumab
Hypercholestérolémie primaire, Dyslipidémie mixte, Hypercholestérolémie familiale hétérozygote, Réduction du risque cardiovasculaire
Adulte de plus de 18 ans . Voie SC (implicite)
150 mg 1 fois tous les 2 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
ou 1 ml 1 fois tous les 2 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
Adulte de plus de 18 ans . Traitement mensuel. Voie SC
300 mg 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
ou 2 ml 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
Enfant de 8 ans à 18 ans de plus de 50 Kg . Hypercholestérolémie familiale hétérozygote. Voie SC (implicite)
150 mg 1 fois tous les 2 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
ou 1 ml 1 fois tous les 2 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
Enfant de 8 ans à 18 ans de plus de 50 Kg . Traitement mensuel. Hypercholestérolémie familiale hétérozygote. Voie SC
300 mg 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
ou 2 ml 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
Enfant de 8 ans à 18 ans de moins de 50 Kg . Hypercholestérolémie familiale hétérozygote. Voie SC (implicite)
150 mg 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
ou 1 ml 1 fois tous les 4 semaines par voie SC dans la cuisse, l'abdomen ou le bras.
Voie SC
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de réaction allergique grave avec des symptômes tels que :
- difficultés à respirer, ou gonflement du visage, des lèvres, de la gorge ou de la langue,
- tâches rouges sur la peau avec parfois des cloques,
- diarrhée, éruption cutanée ou tâches de couleur violette sur la peau.
Anticorps anti-alirocumab
Eczéma nummulaire
Urticaire
Hypersensibilité
Vascularite d'hypersensibilité
Rhinorrhée
Eternuements
Douleur au site d'injection
Démangeaison au site d'injection
Erythème au site d'injection
Rougeur au site d'injection
Sensibilité au site d'injection
Syndrome pseudo-grippal
Gonflement au site d'injection
Angioedème
Douleur oropharyngée
Résumé du profil de sécurité
Les effets indésirables les plus fréquents, aux doses recommandées, sont des réactions locales au site d'injection (6,1 %), des symptômes des voies aériennes supérieures (2,0 %) et un prurit (1,1 %). Les effets indésirables les plus fréquents conduisant à un arrêt du traitement chez les patients traités par alirocumab étaient des réactions locales au site d'injection.
Le profil de sécurité dans l'étude ODYSSEY OUTCOMES était conforme au profil global de sécurité décrit dans les essais contrôlés de phase 3.
Aucune différence n'a été observée dans le profil de sécurité entre les deux doses (75 mg et 150 mg) utilisées durant le programme de phase 3.
Tableau résumé des effets indésirables
Les effets indésirables suivants ont été rapportés chez les patients traités par l'alirocumab dans les études contrôlées poolées et/ou l'utilisation après commercialisation (voir tableau 1).
Les fréquences de tous les effets indésirables identifiés au cours des essais cliniques ont été calculées en fonction de leur incidence dans les essais cliniques de phase 3 poolés. Les effets indésirables sont présentés selon le système de classification par organe. Les catégories de fréquence sont définies de la manière suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
La fréquence des effets indésirables rapportés au cours de l'utilisation après commercialisation ne peut pas être déterminée car ils proviennent de déclarations spontanées. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d'« indéterminée ».
Tableau 1. Effets indésirables
* incluant principalement douleurs oropharyngées, rhinorrhées, éternuements.Description de certains effets indésirables
Réactions locales au site d'injection
Des réactions locales au site d'injection, notamment érythème/rougeur,
démangeaisons, gonflement, douleur/sensibilité ont été rapportées chez
6,1 % des patients traités par l'alirocumab versus 4,1 % dans le groupe
contrôle (recevant des injections de placebo). La plupart des réactions
au site d'injection étaient transitoires et de faible intensité. Les
taux d'arrêt de traitement dû à des réactions locales au site
d'injection étaient comparables entre les deux groupes (0,2 % dans le
groupe alirocumab versus 0,3 % dans le groupe contrôle). Dans l'étude
de morbimortalité cardiovasculaire (ODYSSEY OUTCOMES), les réactions au
site d'injection sont aussi survenues plus fréquemment chez les
patients traités par alirocumab que chez les patients traités par
placebo (3,8 % sous alirocumab versus 2,1 % sous placebo).
Réactions allergiques générales
Des réactions allergiques générales ont été rapportées plus fréquemment
dans le groupe alirocumab (8,1 % des patients) que dans le groupe
contrôle (7,0 % des patients) principalement en raison d'une différence
dans l'incidence du prurit. Les cas de prurit observés étaient
généralement légers et transitoires. De plus, des réactions allergiques
rares et parfois graves, telles que l'hypersensibilité, l'eczéma
nummulaire, l'urticaire et la vascularite d'hypersensibilité ont été
rapportées dans les études cliniques contrôlées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Dans l'étude de morbimortalité cardiovasculaire (ODYSSEY OUTCOMES), les
réactions allergiques générales étaient similaires chez les patients
traités par alirocumab et chez les patients traités par placebo (7,9 %
sous alirocumab, 7,8 % sous placebo). Aucune différence n'a été
observée dans l'incidence du prurit.
Populations particulières
Personnes âgées
Bien qu'aucun problème de sécurité n'ait été observé chez les patients
âgés de plus de 75 ans, les données sont limitées dans ce groupe d'âge.
Dans les études contrôlées de phase 3 portant sur
l'hypercholestérolémie primaire et la dyslipidémie mixte, 1 158
patients (34,7 %) traités par alirocumab étaient âgés de ≥ 65 ans, et
241 patients (7,2 %) traités par alirocumab étaient âgés de ≥ 75 ans.
Dans l'étude contrôlée de morbimortalité cardiovasculaire, 2 505
patients (26,5 %) traités par alirocumab étaient âgés de ≥ 65 ans, et
493 patients (5,2 %) traités par alirocumab étaient âgés de ≥ 75 ans.
Aucune différence significative quant à la sécurité ou l'efficacité n'a
été observée avec l'augmentation de l'âge.
Population pédiatrique
La sécurité et l'efficacité de Praluent ont été établies chez les
enfants et les adolescents atteints d'hypercholestérolémie familiale
hétérozygote (HFHe). Une étude clinique visant à évaluer les effets de
Praluent a été menée chez 153 patients âgés de 8 à 17 ans atteints de
HFHe. Aucun nouveau résultat en matière de sécurité n'a été identifié
et les données de sécurité dans cette population étaient cohérentes
avec le profil de sécurité connu du produit chez les adultes atteints
de HFHe.
L'expérience relative à l'alirocumab chez les patients pédiatriques atteints d'hypercholestérolémie familiale homozygote (HFHo) est limitée à 18 patients âgés de 8 à 17 ans. Aucun nouveau constat de sécurité n'a été observé par rapport au profil de sécurité connu chez l'adulte.
Étude du schéma posologique avec une fréquence d'administration d'une fois toutes les 4 semaines
Le profil de tolérance chez les patients traités avec 300 mg toutes les 4 semaines (mensuellement) était similaire au profil de tolérance décrit dans le programme d'études cliniques utilisant un schéma posologique avec une fréquence d'administration d'une fois toutes les 2 semaines, excepté pour un taux plus élevé de réactions locales au site d'injection. Les réactions locales au site d'injection ont été rapportées chez 16,6 % des patients du groupe recevant alirocumab 300 mg toutes les 4 semaines et 7,9 % dans le groupe contrôle. Les patients du groupe recevant alirocumab 300 mg toutes les 4 semaines recevaient alternativement des injections de placebo pour ne pas lever l'insu en regard de la fréquence des injections. En dehors des réactions locales au site d'injection (ISRs) survenant après injection de placebo, la fréquance des ISRs était de 11.8 %. Le taux de sortie d'étude suite aux réactions au site d'injection a été de 0,7 % dans le groupe 300 mg toutes les 4 semaines versus 0 % dans le groupe contrôle.
Valeurs de LDL-C < 0,25 g/L (0,65 mmol/L)
Dans l'ensemble des études cliniques les traitements hypolipémiants de fond n'ont pas pu être ajustés du fait du design des études. Le pourcentage de patients ayant atteint des valeurs de LDL-C < 25 mg/dl(< 0,65 mmol/l) dépendait à la fois du taux initial de LDL-C et de la dose d'alirocumab.
Dans un pool d'études contrôlées avec une la dose initiale de 75 mg toutes les 2 semaines (Q2S) et augmentée à 150 mg Q2S si le taux de LDL-C du patient n'était pas < 70 mg/dl ou < 100 mg/dl (1,81 mmol/l ou 2,59 mmol/l) : 29,3 % des patients dont le taux initial de LDL-C était < 100 mg/dl et 5,0 % des patients dont le taux initial de LDL-C était ≥ 100 mg/dl, traités par alirocumab ont présenté deux valeurs consécutives de LDL-C < 25 mg/dl (< 0,65 mmol/l). Dans l'étude ODYSSEY OUTCOMES la dose initiale d'alirocumab était de 75 mg Q2S et était augmentée à 150 mg Q2S si le taux de LDL-C du patient n'était pas < 50 mg/dl (1,29 mmol/l) : 54,8 % des patients dont le taux initial de LDL-C était < 100 mg/dl et 24,2 % des patients dont le taux initial de LDL-C était ≥ 100 mg/dl, traités par alirocumab ont présenté deux valeurs consécutives de LDL-C < 25 mg/dl (< 0,65 mmol/l).
Bien qu'aucune conséquence défavorable de très faibles taux de LDL-C n'ait été identifiée dans le cadre des essais avec l'alirocumab, les effets à long terme de taux très bas de LDL-C prolongés dans le temps sont inconnus.
Immunogénicité / Anticorps anti-médicament (Anti-drug-antibodies (ADA))
Dans l'étude ODYSSEY OUTCOMES, 5,5 % des patients traités par alirocumab 75 mg et/ou 150 mg toutes les 2 semaines (Q2S) ont eu des anticorps anti-médicament (ADA) detectés après le début du traitement versus 1,6 % des patients traités par placebo, la plupart étaient transitoires. Des réponses ADA persistantes ont été observées chez 0,7 % des patients traités par alirocumab et chez 0,4 % des patients traités par placebo. Des anticorps neutralisants (AcN) ont été observées chez 0,5 % des patients traités par alirocumab et chez < 0,1 % des patients traités par placebo.
Les
réponses ADA, y compris les anticorps neutralisants, avaient un titre
faible et n'ont pas semblé avoir un impact cliniquement significatif
sur l'efficacité ou la sécurité de l'alirocumab, à l'exception d'un
taux plus élevé de réactions au site d'injection chez les patients
ayant présenté des ADA sous traitement, comparativement aux patients
n'ayant pas présenté d' ADA (7,5 % versus 3,6 %). Les conséquences à
long terme de la poursuite du traitement par alirocumab en présence
d'ADA sont inconnues.
Dans un groupe de dix essais contrôlés versus placebo et versus
substance active dans lesquels les patients étaient traités par
alirocumab 75 mg et/ou 150 mg Q2S, ainsi que dans une étude clinique
distincte dans laquelle les patients étaient traités par alirocumab 75
mg Q2S ou 300 mg toutes les 4 semaines (incluant certains patients dont
la dose a été ajustée à 150 mg Q2S), l'incidence de détection d'ADA et
d'AcN était similaires aux résultats de l'essai ODYSSEY OUTCOMES décrit
ci-dessus.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Praluent chez la femme enceinte. L'alirocumab étant un anticorps IgG1 recombinant, il est susceptible de traverser la barrière placentaire (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Les études menées chez l'animal n'ont pas montré d'effets nocifs directs ou indirects sur la poursuite de la gestation ou le développement embryo-fœtal ; une toxicité maternelle a été notée chez les rats, mais pas chez les singes, à des doses supérieures aux doses thérapeutiques chez l'homme, et une réponse immunitaire secondaire plus faible après provocation antigénique a été observée chez la descendance des singes (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
L'utilisation de Praluent n'est pas recommandée pendant la grossesse sauf si l'état clinique de la femme nécessite un traitement par l'alirocumab.
Allaitement
On ne sait pas si l'alirocumab est excrété dans le lait maternel. L'immunoglobuline (IgG) humaine est excrétée dans le lait maternel, en particulier dans le colostrum. L'utilisation de Praluent n'est pas recommandée à cette période chez les femmes allaitantes. Pour le reste de la durée de l'allaitement, une faible exposition est attendue. Les effets de l'alirocumab sur les enfants allaités n'étant pas connus, une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre le traitement par Praluent durant cette période.
Fertilité
Aucun effet indésirable sur les marqueurs de la fertilité n'a été observé dans les études animales (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Aucune donnée n'est disponible concernant les effets indésirables sur la fertilité humaine.
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
Réactions allergiques
Des
réactions allergiques générales, dont le prurit, ainsi que des
réactions allergiques rares et parfois graves, telles
qu'hypersensibilité, eczéma nummulaire, urticaire et vascularite
d'hypersensibilité ont été rapportées dans les études cliniques. Des
cas d'angiœdème ont été rapportés depuis la commercialisation (voir
rubrique Effets indésirables). Si des signes ou symptômes de
réaction allergique grave se manifestent, le traitement par alirocumab
doit être arrêté et il convient d'instaurer un traitement symptomatique
approprié (voir rubrique Contre-indications).
Insuffisance rénale
Peu de patients avec une insuffisance rénale sévère (définies par un DFG < 30 mL/min/1,73 m2) ont été inclus dans les études cliniques (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). L'alirocumab doit être utilisé avec prudence chez les patients avec une insuffisance rénale sévère.
Insuffisance hépatique
L'alirocumab n'a pas été étudié chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Classe C de Child- Pugh) (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). L'alirocumab doit être utilisé avec prudence chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère.
Manifestation allergique
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance hépatique sévère
Praluent n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Effets d'alirocumab sur d'autres médicaments
L'alirocumab étant un agent biologique, aucun effet pharmacocinétique d'alirocumab sur d'autres médicaments ni aucun effet sur les enzymes du cytochrome P450 ne sont attendus.
Effets d'autres médicaments sur l'alirocumab
Les statines et autres traitements hypolipémiants sont connus pour augmenter la production de PCSK9, la protéine ciblée par l'alirocumab. Cela entraîne une augmentation de la clairance d'alirocumab médiée par PCSK9 et diminue l'exposition systémique à l'alirocumab. Comparativement à l'alirocumab en monothérapie, l'exposition à l'alirocumab est environ 40 %, 15 % et 35 % moins élevée lorsqu'il est utilisé de façon concomitante avec respectivement des statines, de l'ézétimibe et du fénofibrate. Cependant, la diminution du taux de LDL-C est maintenue durant l'intervalle entre les administrations lorsque l'alirocumab est administré toutes les deux semaines.
PRALUENT_CONTRIBUTION_ANHET.F_CT20747
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Télécharger le documentHistidine, Saccharose, Polysorbate 20, Eau pour préparations injectables, Substrats d'origine : Protéines de hamster
SANOFI WINTHROP INDUSTRIE
82 avenue Raspail
94250
GENTILLY
Code UCD7 : 9414861
Code UCD13 : 3400894148616
Code CIS : 68788824
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : SANOFI WINTHROP INDUSTRIE
Prix vente TTC : 430.37€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 430.37€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 23/09/2015
Rectificatif AMM : 19/12/2024
Marque : PRALUENT
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930034392
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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