OLICLINOMEL
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Emulsion injectable pour perfusion IV
Catégories :
Anesthésie, réanimation, Solutions pour perfusion, Acides aminés, Acides aminés avec lipides, glucides et électrolytes
Principes actifs :
Compartiment émulsion lipidique à 10%, Huile d'olive, Huile de soja, Compartiment solution d'acides aminés à 5,5%, Alanine, Arginine, Glycine, Histidine, Isoleucine, Leucine, Lysine, Méthionine, Phénylalanine, Proline, Sérine, Thréonine, Tryptophane, Tyrosine, Valine, Acétate de sodium, Glycérophosphate de sodium, Chlorure de potassium, Chlorure de magnésium, Compartiment solution de glucose à 20%, Glucose, Chlorure de calcium
Nutrition parentérale
Adulte . Nutrition parentérale. Voie IV en perfusion (implicite)
0.88 g d'acides aminés par kilo par jour en perfusion IV centrale ou périphérique. Maximum 0.06 g d'acides aminés par kilo par heure.
ou 39.9 ml par kilo par jour en perfusion IV centrale ou périphérique. Maximum 2.72 ml par kilo par heure.
Enfant - Nourrisson de 2 ans à 15 ans . Nutrition parentérale. Voie IV en perfusion (implicite)
2.2 g d'acides aminés par kilo par jour en perfusion IV centrale ou périphérique. Maximum 0.06 g d'acides aminés par kilo par heure.
ou 99.9 ml par kilo par jour en perfusion IV centrale ou périphérique. Maximum 2.72 ml par kilo par heure.
Voie IV
Anémie
Céphalée
Fièvre
Hyperlipidémie
Hyperthermie
Leucopénie
Thrombophlébite
Coma
Troubles de la coagulation
Thrombocytopénie
Dyspnée
Tremblement
Augmentation de la bilirubine
Augmentation des transaminases
Augmentation des phosphatases alcalines
Nausée
Sudation excessive
Syndrome de surcharge graisseuse
Infiltration lipidique
Des effets indésirables potentiels peuvent résulter d'une utilisation non appropriée: par exemple, surdosage, vitesse de perfusion trop rapide (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Surdosage).
Au début de la perfusion, tout signe anormal ou symptôme d'une réaction allergique (ex., sueurs, fièvre, frissons, céphalées, rashs cutanés, dyspnée, bronchospasme) doit entraîner l'interruption immédiate de la perfusion.
OLICLINOMEL N4-550E, N7-1000E, et N8-800 ont été utilisées dans trois (3) essais cliniques afin d'évaluer la facilité d'utilisation, la sécurité d'emploi et l'efficacité nutritionnelle de ces produits.
L'un des essais cliniques conduit avec OLICLINOMEL N8-800 était une étude d'efficacité et de sécurité randomisée, en double aveugle et contrôlée contre comparateur actif. Vingt-huit patients présentant des affections médicales variables (ex., jeûne post-opératoire, malnutrition sévère, apport entéral insuffisant ou impossible) ont été inclus et traités ; les patients du groupe OLICLINOMEL ont reçu le produit à raison d'une dose maximale de 40 ml/kg/j sur 5 jours.
Les deux autres essais cliniques étaient des études ouvertes, non comparatives afin d'évaluer la facilité d'utilisation, la sécurité et l'efficacité d'OLICLINOMEL chez des patients ayant subi une chirurgie gastro-intestinale. Dans ces essais cliniques, 36 patients au total ont reçu le produit à raison de doses maximales de 40 ml/kg/j pendant 5 jours lors de l'étude avec OLICLINOMEL N4-550E (N=20), et de 36 ml/kg/j pendant 5 jours lors de l'étude avec OLICLINOMEL N7-1000E (N=16).
Les données colligées (64 patients) issues de ces 3 essais cliniques et l'expérience post-commercialisation ont mis en évidence les effets indésirables suivants liés à OLICLINOMEL :
a : La fréquence est définie comme très fréquente (≥1/10); fréquente (≥1/100, <1/10) ; peu fréquente (≥1/1000, <1/100) ; rare (≥1/10000, <1/1000) ; très rare (<1/10000) ; ou fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
b : Effets indésirables rapportés durant les essais cliniques. Ces études ont inclus seulement les 64 patients qui ont reçu OLICLINOMEL.
c : Effets indésirables rapportés après commercialisation avec OLICLINOMEL.
* Effets indésirables pouvant être associés à une extravasation
Effets de classe
Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec des produits similaires :
· Syndrome de surcharge graisseuse (très rare) :
Un syndrome de surcharge graisseuse a été signalé avec des produits similaires. Il peut être provoqué par une administration incorrecte (par ex. surdosage et/ou vitesse de perfusion supérieure à celle recommandée) ; toutefois, les signes et symptômes de ce syndrome peuvent également survenir au début d'une perfusion lorsque le produit est administré conformément aux instructions. Une capacité réduite ou limitée à métaboliser les lipides contenus dans OLICLINOMEL, accompagnée d'une prolongation de la clairance plasmatique, peut entraîner un "syndrome de surcharge graisseuse". Ce syndrome est associé à une brusque altération de l'état clinique du patient. Il se caractérise par des symptômes tels qu'une hyperlipidémie, de la fièvre, une stéatose par infiltration graisseuse (hépatomégalie), une détérioration de la fonction hépatique, une anémie, une leucopénie, une thrombopénie, des troubles de la coagulation, et des manifestations au niveau du système nerveux central (par ex. coma) nécessitant une hospitalisation. Le syndrome est généralement réversible après l'arrêt de la perfusion de l'émulsion lipidique.
· Affections vasculaires (fréquence indéterminée - ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :
Précipités vasculaires pulmonaires (embolie pulmonaire d'origine vasculaire et détresse respiratoire) (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi)
Population pédiatrique
Chez l'enfant sous perfusion de lipides, quelques cas de thrombopénie ont été rapportés.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé doivent déclarer tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
Voir plus
Chez la femme enceinte ou au cours de l'allaitement, il n'existe pas actuellement de données cliniques suffisamment pertinentes pour évaluer la tolérance des composants de OLICLINOMEL. En raison de l'absence de données, le prescripteur doit évaluer le rapport bénéfice/risque avant de décider l'administration de cette émulsion que ce soit au cours de la grossesse ou au cours de l'allaitement.
La perfusion doit être immédiatement arrêtée en cas d'apparition de signes ou des symptômes d'une réaction allergique (tels que sueurs, fièvre, frissons, céphalées, rashs cutanés, dyspnée ou bronchospasme). Ce médicament contient de l'huile de soja et des phosphatides d'oeuf. Les protéines de soja et d'oeuf peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité. Des réactions d'allergie croisée ont été observées entre les protéines de soja et d'arachide.
Une surveillance clinique particulière est requise au début d'une perfusion intraveineuse.
Les troubles sévères de l'équilibre hydroélectrolytique, les états graves d'hypervolémie, et les troubles graves du métabolisme doivent être corrigés avant de démarrer la perfusion.
La ceftriaxone ne doit pas être mélangée ni administrée simultanément avec une autre solution intraveineuse contenant du calcium, même en utilisant des lignes ou des sites de perfusion différents. La ceftriaxone et des solutions contenant du calcium peuvent être administrées séquentiellement, l'une après l'autre, si des lignes de perfusion sur des sites de perfusion différents sont utilisées ou si les lignes de perfusion sont remplacées, ou ont été minutieusement rincées entre les perfusions avec une solution de sérum physiologique afin d'éviter toute précipitation. Chez les patients nécessitant une perfusion continue de solutions de nutrition parentérale totale contenant du calcium, les professionnels de santé peuvent éventuellement envisager l'utilisation d'un autre traitement antibactérien ne comportant pas un risque similaire de précipitation. Si l'utilisation de la ceftriaxone s'avère nécessaire chez des patients ayant besoin d'une nutrition continue, les solutions de nutrition parentérale totale et la ceftriaxone peuvent être administrées simultanément, mais par des lignes de perfusion différentes, sur des sites différents. Autrement, la perfusion de solution de nutrition parentérale totale pourrait également être interrompue pendant la période de perfusion de ceftriaxone, sans oublier de rincer abondamment les lignes de perfusion entre les perfusions de ces solutions (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Incompatibilités).
Des précipités vasculaires pulmonaires entraînant une embolie pulmonaire d'origine vasculaire et une détresse respiratoire, d'issue fatale dans certains cas, ont été rapportés chez des patients recevant une nutrition parentérale. L'ajout excessif de calcium et de phosphate augmente le risque de formation de précipités de phosphate de calcium (voir rubrique Incompatibilités).
Une formation de précipités dans la circulation sanguine a également été suspectée.
En plus de l'inspection de la solution, le dispositif de perfusion et le cathéter doivent aussi être régulièrement contrôlés afin de détecter toute formation de précipités.
Si des signes de détresse respiratoire apparaissent, la perfusion doit être arrêtée et une évaluation médicale initiée.
Ne pas ajouter d'autres médicaments ou substances à tout composant de la poche ni à l'émulsion reconstituée sans avoir préalablement vérifié leur compatibilité et la stabilité de la préparation résultante (en particulier la stabilité de l'émulsion lipidique). La formation de précipités ou la déstabilisation de l'émulsion lipidique pourrait entraîner une occlusion vasculaire (voir rubriques Incompatibilités et Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
La contamination de l'accès vasculaire et la septicémie sont des complications qui peuvent survenir chez les patients recevant une nutrition parentérale, en particulier en cas de mauvais entretien des cathéters ou de pathologies ou de médicaments à effets immunosuppresseurs. Une surveillance attentive des signes, symptômes et résultats d'examens de laboratoire afin de détecter une fièvre/des frissons, une leucocytose, des complications techniques du dispositif d'accès et une hyperglycémie peut permettre de dépister rapidement une infection. Les patients qui nécessitent une nutrition parentérale sont souvent prédisposés aux complications infectieuses en raison de leur dénutrition et/ou d'un état pathologique sous-jacent. Le risque de complications septiques peut être réduit en veillant à utiliser des techniques aseptiques lors de la mise en place et de l'entretien du cathéter, ainsi que lors de la préparation de la formulation nutritionnelle.
L'équilibre hydroélectrolytique, l'osmolarité sérique, les triglycérides sériques, l'équilibre acido-basique, la glycémie, les examens de la fonction hépatique et rénale, les tests de coagulation et la numération sanguine incluant les plaquettes, doivent être contrôlés pendant toute la durée du traitement.
Des complications métaboliques peuvent survenir si l'apport de nutriments n'est pas adapté aux besoins du patient, ou si la capacité métabolique des apports alimentaires n'a pas été évaluée de manière précise. Des effets secondaires métaboliques peuvent apparaître en cas d'administration inappropriée ou excessive de nutriments ou de composition inadaptée d'un mélange par rapport aux besoins spécifiques du patient.
Les concentrations sériques des triglycérides et la capacité de l'organisme à éliminer des lipides doivent être contrôlés régulièrement.
La concentration sérique en triglycérides ne doit pas dépasser 3 mmol/l pendant la perfusion. Sa détermination devra être faite après au moins 3 heures d'une perfusion continue.
Lorsqu'une anomalie du métabolisme lipidique est suspectée, il est recommandé d'effectuer ce contrôle tous les jours en mesurant les triglycérides sériques après une période de 5 à 6 heures sans administration de lipide. Chez l'adulte, le sérum doit être limpide, au plus tard 6 heures après l'arrêt de la perfusion contenant l'émulsion lipidique. La prochaine perfusion ne sera effectuée que lorsque le taux des triglycérides plasmatiques sera revenu à des valeurs normales.
Un syndrome de surcharge graisseuse a été rapporté avec des produits similaires. Une capacité réduite ou limitée à métaboliser les lipides contenus dans OLICLINOMEL peut entraîner un ‘'syndrome de surcharge graisseuse'' pouvant être dû à un surdosage ; cependant les signes et symptômes de ce syndrome peuvent également survenir lorsque le produit est administré conformément aux instructions (voir également rubrique Effets indésirables).
En cas d'hyperglycémie, le débit de perfusion d'OLICLINOMEL N4-550E doit être ajusté et/ou de l'insuline doit être administrée.
Une thrombophlébite peut se développer en cas de perfusion dans la veine périphérique d'OLICLINOMEL N4-550E. Le site d'insertion du cathéter doit être contrôlé tous les jours pour détecter tout signe local de thrombophlébite.
En cas de supplémentation, l'osmolarité finale du mélange doit être mesurée avant administration. Le mélange obtenu doit être administré par voie veineuse périphérique ou centrale, selon son osmolarité finale. Si le mélange final administré est hypertonique, il peut provoquer une irritation veineuse en cas d'administration dans une veine périphérique.
Bien que le produit présente une teneur naturelle en vitamines et oligo-éléments, ces quantités sont insuffisantes pour couvrir les besoins de l'organisme et doivent faire l'objet d'ajouts pour éviter toute carence. Consulter les instructions pour réaliser des supplémentations à ce produit. (Voir rubrique Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
Administrer avec prudence OLICLINOMEL chez les patients présentant une osmolarité sérique augmentée, une insuffisance surrénale, une insuffisance cardiaque ou des troubles fonctionnels pulmonaires.
Chez les patients souffrant de dénutrition, l'instauration de la nutrition parentérale peut entraîner le syndrome de renutrition qui se caractérise par le passage intracellulaire de potassium, de phosphore et de magnésium parallèlement au fait que les patients deviennent anaboliques. Une carence en thiamine et une rétention d'eau peuvent également se produire. Un contrôle minutieux et une augmentation lente des apports en nutriments tout en évitant la suralimentation peuvent prévenir ces complications. Ce syndrome a été rapporté avec des produits similaires.
Ne pas connecter les poches en série afin d'éviter tout risque d'embolie gazeuse due à l'air résiduel contenu dans la première poche.
Insuffisance hépatique
A utiliser avec prudence chez les patients atteints d'insuffisance hépatique en raison du risque d'apparition ou d'aggravation de troubles neurologiques associés à une hyperammoniémie. Des examens cliniques et de laboratoire réguliers sont nécessaires, notamment les paramètres de la fonction hépatique, le contrôle de la glycémie, des électrolytes et des triglycérides.
Insuffisance rénale
A utiliser avec prudence chez les patients atteints d'insuffisance rénale, en particulier en présence d'hyperkaliémie, en raison du risque d'apparition ou d'aggravation d'une acidose métabolique et d'une hyperazotémie en l'absence d'épuration extra-rénale. Le bilan hydrique, les triglycérides et les électrolytes doivent être attentivement contrôlés chez ces patients.
Affections hématologiques
A utiliser avec prudence chez les patients atteints de troubles de la coagulation et d'anémie. L'hémogramme et les paramètres de la coagulation doivent être attentivement contrôlés.
Affections endocriniennes et troubles du métabolisme
A utiliser avec prudence chez les patients atteints de :
· Acidose métabolique. L'administration de glucides est déconseillée en présence d'acidose lactique. Des examens cliniques et de laboratoire réguliers sont nécessaires.
· Diabète. Contrôler la concentration de glucose, la glycosurie, la cétonurie et, le cas échéant, ajuster les doses d'insuline.
· Hyperlipidémie en raison de la présence de lipides dans l'émulsion pour perfusion. Des examens cliniques et de laboratoire réguliers sont nécessaires.
· Troubles du métabolisme des acides aminés.
Extravasation
Le site du cathéter doit être régulièrement contrôlé pour détecter les signes d'extravasation. En cas d'extravasation, l'administration doit être interrompue immédiatement, tout en maintenant en place la canule ou le cathéter inséré pour une prise en charge immédiate du patient. Si possible, une aspiration doit être pratiquée à travers la canule/le cathéter inséré afin de réduire la quantité de liquide présent dans les tissus avant de retirer la canule/le cathéter. Si une extrémité est atteinte, le membre concerné doit être surélevé.
Selon le produit extravasé (y compris les produits mélangés avec OLICLINOMEL N4-550E, le cas échéant) et le stade/l'étendue des lésions éventuelles, des mesures spécifiques appropriées doivent être prises. Les options thérapeutiques peuvent inclure des interventions non pharmacologiques, pharmacologiques et/ou chirurgicales. En cas de dégradation de la zone affectée (douleur continue, nécrose, ulcération, suspicion de syndrome de compression des loges), un chirurgien plasticien doit être consulté immédiatement.
Le site d'extravasation doit être contrôlé au moins toutes les 4 heures pendant les premières 24 heures, puis une fois par jour
La perfusion ne doit pas être à nouveau réalisée dans la même veine périphérique ou centrale.
Précautions particulières en pédiatrie
Dans le cas d'une administration chez l'enfant de plus de 2 ans, il est indispensable d'utiliser une poche dont le volume correspond à la posologie journalière.
Une supplémentation en vitamines et oligo-éléments est toujours nécessaire. Les formulations pédiatriques seront utilisées.
Insuffisance surrénale
Insuffisance cardiaque
Troubles fonctionnels pulmonaires
Réaction allergique
Surveillance hydro-électrolytique
Surveillance osmolarité sérique
Surveillance équilibre acidobasique sanguin
Surveillance glycémie
Surveillance fonction hépatique
Surveillance triglycéridémie
Anomalie du métabolisme des lipides
Trouble du métabolisme des acides aminés
Insuffisance hépatocellulaire légère à modérée
Insuffisance rénale
Acidose métabolique
Diabète
Troubles de la coagulation
Anémie
Hyperlipidémie
Aucune étude n'a été réalisée sur les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Aucune étude d'interaction n'a été menée.
Des précipités de ceftriaxone-calcium peuvent se former si la ceftriaxone est mélangée avec des solutions contenant du calcium dans la même ligne d'administration intraveineuse. La ceftriaxone ne doit pas être mélangée ni administrée simultanément par voie intraveineuse avec des solutions contenant du calcium, telles qu'OLICLINOMEL N4-550E, par la même ligne de perfusion (ex, raccord en Y). Néanmoins, la ceftriaxone et des solutions contenant du calcium peuvent être administrées séquentiellement, l'une après l'autre, si les lignes de perfusion sont minutieusement rincées entre les perfusions, à l'aide d'un liquide compatible (ex., solution de sérum physiologique) (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Incompatibilités).
OLICLINOMEL N4-550E contient de la vitamine K, naturellement présente dans les émulsions lipidiques. La teneur en vitamine K dans les posologies recommandées d'OLICLINOMEL N4-550E ne devrait pas influencer les effets des dérivés de la coumarine.
Cette émulsion pour perfusion ne doit pas être administrée simultanément avec du sang par la même tubulure de perfusion en raison d'un risque de pseudoagglutination.
Les lipides contenus dans cette émulsion peuvent interférer avec les résultats de certains examens de laboratoire (par exemple: bilirubine, lactate déshydrogénase, saturation en oxygène, hémoglobinémie) dans le cas où le prélèvement sanguin a été réalisé avant que les lipides aient été éliminés (ces derniers sont éliminés en général après une période sans apport de lipides de 5 à 6 heures).
En raison de la teneur en potassium d'OLICLINOMEL N4-550E, il convient de faire preuve de prudence chez les patients traités à l'aide de diurétiques épargneurs du potassium (par exemple, amiloride, spironolactone, triamtérène), d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC), d'antagonistes du récepteur de l'angiotensine II ou d'immunosuppresseurs tels le tacrolimus et la ciclosporine en raison du risque d'hyperkaliémie.
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentCompartiment émulsion lipidique : Lécithine d'oeuf, Glycérol, Sodium oléate, Sodium hydroxyde, Eau pour préparations injectables, Compartiment solution d'acides aminés : Acétique acide, Eau pour préparations injectables, Compartiment solution de glucose : Chlorhydrique acide, Eau pour préparations injectables
BAXTER
IMMEUBLE BERLIOZ 4 BIS RUE DE LA REDOUTE
78280
GUYANCOURT
Code UCD7 : 9228029
Code UCD13 : 3400892280295
Code CIS : 67596034
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : BAXTER
Laboratoire exploitant : BAXTER
Prix vente TTC : Non communiqué
Taux de TVA : 10%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 0€
Taux SS : 0%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PHN
Date AMM : 27/02/2001
Rectificatif AMM : 08/06/2016
Marque : OLICLINOMEL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400935603371
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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