PARLODEL
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Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé sécable
Catégories :
Endocrinologie, Inhibiteurs de la prolactine, Bromocriptine, Gynécologie, Médicaments de la lactation, Blocage de la lactation, Agonistes dopaminergiques, Bromocriptine, Neurologie-psychiatrie, Antiparkinsoniens, Dopaminergiques, Agonistes dopaminergiques, Bromocriptine
Principes actifs :
Bromocriptine mésilate
Conséquences cliniques de l'hyperprolactinémie, Prolactinome, Maladie de Parkinson
Adulte . Traitement en endocrinologie : Entretien (implicite)
2 comprimés par jour au cours d'un repas. Maximum 4 comprimés par jour.
Adulte . Traitement de J1
½ comprimé au dîner pendant 1 jour.
Adulte . Traitement de J2
1 comprimé par jour au cours d'un repas pendant 1 jour.
Adulte . Traitement d'entretien en monothérapie. Maladie de Parkinson
30 mg par jour à répartir en 3 prises au cours des repas.
ou 12 comprimés par jour à répartir en 3 prises au cours des repas.
Adulte . Traitement associé à la lévodopa : Entretien. Maladie de Parkinson
25 mg par jour à répartir en 3 prises au cours des repas.
ou 10 comprimés par jour à répartir en 3 prises au cours des repas.
Sujet âgé . Traitement d'entretien. Maladie de Parkinson (implicite)
15 mg à répartir en plusieurs prises au cours des repas.
ou 6 comprimés à répartir en plusieurs prises au cours des repas.
Voie orale
Collapsus
Eczéma
Hypotension
Hypotension orthostatique
Urticaire
Hallucinations
Confusion
Dyskinésie
Eruption érythémateuse
Eruption maculopapuleuse
Sécheresse de la bouche
Perte des cheveux
Crampe des jambes
Agitation psychomotrice
Douleur abdominale
Pleurésie
Troubles psychotiques
Douleur lombaire
Fibrose rétropéritonéale
Dyspnée
Oedème périphérique
Somnolence
Fibrose pleuropulmonaire
Trouble de la fonction rénale
Epanchement pleural
Péricardite constrictive
Péricardite
Epanchement péricardique
Accès de sommeil d'apparition soudaine
Valvulopathie cardiaque
Somnolence diurne excessive
Pâleur des extrémités déclenchée par l'exposition au froid
Syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques
Régurgitation valvulaire
Anxiété
Douleur
Fatigue
Dépression
Sudation
Syndrome de sevrage
Apathie
Augmentation de la libido
Jeu pathologique
Hypersexualité
Achats compulsifs
Alimentation compulsive
Les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de fréquence, comme suit : très fréquent (= 1/10) ; fréquent (= 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (= 1/1000, < 1/100) ; rare (= 1/10,000, < 1/1000) ; très rare (< 1/10,000), y compris cas isolés.
Affections psychiatriques
Peu fréquent : confusion*, agitation psychomotrice*, hallucinations*
Rare : troubles psychotiques
Ces troubles psychiatriques peuvent être observés plus particulièrement aux fortes posologies et essentiellement chez des patients présentant déjà des signes de détérioration mentale. Ces troubles nécessitent la réduction de la posologie, voire l'arrêt du traitement.
Troubles du contrôle des impulsions
Le jeu pathologique, l'augmentation de la libido, l'hypersexualité, les dépenses ou achats compulsifs, la consommation excessive de nourriture et l'alimentation compulsive, sont des troubles qui peuvent survenir chez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections du système nerveux
Fréquent : céphalées*, sensation vertigineuse, assoupissement*
Peu fréquent : dyskinésies*
Rare : somnolence,
Très rare : somnolence diurne excessive, accès de sommeil d'apparition soudaine
Affections cardiaques
Rare : péricardite constrictive,
Très rares : valvulopathie cardiaque (incluant régurgitation) et troubles associés (péricardite et épanchement péricardique).
Affections vasculaires
Peu fréquent : hypotension, hypotension orthostatique* (conduisant à titre exceptionnel à un collapsus nécessitant la réduction de la posologie, voire l'arrêt du traitement)
Très rare : pâleur réversible des extrémités déclenchée par l'exposition au froid particulièrement chez les patients présentant déjà des antécédents de syndrome de Raynaud
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : congestion nasale*
Rare : épanchement pleural et fibrose pleuropulmonaire chez des patients parkinsoniens traités à long terme et à fortes doses (voir Mises en garde et précautions d'emploi), pleurésie, dyspnée
Affections gastro-intestinales
Fréquent : nausée, constipation*, vomissement
Peu fréquent : sécheresse de la bouche*
Rare : douleur abdominale, fibrose rétropéritonéale
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Peu fréquent : perte des cheveux*, urticaire, eczéma, éruption maculo-papuleuse, éruption érythémateuse.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Peu fréquent : crampes au niveau des jambes*
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Rare : oedème périphérique
Très rare : syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques en cas d'arrêt brutal du traitement.
Fréquence indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques incluant apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation, douleur, etc. (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).* Habituellement ces effets (*) indésirables sont dose-dépendants et peuvent être contrôlés en diminuant la posologie.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.
Voir plus
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de la bromocriptine.
En conséquence, la bromocriptine peut être prescrite pendant la grossesse si besoin.
Mises en garde
La plupart des incidents ou accidents cardiovasculaires observés (voir rubrique Effets indésirables) sont survenus chez des patients présentant des facteurs de risque vasculaire (hypertension artérielle, tabagisme, obésité), une artériopathie périphérique, ou traités de façon concomitante par des médicaments vasoconstricteurs dont l'association est déconseillée. Dans ces cas, il est conseillé au prescripteur d'évaluer le rapport entre le bénéfice attendu et les risques encourus par le patient.
Dans de rares cas, des effets indésirables graves tels qu'une hypertension, un infarctus du myocarde, des convulsions, un accident vasculaire cérébral ou des troubles psychiatriques ont été rapportés chez des femmes traitées avec de la bromocriptine pour l'inhibition de la lactation en post-partum.
Une somnolence et des accès de sommeil d'apparition soudaine ont été rapportés lors du traitement par la bromocriptine particulièrement chez les patients atteints de maladie de Parkinson.
Un endormissement soudain pendant les activités quotidiennes, dans certains cas sans prodrome, a été très rarement rapporté. Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de ces effets et ils doivent être avertis de se montrer prudents lors de la conduite automobile ou l'utilisation des machines pendant le traitement par la bromocriptine.
Les patients ayant présenté une somnolence ou des accès de sommeil d'apparition soudaine ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser des machines. Une réduction des doses ou un arrêt du traitement peut être envisagé.
Troubles du contrôle des impulsions
Les patients doivent être surveillés de façon régulière à la recherche de l'apparition de troubles du contrôle des impulsions. Les patients et les soignants doivent être tenus informés que des troubles du contrôle des impulsions comportant le jeu pathologique, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses ou des achats compulsifs, une consommation excessive de nourriture et une alimentation compulsive, peuvent survenir chez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine. Une diminution de la dose ou un arrêt progressif doivent être envisagés si ces symptômes apparaissent.
Risque de fibrose
Chez les patients traités par la bromocriptine, en particulier à long terme et à fortes doses, il a été occasionnellement rapporté des épanchements pleuraux et péricardiques, des fibroses pleuropulmonaires, et des péricardites constrictives. Les patients présentant des symptômes pleuropulmonaires inexpliqués devront faire l'objet d'un examen approfondi et l'arrêt du traitement par la bromocriptine devra être envisagé.
Chez quelques patients sous bromocriptine, en particulier à long terme et à fortes doses, une fibrose rétropéritonéale a été rapportée. Pour assurer un diagnostic de fibrose retropéritonéale à un stade précoce il est recommandé d'en suivre chez ces patients les manifestations (douleurs lombaires, oedèmes des membres inférieurs, trouble de la fonction rénale).
La bromocriptine doit être interrompue si des fibroses rétropéritonéales sont diagnostiquées ou suspectées.
Utilisation chez les patients parkinsoniens
Quand une diminution de la dose ou un arrêt du traitement est nécessaire, la dose devra être réduite progressivement (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Une réduction brutale de la dose ou du traitement pourrait causer un syndrome malin des neuroleptiques. De plus, une réduction brutale de la dose ou du traitement des agonistes des récepteurs dopaminergiques pourrait causer un syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (SSAD). Des données limitées suggèrent que les patients présentant des troubles du contrôle des impulsions et ceux qui reçoivent une dose journalière élevée et/ou des doses cumulatives élevées d'agonistes dopaminergiques peuvent être plus à risque de développer un SSAD. Les symptômes de sevrage peuvent inclure l'apathie, l'anxiété, la dépression, la fatigue, la sudation et la douleur et ne répondent pas à la lévodopa. Avant de diminuer progressivement et d'arrêter le traitement, les patients doivent être informés des symptômes de sevrage potentiels. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant la diminution de doses et l'arrêt du traitement. En cas de symptômes de sevrage sévères et/ou persistants, une ré-administration temporaire du traitement à la dose efficace la plus faible peut être envisagée.
Autres mises en garde
La tolérance au traitement peut être réduite par absorption simultanée d'alcool.
Précautions d'emploi
Les patients ne doivent être traités par bromocriptine que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus en cas d'antécédents de troubles psychiques ou psychiatriques ou d'affections cardio vasculaires sévères ou d'ulcères gastroduodénaux.
La prudence est recommandée chez les patients récemment traités ou traités par des médicaments susceptibles d'élever ou d'abaisser la pression artérielle.
Chez certaines patientes, l'apparition de convulsions ou d'accident vasculaire cérébral était précédée d'une céphalée et/ou de troubles visuels transitoires. Il est recommandé de surveiller la pression artérielle attentivement, en particulier les jours suivants le début du traitement. En cas d'hypertension, de douleur thoracique, de céphalée sévère, progressive ou sans rémission (avec ou sans troubles visuels) ou dans le cas du développement d'une toxicité du système nerveux central, il est recommandé d'arrêter le traitement par bromocriptine et d'examiner la patiente rapidement.
Les patients de plus de 65 ans doivent bénéficier d'une surveillance tensionnelle et psychique et une posologie journalière plus faible préconisée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Endocrinologie
Avant de traiter une hyperprolactinémie par bromocriptine, il faudra tout d'abord en rechercher l'étiologie (médicamenteuse ou hypothyroïde par exemple). Il faut également rechercher l'existence d'un adénome hypophysaire ou d'une lésion supra-hypophysaire, éventuellement relevant d'un traitement substitutif ou neurochirurgical.
En cas de grossesse chez une patiente porteuse d'un adénome hypophysaire, il faudra surveiller avec soin les signes témoignant d'une reprise de la croissance tumorale (céphalées intenses et persistantes ainsi que troubles visuels). Chez les patientes traitées pour des troubles du cycle menstruel, stérilité ou galactorrhée, si une grossesse survient, il est conseillé d'interrompre le traitement dès que le diagnostic de grossesse est positif.
En revanche, si une grossesse n'est pas désirée, il est impératif de recourir à des méthodes contraceptives (à l'exclusion des oestro-progestatifs).
Un suivi du champ visuel des patients traités par bromocriptine pour un macroprolactinome est recommandé pour un dépistage précoce de la perte secondaire du champ visuel.
Dans ces cas, les troubles du champ visuel peuvent être améliorés en diminuant la posologie de la bromocriptine aux dépends d'une certaine augmentation de la prolactinémie et d'une ré-expansion de la tumeur.
Chez certains patients traités par bromocritine pour prolactinomes, il a été observé une rhinorrhée cérébrospinale. Les données disponibles suggèrent que ceci peut résulter d'une réduction de la tumeur.
Neurologie
Les patients de plus de 65 ans doivent bénéficier d'une surveillance tensionnelle et psychique et une posologie journalière plus faible préconisée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Et en cas de :
· Détérioration mentale,
· Antécédents de troubles psychiques sous dopathérapie
· Affection cardiovasculaire sévère,
· Antécédents d'ulcères gastroduodénaux.
Ces patients ne doivent être traités par des agonistes dopaminergiques que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus.
Somnolence
Endormissement soudain
Trouble du contrôle des pulsions
Jeu pathologique
Augmentation de la libido
Hypersexualité
Achats compulsifs
Augmentation de la prise de nourriture
Alimentation compulsive
Symptômes pleuropulmonaires inexpliqués
Fibrose rétropéritonéale
Syndrome de sevrage
Consommation d'alcool
Hypertension artérielle
Céphalée
Trouble neurologique
Lésion suprahypophysaire
Patiente en âge de procréer
Détérioration mentale
Antécédent de troubles psychiques sous dopathérapie
Affection cardiovasculaire sévère
Antécédent d'ulcère gastroduodénal
Troubles visuels
Douleur thoracique
Neurotoxicité
Patient de plus de 65 ans
Grossesse
Patient de 6 à 15 ans
L'attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines doit être attirée sur la possibilité de manifestations vertigineuses, de baisse de la vigilance et de baisse tensionnelle liées à l'utilisation de ce médicament.
Les patients traités par la bromocriptine présentant une somnolence et/ou des accès de sommeil d'apparition soudaine, doivent être informés qu'ils ne doivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altération de leur vigilance pourrait les exposer eux-mêmes ou d'autres personnes à un risque d'accident grave ou de décès (par exemple l'utilisation de machines) jusqu'à la disparition de ces effets (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Associations contre-indiquées
+ Neuroleptiques antiémétiques (alizapride, métoclopramide et métopimazine)
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.
Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.
Associations déconseillées+ Neuroleptiques antipsychotiques (sauf clozapine) (chez les patients parkinsoniens)
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques. L'agoniste dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques. En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez les parkinsoniens traités par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminués progressivement jusqu'à l'arrêt (l'arrêt brutal des dopaminergiques expose à un risque de « syndrome malin des neuroleptiques »).
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (ergotamine, dihydroergotamine, méthylergométrine)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ Macrolides (sauf spiramycine)
Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de l'activité ou apparition de signes de surdosage.
+ Sympathomimétiques indirects
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ Sympathomimétique alpha (voies orale et/ou nasale)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et du tétrabénazine.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Antiparkinsoniens anticholinergiques
Risque de majoration des troubles neuropsychiques.
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
Associations à prendre en compte
+ Dapoxétine
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
+ Médicaments abaissant la pression artérielle
Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique.
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VIATRIS SANTE
Code UCD7 : 9067796
Code UCD13 : 3400890677967
Code CIS : 63369053
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : MEDA PHARMA
Laboratoire exploitant : VIATRIS SANTE
Prix vente TTC : 3.58€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 3.58€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 11/06/1992
Rectificatif AMM : 29/03/2024
Marque : PARLODEL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400932026555
Référence LPPR : Aucune
BROMOCRIPTINE ZENTIVA 2,5 mg, comprimé sécable, boîte de 100 (détails indisponibles)
BROMOCRIPTINE ZENTIVA 2,5 mg, comprimé sécable, boîte de 30
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