NUCTALON

Principes actifs : Estazolam

Les gammes de produits

NUCTALON 2 mg cp

Non remboursé

Sur prescription seulement

Insomnie occasionnelle
Insomnie transitoire

Forme :

 Comprimé

Catégories :

 Neurologie-psychiatrie, Hypnotiques, Benzodiazépines et apparentés, Benzodiazépines, Estazolam

Principes actifs :

 Estazolam

Posologie pour NUCTALON 2 mg cp

Indications

Insomnie occasionnelle, Insomnie transitoire

Posologie

Adulte de moins de 65 ans . Insomnie occasionnelle (implicite)
1 comprimé immédiatement avant le coucher à avaler avec un verre d'eau pendant 5 jours.

Adulte de moins de 65 ans . Insomnie transitoire
1 comprimé immédiatement avant le coucher à avaler avec un verre d'eau pendant 3 semaines.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

CONTACTER le plus rapidement possible un médecin si une ou plusieurs de ces réactions surviennent :
- Persistance de l'insomnie.
- Troubles de la mémoire ou altérations des fonctions psychomotrices susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise du médicament.
- Réactions contraires à l'effet recherché: insomnie, cauchemars, agitation, nervosité, euphorie ou irritabilité, tension, modifications de la conscience, voire des comportements potentiellement dangereux (agressivité envers soi-même ou son entourage, ainsi que des troubles du comportement et des actes automatiques).

EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
Ce médicament a une influence importante sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines (risque de somnolence possible).


Contre-indications pour NUCTALON 2 mg cp

  • Insuffisance respiratoire sévère
  • Syndrome d'apnée du sommeil (SAOS)
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Myasthénie
  • Patient de moins de 6 ans
  • Intolérance au lactose
  • Enfant de 6 à 15 ans
  • Grossesse
  • Allaitement
  • Consommation d'alcool
  • Sujet âgé
  • Insuffisant rénal
  • Insuffisant hépatique léger à modéré

Effets indésirables pour NUCTALON 2 mg cp

Niveau d’apparition des effets indésirables

Inconnu

Agitation

Agressivité

Asthénie

Céphalée

Constipation

Convulsions

Insomnie

Irritabilité

Eruption cutanée

Cauchemars

Amnésie antérograde

Diplopie

Idée délirante

Confusion

Ataxie

Hypotonie musculaire

Modification de la libido

Réaction paradoxale aux benzodiazépines

Sécheresse buccale

Somnolence

Sensation ébrieuse

Syndrome de sevrage

Dépersonnalisation

Euphorie

Dépendance psychique

Dépendance physique

Eruption prurigineuse

Etat confuso-onirique

Nausée

Phénomène hallucinatoire

Modification de la conscience

Baisse de vigilance

Déréalisation

Symptômes psychotiques

Paresthésie des extrémités

Syndrome de rebond à l'arrêt du traitement

Tension nerveuse

Comportement anormal

Trouble du comportement

Auto-agression

Désinhibition

Aggravation d'insomnie

Abus médicamenteux

Hyper-réactivité à la lumière, au bruit et au contact physique

Impulsivité

Suggestibilité

Conduite automatique avec amnésie post-événementielle


Ils sont en rapport avec la dose ingérée et la sensibilité individuelle du patient.

Affections gastro-intestinales

·         Nausée, sécheresse buccale et constipation

Affections psychiatriques et du système nerveux (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

·         amnésie antérograde, qui peut survenir aux doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose,

·         troubles du comportement et réactions paradoxales, modifications de la conscience, irritabilité, agressivité, agitation,

·         dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement,

·         sensations ébrieuses, céphalées, ataxie,

·         confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez le sujet âgé), insomnie, cauchemars, tension,

·         modifications de la libido.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

·         éruptions cutanées, prurigineuses ou non.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

·         hypotonie musculaire, asthénie

Affections oculaires

·         Diplopie

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le NUCTALON 2 mg cp

Grossesse

De nombreuses données issues d'études de cohorte n'ont pas mis en évidence la survenue d'effets malformatifs lors d'une exposition aux benzodiazépines au cours du 1° trimestre de la grossesse. Cependant, dans certaines études épidémiologiques cas-témoins, une augmentation de la survenue de fentes labio-palatines a été observée avec les benzodiazépines. Selon ces données, l'incidence des fentes labio-palatines chez les nouveau-nés serait inférieure à 2/1000 après exposition aux benzodiazépines au cours de la grossesse alors que le taux attendu dans la population générale est de 1/1000. 

En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2° et/ou 3° trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et une variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits. Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépines même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une faible prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néo-natal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue.

Compte tenu de ces données, par mesure de prudence, l'utilisation de l'estazolam est déconseillée au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme.

En cas de prescription de l'estazolam à une femme en âge de procréer, celle-ci devrait être avertie de la nécessité de contacter son médecin si une grossesse est envisagée ou débutée afin qu'il réévalue l'intérêt du traitement.

En fin de grossesse, s'il s'avère réellement nécessaire d'instaurer un traitement par estazolam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.

Allaitement

L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée.


Mise en garde pour NUCTALON 2 mg cp

Mise en garde

Mises en garde

Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE :

L'effet sédatif ou hypnotique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines.

DEPENDANCE :

Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.

Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

·         durée du traitement,

·         dose,

·         antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.

Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.

Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage.

Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.

D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.

Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises.

L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance.

Des cas d'abus ont également été rapportés.

PHENOMENE DE REBOND :

Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'insomnie qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.

AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES :

Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise.

Pour diminuer ces risques, il est conseillé de prendre le médicament immédiatement avant le coucher (voir rubrique Posologie et mode d'administration) et de se mettre dans les conditions les plus favorables pour une durée de sommeil ininterrompue de plusieurs heures.

TROUBLES DU COMPORTEMENT ET REACTIONS PARADOXALES :

Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :

Peuvent être observés :

·         aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité,

·         idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique,

·         désinhibition avec impulsivité,

·         euphorie, irritabilité,

·         amnésie antérograde,

·         suggestibilité.

Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :

·         comportement inhabituel pour le patient,

·         comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient,

·         conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.

·         Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.

USAGE CONCOMITANT DES BENZODIAZEPINES ET DES OPIOÏDES :

L'utilisation concomitante de NUCTALON et d'opioïdes peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et la mort. En raison de ces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou autres médicaments apparentés avec des opioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels il n'existe pas d'alternative thérapeutique. Si la décision de prescrire NUCTALON avec des opioïdes est prise, la dose efficace la plus faible doit être utilisée et la durée du traitement doit être aussi courte que possible (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue de signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. A cet égard, il est fortement recommandé d'informer les patients et leurs soignants (le cas échéant) afin qu'ils connaissent ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

RISQUE D'ACCUMULATION :

Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques).

Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament.

Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

SUJET AGE :

Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d'effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population.

Précautions particulières d'emploi

La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolisme ou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Une insomnie peut révéler un trouble physique ou psychiatrique sous-jacent. La persistance ou l'aggravation de l'insomnie après une période courte de traitement rend nécessaire une réévaluation du diagnostic clinique.

DUREE DE TRAITEMENT :

Elle doit être clairement énoncée au patient, en fonction du type de l'insomnie (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR :

Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.

MODALITES D'ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT :

Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.

Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin de minimiser l'insomnie qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.

Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.

POPULATION PEDIATRIQUE :

Plus encore que chez l'adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible. Aucune étude clinique n'a été conduite chez l'enfant avec l'estazolam.

SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU INSUFFISANT HEPATIQUE:

Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Cette présentation n'est pas adaptée à l'utilisation dans ces populations particulières.

INSUFFISANT RESPIRATOIRE :

Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété et l'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).

Précautions d'emploi

Antécédent de dépendance alcoolique

Antécédent de dépendance

Syndrome de rebond à l'arrêt du traitement

Comportement anormal

Auto-agression

Comportement agressif

Conduite automatique avec amnésie post-événementielle

Aggravation de l'insomnie

Episode dépressif majeur

Insuffisant respiratoire

Nouveau-né de mère traitée

Patiente en âge de procréer

Aptitude à conduire

Estazolam a une influence importante sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines (voir rubrique Effets indésirables)

Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence.

L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines. L'association avec l'alcool est déconseillée en raison de la potentialisation des effets sédatifs par l'alcool (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru.

Interaction avec d'autre médicaments

Associations déconseillées

+ Alcool (boisson ou excipient)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines et apparentés.

L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Oxybate de sodium

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

Associations à prendre en compte

+ Autres médicaments sédatifs : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution); antipsychotiques; barbituriques; anxiolytiques; autres hypnotiques; antidépresseurs sédatifs; antihistaminiques H1 sédatifs; antihypertenseurs centraux; baclofène; thalidomide, pizotifène.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Barbituriques

Risque majoré de sédation et de dépression respiratoire pouvant entraîner coma et décès, notamment chez le sujet âgé. Il convient de limiter autant que possible les doses et la durée de l'association.

+ Buprénorphine

Avec la buprénorphine utilisée en traitement de substitution : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.

Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.

+ Opioïdes

L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou autres médicaments apparentés augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de mort en raison d'un effet dépresseur additif sur le système nerveux central. La dose et la durée de l'utilisation concomitante doivent être limitées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

+ Clozapine

Risque accru de collapsus avec arrêt respiratoire et / ou cardiaque.


Informations complémentaires pour NUCTALON 2 mg cp

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Excipients

Lactose monohydraté, Amidon de maïs, Hydroxypropylcellulose, Magnésium stéarate

Exploitant / Distributeur

CHEPLAPHARM France

68 rue Marjolin

92300

Levallois-Perret

Code UCD7 : 9064154

Code UCD13 : 3400890641548

Code CIS : 69888457

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : CHEPLAPHARM ARZNEIMITTEL

Laboratoire exploitant : CHEPLAPHARM France

Prix vente TTC : 1.81€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 1.81€

Taux SS : 15%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH2

Date AMM : 19/12/1977

Rectificatif AMM : 28/06/2024

Marque : NUCTALON

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400932179060

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

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