PANTOPRAZOLE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé gastrorésistant
Catégories :
Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement de l'ulcère gastroduodénal, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole, Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement du reflux gastro-oesophagien, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole
Principes actifs :
Pantoprazole
Eradication d'Helicobacter pylori en cas de maladie ulcéreuse gastroduodénale, Prévention de la récidive de l'ulcère gastro-duodénal en cas d'infection par Helicobacter pylori, Ulcère duodénal, Ulcère gastrique, Oesophagite par reflux gastro-oesophagien, Syndrome de Zollinger-Ellison
Adulte . Ulcère duodénal
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 4 semaines.
Adulte . Ulcère gastrique (implicite)
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 8 semaines.
Adulte . Traitement en association. Eradication d'Helicobacter pylori en cas d'ulcère gastroduodénal
1 comprimé 2 fois par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 14 jours.
Adulte . Syndrome de Zollinger-Ellison
2 comprimés 2 fois par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau.
Adulte . Traitement initial. Syndrome de Zollinger-Ellison
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Oesophagite par reflux gastro-oesophagien (implicite)
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 8 semaines. Maximum 2 comprimés par jour.
Voie orale
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN ou le service des urgences de l'hôpital le plus proche en cas de :
- Réaction allergique : gonflement de la langue et/ou de la gorge, difficultés à avaler ou respirer, urticaire, oedème de la face, vertige sévère avec accélération du rythme cardiaque et transpiration abondante.
- Réactions cutanées graves : formation de cloques et dégradation rapide de l'état général ; érosion (y compris de légers saignements) des yeux, du nez, de la bouche/des lèvres ou des parties génitales ; sensibilité à la lumière/au soleil. Des douleurs articulaires ou des symptômes pseudo-grippaux, une fièvre ou des glandes enflées peuvent accompagner ces réactions.
- Jaunissement de la peau ou du blanc des yeux.
- Douleur dans le bas du dos, accompagnées de fièvre et de douleurs au moment d'uriner.
PREVENIR
IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Perte de poids involontaire.
-
Vomissements répétés.
- Vomissement
de sang (comme des grains de café noir dans les vomissements).
- Présence
de sang dans les selles (selles noires ou d'apparence
goudronneuse).
-
Difficultés à avaler ou douleur à la déglutition.
- Pâleur et faiblesse
(signes d'anémie).
- Douleur à la poitrine.
- Diarrhées sévères ou persistantes.
NE PAS CONDUIRE de véhicules ou UTILISER de machines en cas sensations vertigineuses ou troubles visuels.
EVITER de consommer des produits à base de plantes
contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) pendant le traitement.
Asthénie
Ballonnement
Céphalée
Constipation
Diarrhée
Distension abdominale
Douleur abdominale
Fatigue
Vertige
Eruption cutanée
Sécheresse buccale
Malaise
Exanthème
Elévation des enzymes hépatiques
Gêne abdominale
Nausée
Vomissement
Prurit cutané
Trouble du sommeil
Rash cutané
Fracture de la hanche
Fracture du poignet
Fracture du rachis
Gynécomastie
Hyperlipidémie
Urticaire
Dépression
Agranulocytose
Myalgie
Arthralgie
Oedème périphérique
Trouble du goût
Vision floue
Hypersensibilité
Modification du poids
Trouble visuel
Augmentation de la bilirubinémie
Augmentation de la température corporelle
Angioedème
Leucopénie
Thrombopénie
Pancytopénie
Désorientation
Choc anaphylactique
Contracture musculaire
Hypocalcémie
Hypokaliémie
Hyponatrémie
Ictère
Insuffisance hépatocellulaire
Insuffisance rénale
Hypomagnésémie
Syndrome de Lyell
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Paresthésie
Réaction anaphylactique
Erythème polymorphe
Augmentation des transaminases
Photosensibilité
Néphrite tubulo-interstitielle
Lésion hépatocellulaire
Augmentation des triglycérides
Augmentation du cholestérol
Aggravation d'une dépression
Lupus érythémateux cutané subaigu
Hallucination
Syndrome DRESS
Augmentation des GGT
Aggravation de la confusion
Aggravation d'une désorientation
Aggravation d'hallucination
Colite microscopique
Environ 5 % des patients sont susceptibles de présenter des effets indésirables (EI).
Les effets indésirables signalés avec le pantoprazole sont classés dans le tableau ci-dessous selon l'ordre de fréquence suivant :
Très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Pour tous les effets indésirables notifiés après commercialisation, il n'est pas possible d'imputer cet ordre de fréquence, par conséquent ils sont listés comme survenant à une fréquence « indéterminée ».
Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Tableau 1. Effets indésirables du pantoprazole rapportés au cours des études cliniques et notifiés après commercialisation
(1) Hypocalcémie et/ou une hypokaliémie peuvent être liées à la survenue d'une hypomagnésémie (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)
(2) Spasme musculaire suite à des troubles électrolytiques
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.
Voir plus
Grossesse
Un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1 000 grossesses) n'a mis en évidence aucun effet malformatif, ni toxique pour le foetus ou le nouveau-né.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation du pantoprazole pendant la grossesse.
Allaitement
Des études menées chez l'animal ont montré que le pantoprazole passait dans le lait maternel. Il n'existe pas de données suffisantes sur l'excrétion du pantoprazole dans le lait maternel mais le passage dans le lait maternel chez l'être humain a été rapporté. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. En conséquence, la décision d'arrêter l'allaitement ou celle d'arrêter/d'éviter le traitement par pantoprazole doit tenir compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement par pantoprazole chez la femme.
Fertilité
Il n'y a aucune preuve de fertilité diminuée suite à l'administration du pantoprazole dans les études effectuées chez l'animal (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Insuffisance hépatique
Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, un bilan des enzymes hépatiques devra être réalisé régulièrement pendant le traitement par pantoprazole, notamment en cas de traitement au long cours. En cas d'élévation de celles-ci, le traitement devra être interrompu (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Association thérapeutique
En cas d'associations thérapeutiques, il est nécessaire de respecter les résumés des caractéristiques du produit des médicaments impliqués.
Tumeur gastrique maligne
Une réponse symptomatique au pantoprazole peut masquer les symptômes d'une tumeur gastrique maligne et peut retarder le diagnostic. En présence de tout symptôme alarmant (par exemple perte de poids involontaire importante, vomissements récurrents, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et lorsqu'un ulcère gastrique est suspecté ou présent, une affection maligne doit être écartée.
D'autres examens doivent être envisagés si les symptômes persistent malgré un traitement approprié.
Administration concomitante d'inhibiteurs de la protéase VIH
L'administration concomitante de pantoprazole n'est pas recommandée avec des inhibiteurs de la protéase du VIH, dont l'absorption est dépendante du pH acide intragastrique, tels que l'atazanavir, en raison d'une baisse significative de leur biodisponibilité (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Influence sur l'absorption de la vitamine B12
Chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres situations hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement au long cours, le pantoprazole, comme tout antisécrétoire gastrique, peut diminuer l'absorption de la vitamine B12 (cyanocobalamine) en raison d'une hypo- ou achlorhydrie. Ceci doit être pris en compte chez les patients disposant de réserves réduites ou présentant des facteurs de risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12 lors d'un traitement au long cours ou si des symptômes cliniques sont observés.
Traitement à long terme
Dans le cadre du traitement au long cours, notamment lorsque sa durée excède 1 an, les patients devront faire l'objet d'une surveillance clinique régulière.
Infections bactériennes gastro-intestinales
Le traitement par pantoprazole peut conduire à une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales provoquées par des bactéries telles que Salmonella et Campylobacter et C. difficile.
Hypomagnésémie
Une hypomagnésémie sévère a été rarement rapportée chez des patients traités par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) comme le pantoprazole pendant au moins trois mois, et dans la plupart des cas pour une année. Des manifestations graves d'hypomagnésémie, comme fatigue, tétanie, délire, convulsions, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent se produire, mais elles peuvent commencer de façon insidieuse et être négligées. L'hypomagnésémie peut entraîner une hypocalcémie et/ou une hypokaliémie (voir rubrique Effets indésirables). Chez les patients les plus touchés, l'hypomagnésémie (et l'hypocalcémie et/ou l'hypokaliémie associées à l'hypomagnésémie) est améliorée après un traitement de substitution du magnésium et l'arrêt de l'IPP.
Pour les patients susceptibles de prendre un traitement prolongé ou qui prennent des IPP avec la digoxine ou des médicaments pouvant causer une hypomagnésémie (par exemple, des diurétiques), les professionnels de santé devront mesurer les taux de magnésium avant de commencer le traitement par IPP et périodiquement pendant le traitement.
Fractures osseuses
Les inhibiteurs de la pompe à protons, en particulier s'ils sont utilisés à fortes doses et dans le cadre d'un traitement au long cours (> 1 an), peuvent légèrement augmenter le risque de fracture de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, principalement chez les sujets âgés ou en présence d'autres facteurs de risque reconnus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque global de fracture de 10 à 40 %. Une partie de cette augmentation peut être due à la présence d'autres facteurs de risque. Les patients à risque d'ostéoporose doivent recevoir des soins en accord avec les recommandations de bonnes pratiques cliniques actuelles et doivent avoir un apport adéquat en vitamine D et en calcium.
Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS)
Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très occasionnels de LECS. Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter le pantoprazole. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
Interférence avec les tests de laboratoire
L'augmentation du taux de chromogranine A (CgA) peut interférer avec les tests réalisés pour l'exploration des tumeurs neuroendocrines. Pour éviter cette interférence, le traitement par pantoprazole doit être interrompu au moins 5 jours avant de mesurer le taux de CgA (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Si les taux de CgA et de gastrine ne se sont pas normalisés après la mesure initiale, les mesures doivent être répétées 14 jours après l'arrêt du traitement par inhibiteur de la pompe à protons.
Excipients
Ce médicament contient du maltitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare).
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement sans sodium.
Insuffisance hépatique modérée
Augmentation des enzymes hépatiques
Importante perte de poids involontaire
Vomissements à répétition
Dysphagie
Hématémèse
Anémie
Méléna
Réserve réduite de vitamine B12
Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
Hypomagnésémie
Facteurs de risque d'ostéoporose
Sujet âgé
Lupus érythémateux cutané subaigu
Eruption photosensible
Arthralgie
Insuffisance rénale
Le pantoprazole n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Des effets indésirables tels que sensations vertigineuses et troubles visuels peuvent survenir (voir rubrique Effets indésirables). Les patients présentant ce type d'effet indésirable ne doivent pas conduire de véhicules ni utiliser des machines.
Médicaments dont la pharmacocinétique d'absorption est dépendante du pH
En raison d'une inhibition importante et durable de la sécrétion acide gastrique, le pantoprazole peut interférer avec l'absorption de médicaments pour lesquels le pH gastrique est un facteur déterminant important de la biodisponibilité orale, par exemple certains antifongiques azolés, tels que le kétoconazole, l'itraconazole, le posaconazole et d'autres médicaments comme l'erlotinib.
Inhibiteurs de la protéase du VIH
L'administration concomitante de pantoprazole n'est pas recommandée avec des inhibiteurs de la protéase du VIH dont l'absorption est dépendante du pH acide intragastrique tels que l'atazanavir en raison d'une baisse significative de leur biodisponibilité (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Si la combinaison d'inhibiteurs de protéase du VIH avec un inhibiteur de la pompe à protons est jugée indispensable, une surveillance clinique étroite est recommandée (par ex. la charge virale). Une dose de 20 mg de pantoprazole par jour ne doit pas être dépassée. Le dosage de l'inhibiteur de la protéase du VIH pourrait devoir être ajusté.
Anticoagulants coumariniques (phenprocoumone ou warfarine)
Une administration concomitante de pantoprazole et de warfarine ou de phenprocoumone n'a pas influencé la pharmacocinétique de la warfarine et de la phenprocoumone ni l'INR. Cependant, des cas d'augmentation de l'INR et du temps de prothrombine ont été rapportés chez des patients recevant de manière concomitante des IPP et de la warfarine ou de la phenprocoumone. Une augmentation de l'INR et du temps de prothrombine peut entraîner des saignements anormaux, et même le décès. Les patients traités avec du pantoprazole et de la warfarine ou de la phenprocoumone peuvent nécessiter une surveillance pour détecter une augmentation de l'INR et du temps de prothrombine.
Méthotrexate
L'administration concomitante de fortes doses de méthotrexate (par exemple, 300 mg) et d'inhibiteurs de la pompe à protons a été associée à une augmentation des taux de méthotrexate chez certains patients. En conséquence, lors de situations où le méthotrexate est utilisé à forte dose, comme dans le traitement du cancer et du psoriasis, il parait nécessaire d'envisager l'interruption temporaire du pantoprazole.
Autres études d'interactions cinétiques
Le pantoprazole est largement métabolisé au niveau du foie, par le système enzymatique du cytochrome P450. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19 et les autres voies métaboliques comprennent l'oxydation par le CYP3A4.
Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée au cours d'études spécifiques portant sur des substances métabolisées par les mêmes voies, notamment la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de l'éthinylestradiol.
Une interaction entre le pantoprazole et d'autres médicaments ou composés, qui sont métabolisés à l'aide du même système enzymatique, ne peut pas être exclue.
Les résultats d'une série d'études d'interactions ont démontré que le pantoprazole n'influe pas sur les substances actives métabolisés par le CYP1A2 (comme la caféine ou la théophylline), le CYP2C9 (comme le piroxicam, le diclofénac ou le naproxène), le CYP2D6 (comme le métoprolol), le CYP2E1 (comme l'éthanol). Le pantoprazole n'interfère pas avec l'absorption de la digoxine liée à la glycoprotéine P.
Il n'existe pas d'interactions avec les antiacides administrés de manière concomitante.
Des études d'interactions ont été menées sur l'administration concomitante de pantoprazole et de différents antibiotiques (clarithromycine, métronidazole, amoxicilline). Aucune interaction cliniquement significative n'a été démontrée.
Médicaments inhibiteurs ou inducteurs du CYP2C19 :
Les inhibiteurs du CYP2C19 comme la fluvoxamine peuvent augmenter l'exposition systémique au pantoprazole. Une réduction de la dose peut être envisagée chez les patients traités à long terme avec des doses élevées de pantoprazole, ou ceux présentant une insuffisance hépatique.
Les inducteurs enzymatiques influant sur le CYP2C19 et le CYP3A4, comme la rifampicine et le millepertuis (Hypericum perforatum), peuvent réduire les concentrations plasmatiques des IPP qui sont métabolisés par ces systèmes enzymatiques.
EUPANTOL_INIPOMP_16092020_SYNTHESE_CT18373
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Télécharger le documentNoyau du comprimé : Maltitol, Crospovidone, Carmellose sodique, Sodium carbonate, Calcium stéarate, Pelliculage du comprimé : Poly(alcool vinylique), Talc, Titane dioxyde, Macrogol 3350, Lécithine de soja, Fer oxyde, Sodium carbonate, Triéthyle citrate, Copolymère de : Méthacrylique acide, Ethyle acrylate
EG LABO
Central Park 9-15 rue Maurice Mallet
92130
Issy-Les-Moulineaux
Code UCD7 : 9326789
Code UCD13 : 3400893267899
Code CIS : 68538895
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : EG LABO
Laboratoire exploitant : EG LABO
Prix vente TTC : 1.18€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 1.18€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 18/11/2008
Rectificatif AMM : 20/04/2023
Marque : PANTOPRAZOLE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400939030333
Référence LPPR : Aucune
EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 14
EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 14 (détails indisponibles)
EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28
EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28 (IP1)
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