NUTROPINAQ
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable
Catégories :
Endocrinologie, Hormones de l'antéhypophyse et analogues, Somatropine et analogues, Somatropine
Principes actifs :
Somatropine
Retard de croissance lié à une sécrétion insuffisante d'hormone de croissance, Retard de croissance associé à un syndrome de Turner, Retard de croissance associé à une insuffisance rénale chronique, Déficit somatotrope de l'adulte
Adulte . Traitement initial. Déficit somatotrope de l'adulte. Voie SC (implicite)
0.3 mg par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant . Retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique. Voie SC
0.05 mg par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant - Nourrisson . Retard de croissance lié à une sécrétion insuffisante d'hormone de croissance. Voie SC (implicite)
0.035 mg par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Enfant - Nourrisson de plus de 2 ans . de sexe féminin. Retard de croissance lié à un syndrome de Turner. Voie SC
0.05 mg par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Voie SC
CONSULTER LE MÉDECIN IMMÉDIATEMENT en cas :
-
de problèmes de vue, de maux de tête intenses ou fréquents, d'une
sensation de malaise (nausée) ou de vomissements, en particulier au
début du traitement,
- de modification ou d'une augmentation de la taille de tâches de naissance et/ou grains de beauté (naevus mélanocytaires).
CONSULTER LE MÉDECIN en cas :
- d'apparition d'une claudication ou d'une douleur à la hanche ou au genou,
- de douleurs abdominales et dorsales ou des maux d'estomac.
SPORTIFS : Substance dopante.
Arthrose
Asthénie
Céphalée
Hypothyroïdie
Insuffisance rénale
Mastodynie
Ménorragie
Péritonite
Augmentation de la créatininémie
Douleur dorsale
Intolérance au glucose (dysglycémie)
Hypertonie
Réaction au point d'injection
Ostéonécrose
Hyperlipémie
Production d'anticorps antisomatropine
Troubles synoviaux
Néoplasie du système nerveux central
Anémie
Douleur abdominale
Flatulence
Gynécomastie
Hémorragie utérine
Hirsutisme
Hypertension
Hypoglycémie
Incontinence urinaire
Syndrome du canal carpien
Tachycardie
Tumeur maligne
Urticaire
Diplopie
Atrophie cutanée
Atrophie musculaire
Douleur osseuse
Douleur au point d'injection
Lipodystrophie
Pollakiurie
Polyurie
Somnolence
Hyperphosphatémie
Nystagmus
Oedème papillaire
Nausée
Vomissement
Dermatite exfoliante
Tuméfaction au point d'injection
Irritation au point d'injection
Hémorragie au point d'injection
Trouble de la personnalité
Urines anormales
Hypertrophie de la peau
Scoliose
Atrophie au point d'injection
Hypertrophie au point d'injection
Tumeur bénigne
Vertige labyrinthique
Hypertrophie des végétations adénoïdes
Ecoulement génital
Epiphysiolyse fémorale supérieure
Diabète sucré
Diarrhée
Douleur
Fatigue
Hypertension intracrânienne
Insomnie
Irritabilité
Migraine
Dépression
Hyperglycémie
Hématome au point d'injection
Prurit au point d'injection
Paresthésie
Sensation vertigineuse
Faiblesse musculaire
Oedème de la face
Erythème au point d'injection
Vision trouble
Pyrexie
Augmentation de la glycémie
Gonflement au point d'injection
Urticaire au point d'injection
Prurit généralisé
Augmentation du poids
Rash cutané
Comportement anormal
Douleur des extrémités
Trouble du métabolisme osseux
Hypertrophie amygdalienne
Naevus mélanocytaire
Ostéochondrose
Récidive de tumeur maligne
Résumé du profil de sécurité
Les effets secondaires rapportés chez les adultes et les enfants traités par Nutropin, NutropinAq, Nutropin Depot ou Protropine (somatrem) sont présentés dans le tableau ci-dessous, qui est basé sur les essais cliniques réalisés dans toutes les indications thérapeutiques approuvées (642 patients) et sur ceux rapportés après la commercialisation, notamment lors du programme de surveillance (National Cooperative Growth Study [NCGS], 35 344 patients). Des évènements indésirables liés au médicament ont été rapportés chez environ 2,5 % des patients de l'étude NCGS.
Les effets secondaires les plus fréquemment observés lors des études cliniques pivots et supportives ont été : hypothyroïdie, intolérance au glucose, céphalée, hypertonie, arthralgie, myalgie, œdème périphérique, œdème, asthénie, réaction au point d'injection et présence d'anticorps spécifiques au médicament.
Les effets secondaires les plus sévères lors des études cliniques pivots et supportives ont été les tumeurs et l'hypertension intracrânienne.
Des tumeurs (malignes ou bénignes) ont été observées lors des études cliniques pivots et supportives ainsi que lors du programme de surveillance après la commercialisation (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). La majorité des tumeurs observées étaient des récidives d'une tumeur antérieure et des nouvelles tumeurs.
Une hypertension intracrânienne a été observée lors du programme de surveillance après la commercialisation. Elle est en général associée à un œdème papillaire, des troubles de la vue, des nausées et/ou des vomissements et les symptômes surviennent habituellement dans les huit semaines suivant le début du traitement par NutropinAq.
NutropinAq réduit la sensibilité à l'insuline. Une intolérance au glucose a été observée lors des études cliniques pivots et supportives et lors du programme de surveillance réalisé après la commercialisation. Des cas de diabète et d'hyperglycémie ont été signalés lors du programme de surveillance réalisé après la commercialisation (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des réactions au point d'injection telles qu'hémorragie, atrophie, urticaire et prurit ont été observées lors des études cliniques pivots et supportives et/ou lors du programme de surveillance réalisé après la commercialisation. Ces événements peuvent être évités par une technique d'injection correcte et une alternance des sites d'injection.
Un faible pourcentage de patients peut développer des anticorps anti-somatropine. La capacité de liaison des anticorps à l'hormone de croissance était inférieure à 2 mg/l chez les sujets testés ayant reçu NutropinAq, ce qui n'a pas été associé à un ralentissement de la vitesse de croissance.
Tableau de synthèse des effets secondaires
Le tableau 1 contient les effets indésirables très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquents (≥ 1/1000, < 1/100), rares (≥ 1/10000, < 1/1000) qui ont été observés lors des essais cliniques et du programme de surveillance après la commercialisation. Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité. D'autres effets secondaires ont été identifiés pendant l'utilisation post-AMM de NutropinAq. Ces effets secondaires étant signalés de façon volontaire par une population de taille indéterminée, il n'est pas possible d'estimer leur fréquence de façon fiable.
Description des effets indésirables sélectionnés
Tumeurs
Il existe un risque de néoplasie dû au traitement par hormone de croissance. Le risque sous-jacent varie selon la cause sous-jacente de déficit en hormone de croissance (par ex. secondaire à une lésion intracrânienne), les comorbidités associées et le ou les traitements reçu(s). Le traitement par NutropinAq ne doit pas être commencé s'il existe des preuves d'activité tumorale. En cas d'antécédents de tumeurs ou de déficit en hormone de croissance secondaire à une lésion intracrânienne, le patient doit être examiné régulièrement afin de détecter toute progression ou récurrence de la pathologie sous-jacente. Le traitement doit être interrompu en cas de croissance tumorale.
Hypertension intracrânienne
Dans tous les cas signalés, les signes et symptômes de l'hypertension intracrânienne ont disparu après réduction de la dose de NutropinAq ou arrêt du traitement (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Un fond d'œil est recommandé au début du traitement puis à intervalles réguliers.
Hypothyroïdie
Une hypothyroïdie peut se développer pendant le traitement par NutropinAq et non traitée elle peut entraver la réponse optimale à NutropinAq. Les patients doivent passer régulièrement des examens de la fonction thyroïdienne et être traités par une hormone thyroïdienne le cas échéant. Les patients présentant une hypothyroïdie préexistante doivent être traités avant de commencer le traitement par NutropinAq.
Contrôle glycémique
NutropinAq pouvant réduire la sensibilité à l'insuline, les patients doivent être surveillés afin de détecter une éventuelle intolérance au glucose. Pour les patients diabétiques, il faut éventuellement ajuster la dose d'insuline après la mise en route du traitement par NutropinAq. Les patients diabétiques ou souffrants d'intolérance au glucose doivent faire l'objet d'une surveillance attentive pendant le traitement par la somatropine.
Réactions au site d'injection
Les réactions au site d'injection peuvent être évitées par une technique d'injection correcte et une alternance des sites d'injection.
Épiphysiolyse
Les patients souffrant de troubles endocriniens sont plus exposés au développement d'une épiphysiolyse.
Effets indésirables rapportés dans les essais cliniques selon l'indication traitée
Population pédiatrique
Enfants ayant un retard de croissance dû à un déficit en GH (n=236)
Fréquent : néoplasie du système nerveux central (2 patients avec une récidive de médulloblastome, 1 patient avec un histiocytome). Voir aussi la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Filles ayant un retard de croissance associé au syndrome de Turner (n=108)
Fréquent : ménorragie.
Enfants ayant un retard de croissance associé à une insuffisance rénale chronique (n=171)
Fréquent : insuffisance rénale, péritonite, ostéonécrose, augmentation de la créatininémie.
Les enfants présentant une insuffisance rénale chronique traités par NutropinAq sont plus exposés au risque de développer une hypertension intracrânienne. Toutefois, l'incidence est également accrue chez les enfants avec un déficit en hormone de croissance (GHD) organique ou un syndrome de Turner. Le risque est maximal au début du traitement.
Population adulte
Adultes ayant un déficit en GH (n=127)
Très fréquent : paresthésie
Fréquent : hyperglycémie, hyperlipémie, insomnie, troubles synoviaux, arthrose, faiblesse musculaire, douleurs dorsales, mastodynie, gynécomastie.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V*.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas de données ou il existe des données limitées sur l'utilisation de la somatropine chez la femme enceinte. Par conséquent, le risque chez l'Homme n'est pas connu.
Les études effectuées chez l'animal sont insuffisantes pour permettre de conclure sur la toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
La somatropine n'est pas recommandée au cours de la grossesse et doit être interrompue en cas de grossesse. Pendant la grossesse, la somatropine maternelle est largement remplacée par l'hormone de croissance placentaire.
Allaitement
On ne sait pas si la somatropine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Aucune donnée chez l'animal n'est disponible.
Pendant le traitement par NutropinAq, l'allaitement doit être envisagé avec prudence.
Fertilité
L'effet de NutropinAq sur la fertilité n'a pas été évalué lors d'études conventionnelles sur la fertilité animale (voir rubrique Données de sécurité préclinique) ou d'essais cliniques.
La dose journalière maximale recommandée ne doit pas être dépassée (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Tumeurs
Lorsqu'un patient a présenté une pathologie cancéreuse, il faut porter une attention particulière à la survenue de signes et de symptômes d'une rechute.
En cas d'antécédents de tumeurs ou de déficit en hormone de croissance secondaire à une lésion intracrânienne, le patient doit être examiné régulièrement afin de détecter toute progression ou récurrence de la pathologie sous-jacente. Chez les patients ayant survécu à un cancer pendant l'enfance et traités par la somatropine, un risque accru d'apparition d'une nouvelle tumeur a été rapporté. Chez les patients dont la tumeur cérébrale initiale a été traitée par radiothérapie, les seconds néoplasmes les plus fréquents étaient des tumeurs intracrâniennes, en particulier des méningiomes.
Syndrome de Prader-Willi
NutropinAq n'est pas indiqué pour un traitement à long terme des enfants qui ont un déficit de croissance lié à un syndrome de Prader-Willi isolé, confirmé par un caryotype, sauf en cas d'un déficit en hormone de croissance associé. Des cas d'apnée du sommeil ou de mort subite ont été rapportés, après le début du traitement par hormone de croissance, chez des enfants ayant un syndrome de Prader-Willi qui présentaient un ou plusieurs facteurs de risque suivants : obésité sévère, antécédents d'obstruction des voies aériennes supérieures ou d'apnée du sommeil ou infection respiratoire d'origine non identifiée.
Etat critique aigu
Les
effets de l'hormone de croissance ont été étudiés au cours de deux
essais cliniques contrôlés versus placebo chez 522 patients adultes en
état critique à la suite de complications survenues après une
intervention chirurgicale à cœur ouvert ou de l'abdomen, de
polytraumatisme accidentel ou souffrant d'une insuffisance respiratoire
aiguë. La mortalité était plus élevée (41,9 % vs 19,3 %) chez
les patients traités par l'hormone de croissance (doses 5,3 mg à 8
mg/jour) par rapport aux patients auxquels on a administré un placebo.
Dans le cas de patients hospitalisés en unités de soins intensifs présentant un état critique aigu dû à des complications survenues à la suite d'une intervention chirurgicale à cœur ouvert ou de l'abdomen, de polytraumatisme accidentel ou d'une insuffisance respiratoire aiguë et recevant le traitement substitutif pour des indications approuvées, il n'a pas été établi que la poursuite du traitement par somatropine pouvait se faire sans risque. Par conséquent, il faut évaluer de manière aussi précise que possible le rapport bénéfice-risque quant à la poursuite du traitement.
Insuffisance rénale chronique
Les patients présentant un déficit en hormone de croissance consécutif à une insuffisance rénale chronique devront être examinés régulièrement pour surveiller les signes de progression d'une ostéodystrophie rénale. Une épiphysiolyse de la hanche ou une nécrose aseptique de la tête fémorale peuvent être observées chez les enfants atteints d'une ostéodystrophie rénale avancée et en cas de déficit en hormone de croissance, sans que l'effet du traitement par la GH sur la survenue de ces troubles ne soit connu.
Epiphysiolyse fémorale supérieure
Chez les patients présentant des troubles endocriniens, notamment un déficit en hormone de croissance, une épiphysiolyse de la hanche peut survenir plus fréquemment que dans la population générale. Tout patient traité par somatropine qui se met à boiter ou se plaint de douleurs à la hanche ou au genou doit être examiné par un médecin.
Scoliose
Une scoliose peut progresser chez les enfants au cours d'une croissance rapide. Les signes de scoliose doivent être surveillés au cours du traitement. Néanmoins, il n'a pas été démontré que le traitement par hormone de croissance augmentait l'incidence ou la sévérité de la scoliose.
Contrôle glycémique
La somatropine étant susceptible de réduire la sensibilité à l'insuline, les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe d'intolérance au glucose. Pour les patients diabétiques, il faut éventuellement adapter la dose d'insuline après la mise en route du traitement par NutropinAq. Les patients ayant un diabète ou une intolérance au glucose doivent faire l'objet d'une surveillance attentive pendant le traitement par somatropine. Le traitement par la somatropine n'est pas indiqué chez les patients diabétiques avec une rétinopathie proliférante active ou une rétinopathie non proliférante sévère.
Hypertension intracrânienne
Une hypertension intracrânienne accompagnée d'un œdème papillaire, de troubles visuels, de maux de tête, de nausées et/ou de vomissements a été observée chez un petit nombre de patients traités par somatropine. Les symptômes surviennent généralement au cours des huit premières semaines de traitement par NutropinAq. Dans tous les cas observés, les signes et les symptômes d'hypertension intracrânienne ont disparu après diminution de la dose de somatropine ou à l'arrêt du traitement. Un examen du fond de l'œil est recommandé au début du traitement puis à intervalles réguliers.
Hypothyroïdie
Au cours du traitement par somatropine, une hypothyroïdie peut se développer ; l'hypothyroïdie non traitée étant à son tour susceptible de compromettre la réponse optimale au traitement. Par conséquent, la fonction thyroïdienne des patients doit être contrôlée périodiquement et ils doivent être traités par hormones thyroïdiennes si cela s'avère nécessaire. Des patients souffrant d'une hypothyroïdie sévère doivent être traités de manière adéquate avant le début du traitement par NutropinAq.
Transplantation rénale
Le traitement par somatropine n'ayant pas fait l'objet d'études suffisantes après transplantation rénale, le traitement par NutropinAq doit être suspendu après cette intervention.
Utilisation de glucocorticoïdes
Un traitement associé avec des glucocorticoïdes peut inhiber les effets de NutropinAq sur la croissance. Chez les patients ayant un déficit en ACTH, il convient d'adapter attentivement le traitement de substitution par glucocorticoïdes afin d'éviter un effet inhibiteur sur la croissance. L'utilisation de NutropinAq chez les patients atteints d'une insuffisance rénale chronique et traités par des glucocorticoïdes n'a pas été évaluée.
Leucémie
Des cas de leucémie ont été rapportés chez un petit nombre de patients avec un déficit en hormone de croissance et traités par l'hormone de croissance. Un lien de causalité avec le traitement par la somatropine n'a pas été établi.
Pancréatite
Bien que rare, une pancréatite doit être envisagée chez les patients traités par la somatropine qui ont des douleurs abdominales, notamment chez les enfants.
Utilisation avec un traitement oestrogénique oral
Si une femme traitée par NutropinAq débute un traitement oestrogénique par voie orale, il peut être nécessaire d'augmenter la dose de NutropinAq pour maintenir les taux sériques d'IGF-1 dans l'intervalle normal pour l'âge. Inversement, si une femme sous NutropinAq interrompt un traitement oestrogénique oral, il se peut que la dose de NutropinAq doive être réduite pour éviter un excès d'hormone de croissance et/ou des effets indésirables (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Excipients
Ce médicament contient moins d'1 mmol de sodium (23 mg) par cartouche. Il est donc considéré
« sans sodium ».
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
Rémission d'une maladie maligne
Déficit somatotrope secondaire à une lésion intracrânienne
Facteurs de risque au cours du syndrome de Prader-Willi
Etat critique aigu
Insuffisance rénale chronique
Claudication
Douleur à la hanche
Douleur au genou
Scoliose
Surveillance glycémie
Diabète
Intolérance au glucose (dysglycémie)
Oedème papillaire
Troubles visuels
Céphalée
Nausées et/ou vomissements
Hypertension intracrânienne
Surveillance fonction thyroïdienne
Douleur abdominale
Allaitement
Patient âgé
Surcharge pondérale
Sujet de sexe féminin
La somatropine n'a pas d'effets connus sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Un nombre limité de données publiées indique que le traitement par l'hormone de croissance chez l'homme augmente la clairance de l'antipyrine par le cytochrome P450. Une surveillance est recommandée lorsque la somatropine est associée à des médicaments dont on sait qu'ils sont métabolisés par les enzymes hépatiques CYP450 comme les corticostéroïdes, les stéroïdes sexuels, les anticonvulsivants et la cyclosporine.
Le traitement par la somatropine peut révéler la présence jusque là inconnue d'une insuffisance surrénale (secondaire) centrale nécessitant un traitement substitutif par glucocorticoïdes. En outre, l'initiation du traitement par la somatropine des patients atteints d'insuffisance surrénale peut nécessiter une augmentation des doses d'entretien ou d'attaque du traitement substitutif par les glucocorticoïdes préalablement instauré (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Chez les patients diabétiques devant prendre un traitement médicamenteux, la dose d'insuline et/ou de médicament hypoglycémique peut nécessiter un ajustement au début du traitement par la somatropine (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Chez les femmes sous traitement oestrogénique substitutif par voie orale, une dose plus élevée d'hormone de croissance peut être nécessaire pour atteindre l'objectif du traitement (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
GENOTONORM_NORDITROPINE_NUTROPINAQ_UMATROPE_18092019_AVIS_CT17313&17110&17
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IPSEN PHARMA
65, Quai Georges Gorse
92100
BOULOGNE BILLANCOURT
Code UCD7 : 9266981
Code UCD13 : 3400892669816
Code CIS : 61968442
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : IPSEN PHARMA
Prix vente TTC : 644.99€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 644.99€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 19/03/2004
Rectificatif AMM : 02/03/2022
Marque : NUTROPINAQ
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400927419249
Référence LPPR : Aucune
NUTROPINAQ 10 mg/2 ml (30 UI), solution injectable, boîte de 1 cartouche de 2 ml
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