PANTOPRAZOLE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé gastrorésistant
Catégories :
Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement de l'ulcère gastroduodénal, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole, Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement du reflux gastro-oesophagien, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole
Principes actifs :
Pantoprazole
Reflux gastro-oesophagien, Oesophagite par reflux gastro-oesophagien, Prévention de l'oesophagite par reflux, Prévention de l'ulcère gastroduodénal induit par les AINS chez le patient à risque
Adulte . Prévention de l'ulcère gastroduodénal induit par les AINS chez le patient à risque (implicite)
1 comprimé par jour 1 h avant un repas avec un peu d'eau.
A avaler entier sans croquer, ni écraser.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Traitement d'entretien et de prévention des récidives. Oesophagite par reflux gastro-oesophagien (implicite)
1 comprimé par jour 1 h avant un repas avec un peu d'eau.
A avaler entier sans croquer, ni écraser.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Traitement à la demande. Reflux gastro-oesophagien
1 comprimé par jour si besoin.
A avaler entier sans croquer, ni écraser.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Reflux gastro-oesophagien
1 comprimé par jour 1 h avant un repas avec un peu d'eau pendant 8 semaines.
A avaler entier sans croquer, ni écraser.
Voie orale
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN ou le service des urgences de l'hôpital le plus proche en cas de :
- Réaction allergique grave : gonflement de la langue et/ou de la gorge, difficultés à avaler ou respirer, urticaire, oedème de la face, vertige sévère avec accélération du rythme cardiaque et transpiration abondante.
- Réactions cutanées graves : formation de cloques et dégradation rapide de l'état général ; érosion des yeux, du nez, de la bouche/des lèvres ou des parties génitales ; sensibilité à la lumière.
- Jaunissement de la peau ou du blanc des yeux.
- Douleur et rougeur dans le bas du dos, accompagnées de fièvre et de douleurs au moment d'uriner.
PREVENIR
IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Perte de poids involontaire.
- Vomissements répétés.
- Vomissement de sang (comme des grains de café noir
dans les vomissements).
- Présence de sang dans les selles (selles noires ou
d'apparence goudronneuse).
-
Difficultés à avaler ou douleur à la déglutition.
- Pâleur et faiblesse (signes d'anémie).
- Douleur à la poitrine.
- Diarrhées sévères ou persistantes.
- Fatigue, contractions musculaires involontaires, désorientation, convulsions, sensations vertigineuses, accélération du rythme cardiaque.
- Eruption cutanée, en particulier au niveau des zones exposées au soleil ou douleurs articulaires.
NE PAS prendre de produit à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (sensations vertigineuses, troubles visuels).
Asthénie
Ballonnement
Céphalée
Constipation
Diarrhée
Distension abdominale
Douleur abdominale
Fatigue
Vertige
Eruption cutanée
Sécheresse buccale
Malaise
Augmentation des transaminases
Exanthème
Elévation des enzymes hépatiques
Gêne abdominale
Nausée
Vomissement
Prurit cutané
Trouble du sommeil
Rash cutané
Fracture de la hanche
Augmentation des GGT
Fracture du poignet
Fracture du rachis
Gynécomastie
Hyperlipidémie
Urticaire
Dépression
Agranulocytose
Myalgie
Arthralgie
Oedème périphérique
Trouble du goût
Vision floue
Hypersensibilité
Augmentation des triglycérides
Augmentation du cholestérol
Modification du poids
Trouble visuel
Augmentation de la bilirubinémie
Augmentation de la température corporelle
Angioedème
Leucopénie
Thrombopénie
Pancytopénie
Désorientation
Choc anaphylactique
Contracture musculaire
Hypocalcémie
Hypokaliémie
Hyponatrémie
Ictère
Insuffisance hépatocellulaire
Insuffisance rénale
Hypomagnésémie
Syndrome de Lyell
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Paresthésie
Réaction anaphylactique
Erythème polymorphe
Néphrite interstitielle
Photosensibilité
Lésion hépatocellulaire
Aggravation d'une dépression
Lupus érythémateux cutané subaigu
Hallucination
Augmentation du risque d'infection
Aggravation de la confusion
Aggravation d'une désorientation
Aggravation d'hallucination
Colite microscopique
Environ 5 % des patients sont susceptibles de présenter des effets indésirables (EI). Les EI le plus souvent signalés sont une diarrhée et des céphalées, survenant tous deux chez environ 1 % des patients.
Les effets indésirables signalés avec le pantoprazole sont classés dans le tableau ci-dessous selon l'ordre de fréquence suivant :
Très fréquents (≥1/10) ; fréquents (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquents (≥1/1 000 à <1/100) ; rares (≥1/10 000 à <1/1 000) ; très rares (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Pour tous les effets indésirables notifiés après commercialisation, il n'est pas possible d'imputer cet ordre de fréquence, par conséquent ils sont listés comme survenant à une fréquence « indéterminée ».
Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante.
Tableau 1. Effets indésirables du pantoprazole rapportés au cours des études cliniques et notifiés après commercialisation
1. Hypocalcémie en association avec l'hypomagnésémie
2. Contracture musculaire consécutive à une perturbation électrolytique
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
Voir plus
Grossesse
Un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1000 grossesses) n'a mis en évidence aucun effet malformatif, ni toxique pour le foetus ou le nouveau-né de PANTOPRAZOLE ALTER.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation de PANTOPRAZOLE ALTER pendant la grossesse.
Allaitement
Des études menées chez l'animal ont montré que le pantoprazole passait dans le lait maternel. Il n'existe pas de données suffisantes sur l'excrétion du pantoprazole dans le lait maternel, mais le passage dans le lait maternel chez l'être humain a été rapporté. Un risque pour les nouveaux-nés/nourrissons ne peut être exclu. En conséquence, la décision d'arrêter l'allaitement ou celle d'arrêter/s'abstenir du traitement par PANTOPRAZOLE ALTER doit tenir compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement par PANTOPRAZOLE ALTER pour la femme.
Fertilité
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence de signe d'altération de la fertilité suite à l'administration de pantoprazole (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Insuffisance hépatique
Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère, les enzymes hépatiques doivent être surveillées régulièrement pendant le traitement par pantoprazole, notamment en cas d'utilisation au long cours. En cas d'augmentation des enzymes hépatiques, le traitement doit être arrêté (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Administration concomitante d'AINS
L'utilisation de PANTOPRAZOLE ALTER 20 mg pour la prévention d'ulcères gastro-duodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) non sélectifs doit être limitée à des patients ayant besoin d'un traitement continu par AINS et présentant un risque accru de développer des complications gastro-intestinales. Le risque accru doit être évalué selon les facteurs de risque individuels, tels que l'âge avancé (> 65 ans), les antécédents d'ulcère gastrique ou duodénal ou d'hémorragie digestive haute.
Tumeur gastrique maligne
La réponse symptomatique à un traitement par pantoprazole peut masquer les symptômes d'une tumeur gastrique maligne et en retarder son diagnostic. En présence de tout symptôme alarmant (par exemple perte de poids involontaire importante, vomissements récurrents, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et lorsqu'un ulcère gastrique est suspecté ou présent, une affection maligne doit être écartée.
D'autres examens doivent être envisagés si les symptômes persistent malgré un traitement approprié.
Administration concomitante d'inhibiteurs de la protéase du VIH
L'administration concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de la protéase du VIH, dont l'absorption dépend du pH gastrique, tel que l'atazanavir, n'est pas recommandée car cela risquerait de réduire leur biodisponibilité de manière significative (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Influence sur l'absorption de la vitamine B12
Le pantoprazole, comme tout antisécrétoire gastrique, peut diminuer l'absorption de la vitamine B12 (cyanocobalamine) en raison d'hypo- ou d'achlorhydrie. Ceci doit être pris en compte chez les patients disposant de réserves réduites ou présentant des facteurs de risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12 lors de traitement au long cours ou si des symptômes cliniques sont observés.
Traitement à long terme
Dans le cadre du traitement au long cours, notamment lorsque sa durée excède 1 an, les patients devront faire l'objet d'une surveillance régulière.
Infections bactériennes gastro-intestinales
Le traitement par PANTOPRAZOLE ALTER peut mener à une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales dues à des bactéries telles que Salmonella, Campylobacter, ou C. difficile.
Hypomagnésémie
Des cas d'hypomagnésémies sévères ont été rapportés chez des patients traités par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que le pantoprazole pendant au moins trois mois et, dans la plupart des cas pendant un an. L'hypomagnésémie peut se manifester par des signes cliniques graves tels que fatigue, tétanie, bouffées délirantes, convulsions, sensations vertigineuses, arythmie ventriculaire, mais elle peut débuter de façon insidieuse et passer inaperçue. Chez la plupart des patients, l'hypomagnésémie s'est améliorée après supplémentation en magnésium et arrêt de l'IPP.
Chez les patients nécessitant un traitement prolongé ou en cas d'association des IPP avec de la digoxine ou avec des médicaments pouvant induire une hypomagnésémie (par exemple des diurétiques), un dosage du taux de magnésium sanguin doit être envisagé par les professionnels de santé avant de commencer le traitement par l'IPP puis régulièrement pendant le traitement.
Fracture osseuse
Les inhibiteurs de la pompe à protons, en particulier s'ils sont utilisés à fortes doses et sur une durée prolongée (> 1 an), peuvent augmenter modérément le risque de fracture de la hanche, du poignet et des vertèbres, principalement chez les patients âgés ou en présence d'autres facteurs de risque identifiés. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque global de fracture de 10 à 40 %. Cette augmentation peut être en partie due à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être pris en charge conformément aux recommandations en vigueur, et recevoir un apport approprié en vitamine D et en calcium.
Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS)
Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont associés à des cas très occasionnels de LECS. Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter PANTOPRAZOLE ALTER. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
Interférence avec les tests de laboratoire
L'augmentation du taux de Chromogranine A (CgA) peut interférer avec les tests réalisés pour l'exploration des tumeurs neuroendocrines. Pour éviter cette interférence, le traitement par PANTOPRAZOLE ALTER doit être interrompu au moins 5 jours avant de mesurer le taux de CgA (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Si les taux de CgA et de gastrine ne se sont pas normalisés après la mesure initiale, les mesures doivent être répétées 14 jours après l'arrêt du traitement par inhibiteur de la pompe à protons.
Insuffisant hépatique sévère
Augmentation des enzymes hépatiques
Importante perte de poids involontaire
Vomissements à répétition
Dysphagie
Hématémèse
Anémie
Méléna
Sujet âgé
Réserve réduite de vitamine B12
Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
Hypomagnésémie
Facteurs de risque d'ostéoporose
Lupus érythémateux cutané subaigu
Eruption photosensible
Arthralgie
Le pantoprazole n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Des effets indésirables tels que sensations vertigineuses et troubles visuels peuvent survenir (voir rubrique Effets indésirables). Les patients présentant ce type d'effet indésirable ne doivent pas conduire de véhicules ni utiliser de machines.
Médicaments avec absorption pH-dépendante
En raison d'une inhibition importante et durable de la sécrétion gastrique, le pantoprazole peut interférer avec l'absorption d'autres médicaments, pour lesquels le pH gastrique est un élément déterminant de leur biodisponibilité orale, comme par exemple certains antifongiques azolés, tel que le kétoconazole, l'itraconazole, le posaconazole et d'autres médicaments tels que l'erlotinib.
Inhibiteurs de la protéase du VIH
L'administration concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de la protéase du VIH, dont l'absorption dépend du pH gastrique, tel que l'atazanavir, n'est pas recommandée car cela risquerait de réduire leur biodisponibilité de manière significative (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Si l'association d'un inhibiteur de la protéase du VIH et d'un inhibiteur de la pompe à protons est jugée indispensable, une surveillance clinique régulière (par exemple une surveillance de la charge virale) est recommandée. La dose de 20 mg de pantoprazole par jour ne doit pas être dépassée. La posologie d'inhibiteur de la protéase du VIH pourrait être ajustée.
Anticoagulants coumariniques (phenprocoumone ou warfarine)
L'association de pantoprazole avec la warfarine ou la phenprocoumone n'a pas affecté la pharmacocinétique de la warfarine, de la phenprocoumone, ou l'INR. Cependant, des cas d'augmentation de l'INR et du temps de prothrombine ont été rapportés chez des patients recevant un IPP et de la warfarine ou de la phenprocoumone de manière concomitante. Une augmentation de l'INR et du temps de prothrombine peut provoquer des hémorragies, potentiellement fatales. Chez les patients traités simultanément par le pantoprazole et la warfarine ou la phenprocoumone, le suivi de l'INR et du temps de prothrombine est recommandé.
Méthotrexate
Une augmentation des taux sanguins de méthotrexate a été rapportée chez certains patients lors de l'utilisation concomitante de fortes doses de méthotrexate (par exemple 300 mg) et d'inhibiteurs de la pompe à protons. Par conséquent, dans les situations où de fortes doses de méthotrexate sont utilisées, comme par exemple dans le cancer et le psoriasis, un arrêt temporaire du traitement par le pantoprazole doit être envisagé.
Autres études d'interactions
Le pantoprazole est largement métabolisé au niveau du foie, par le système enzymatique du cytochrome P450. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19 et les autres voies métaboliques comprennent l'oxydation par le CYP3A4.
Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée au cours d'études spécifiques portant notamment sur la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine, et un contraceptif oral composé de lévonorgestrel et d'ethinyloestradiol.
L'interaction du pantoprazole avec d'autres médicaments ou composés, métabolisés par le même système enzymatique, ne peut être exclue.
Les résultats d'une série d'études d'interactions ont montré que le pantoprazole n'influait pas sur le métabolisme des substances actives métabolisés par le CYP1A2 (comme la caféine, la théophylline), le CYP2C9 (comme le piroxicam, le diclofénac, le naproxène), le CYP2D6 (comme le métoprolol), le CYP2E1 (comme l'éthanol). Le pantoprazole n'interfère pas avec l'absorption de la digoxine liée à la glycoprotéine P.
Il n'existe pas d'interactions avec les antiacides administrés de manière concomitante.
Des études d'interactions ont été menées sur l'administration concomitante de pantoprazole et de différents antibiotiques (clarithromycine, métronidazole, amoxicilline). Aucune interaction cliniquement significative n'a été montrée.
Médicaments inhibant ou induisant le CYP2C19 :
Les inhibiteurs du CYP2C19 tels que la fluvoxamine peuvent augmenter l'exposition systémique au pantoprazole. Pour les patients suivant un traitement par pantoprazole au long cours à de fortes doses, ou pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique, une réduction de la dose peut être envisagée.
Les inducteurs enzymatiques affectant le CYP2C19 et le CYP3A4 comme la rifampicine et le millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent réduire les concentrations plasmatiques des IPPs, qui sont métabolisés par ces systèmes enzymatiques.
EUPANTOL_INIPOMP_16092020_SYNTHESE_CT18373
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LABORATOIRES ALTER
3 Avenue de la Baltique
91140
VILLEBON-SUR-YVETTE
Code UCD7 : 9322395
Code UCD13 : 3400893223956
Code CIS : 65309165
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : LABORATOIRES ALTER
Laboratoire exploitant : LABORATOIRES ALTER
Prix vente TTC : 3.71€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 3.71€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 31/07/2008
Rectificatif AMM : 17/05/2022
Marque : PANTOPRAZOLE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938703979
Référence LPPR : Aucune
EUPANTOL 20 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 14
EUPANTOL 20 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28
EUPANTOL 20 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28 (IP1)
EUPANTOL 20 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28 (IP2)
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