NICORETTE
Les gammes de produits
Remboursable
Disponible en vente libre
Forme :
Solution pour pulvérisation buccale
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Etats de dépendance, Désintoxication tabagique, Nicotine
Principes actifs :
Nicotine
Dépendance tabagique
Adulte de plus de 18 ans . Traitement de la semaine 1 à la semaine 6. Dépendance tabagique. Voie buccale (implicite)
2 pulvérisations 2 fois par heure. Maximum 64 pulvérisations par jour.
Réduire progressivement la dose journalière.
Adulte de plus de 18 ans . Traitement de la semaine 7 à la semaine 9. Dépendance tabagique. Voie buccale
2 pulvérisations par heure.
Réduire progressivement la dose journalière.
Adulte de plus de 18 ans . Traitement de la semaine 10 à la semaine 12. Dépendance tabagique. Voie buccale
4 pulvérisations par jour. Maximum 4 pulvérisations par jour.
Réduire progressivement la dose journalière.
Voie buccale
ARRETER LE
TRAITEMENT et CONSULTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de :
- Gonflement du
visage, de la langue ou du pharynx.
- Difficulté à avaler ou à respirer.
-
Urticaire.
DEMANDER CONSEIL AU MEDECIN si la réduction du nombre de
pulvérisations ou la consommation de cigarette après 6 semaines de traitement
n'a pas réussi à être atteinte, ou s'il y a besoin d'utiliser le traitement
pendant plus de 6 mois.
ALLAITEMENT: Si la femme allaitante ne réussit pas à arrêter de fumer, elle peut utiliser le spray, mais uniquement après avoir pris conseil auprès d'un professionnel de santé. Dans ce cas, prendre le produit juste après la tétée et laisser s'écouler le plus de temps possible (un intervalle de 2 heures est suggéré) entre une pulvérisation buccale et la tétée suivante.
Diarrhée
Douleur abdominale
Dyspepsie
Fatigue
Flatulence
Stomatite
Dysgueusie
Paresthésie
Sensation de brûlure
Sécheresse de la bouche
Hypersensibilité
Vomissement
Hypersécrétion salivaire
Asthénie
Bouffée de chaleur
Congestion nasale
Douleur thoracique
Dysphonie
Fibrillation auriculaire
Glossite
Hyperhidrose
Hypertension artérielle
Palpitation
Tachycardie
Urticaire
Bronchospasme
Dyspnée
Eructation
Rhinorrhée
Malaise
Rêves anormaux
Eternuements
Prurit cutané
Rash cutané
Gêne thoracique
Saignement gingival
Bulles au niveau de la langue
Douleur oropharyngée
Gorge serrée
Paresthésies au niveau des tissus mous de la cavité buccale
Exfoliation de la muqueuse buccale
Dysphagie
Haut-le-coeur
Hypoesthésie orale
Agitation
Anxiété
Aphte buccal
Constipation
Convulsions
Erythème
Insomnie
Irritabilité
Irritation cutanée
Oedème de Quincke
Prise de poids
Rhinopharyngite
Toux
Urticaire allergique
Colère
Etourdissement
Anaphylaxie
Augmentation de l'appétit
Présyncope
Réaction allergique
Gêne gastro-intestinale
Vision floue
Humeur dépressive
Dysphorie
Irritation de la bouche
Concentration altérée
Sécheresse de la gorge
Impatience
Douleur labiale
Larmoiement accru
Baisse de la fréquence cardiaque
Frustration
Effets de l'arrêt du tabac
Différents symptômes sont associés aux modifications des habitudes de consommation de tabac, et ce quels que soient les moyens de sevrage utilisés. Il peut s'agir d'effets émotionnels ou cognitifs tels que dysphorie ou humeur dépressive ; insomnie ; irritabilité, frustration ou colère ; anxiété ; problèmes de concentration ; agitation ou impatience. Il peut également s'agir d'effets physiques tels qu'une baisse de la fréquence cardiaque ; augmentation de l'appétit ou prise de poids ; étourdissements ou symptômes de présyncope ; toux ; constipation ; saignements gingivaux ou aphtes ; ou rhinopharyngite. De plus, et cela est cliniquement significatif, le besoin de nicotine peut entraîner des envies irrésistibles de fumer.
NICORETTESPRAY peut entraîner des effets indésirables similaires à ceux associés à la nicotine prise par d'autres moyens, et ces effets sont principalement dose-dépendants. Des réactions allergiques de type œdème de Quincke, urticaire ou anaphylaxie peuvent apparaître chez les personnes qui y sont sujettes.
Les effets indésirables localisés au niveau de la zone d'administration sont similaires à ceux observés avec les autres formes d'administration orale. Au cours des premiers jours du traitement, une irritation de la bouche et de la gorge peut apparaître, et les hoquets sont particulièrement fréquents. La tolérance est normale lorsque l'utilisation se prolonge.
Les données recueillies quotidiennement sur des sujets ayant participé à des essais cliniques indiquent que très souvent, les effets indésirables apparaissent durant les 2 à 3 premières semaines du traitement par le pulvérisateur buccal, avant de s'atténuer.
Les effets indésirables associés aux formulations nicotiniques buccales, identifiés dans le cadre des essais cliniques et après la mise sur le marché sont présentés ci-après. La catégorie de fréquence a été estimée d'après les essais cliniques pour les effets indésirables identifiés après la mise sur le marché.
Très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :
* Des cas de convulsions ont été rapportés chez des sujets prenant un traitement anticonvulsivant ou ayant des antécédents d'épilepsie.Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.
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Femmes en âge de procréer/contraception masculine et féminine
Contrairement aux effets néfastes bien connus du tabagisme sur la conception et la grossesse chez l'être humain, les effets de l'usage thérapeutique de la nicotine sont inconnus. Par conséquent, bien qu'à ce jour, aucune recommandation spécifique relative à la nécessité d'une contraception féminine n'ait été jugée nécessaire, la conduite à tenir la plus prudente pour les femmes envisageant une grossesse est à la fois de ne pas fumer et de ne pas utiliser de TSN.
Bien que le tabagisme puisse avoir des effets néfastes sur la fertilité masculine, aucune preuve ne montre la nécessité de mesures de contraception particulières au cours d'un TSN chez l'homme.
Grossesse
Fumer pendant la grossesse entraîne des risques tels que le retard de croissance intra-utérin, l'accouchement prématuré ou une mortinatalité. L'arrêt du tabac est l'action la plus efficace pour améliorer la santé de la femme enceinte qui fume et de son bébé. Plus l'abstinence est précoce, plus les effets sont bénéfiques.
La nicotine passe dans le fœtus et affecte ses mouvements respiratoires et sa circulation. L'effet sur la circulation est dose-dépendant.
Par conséquent, il est systématiquement recommandé à la femme enceinte qui fume d'arrêter complètement toute consommation de tabac sans thérapie de remplacement de la nicotine. Continuer à fumer pourrait entraîner un risque plus grand pour le fœtus que l'utilisation des produits de remplacement de la nicotine au sein d'un programme d'arrêt du tabac encadré. L'utilisation de NICORETTESPRAY par la femme enceinte ne peut être mise en place qu'après conseil auprès d'un professionnel de la santé.
Allaitement
La nicotine passe dans le lait maternel dans des quantités qui peuvent affecter l'enfant, même à des doses thérapeutiques. Par conséquent, éviter d'utiliser NICORETTESPRAY pendant l'allaitement. Si elle ne réussit pas à arrêter de fumer, la femme allaitante peut utiliser NICORETTESPRAY, mais uniquement après avoir pris conseil auprès d'un professionnel de santé. Dans ce cas, prendre le produit juste après la tétée et laisser s'écouler le plus de temps possible (un intervalle de 2 heures est suggéré) entre une pulvérisation buccale et la tétée suivante.
Fertilité
Fumer augmente le risque d'infertilité chez la femme et chez l'homme.
Les études in vitro montrent que la nicotine peut avoir un effet défavorable sur la qualité des spermatozoïdes. Chez les rats l'altération de la qualité des spermatozoïdes et la réduction de la fertilité ont été démontrées.
NICORETTESPRAY ne doit pas être utilisé par les non-fumeurs.
Les bénéfices de l'arrêt du tabac sont plus importants que les risques associés à l'usage correct du traitement de substitution nicotinique (TSN).
Une évaluation du rapport bénéfice/risque doit être faite par un professionnel de la santé qualifié pour les patients présentant les pathologies suivantes :
Population pédiatrique
Danger pour les enfants : les doses de nicotine tolérées par les fumeurs peuvent provoquer une intoxication sévère, voire mortelle, chez les enfants. Ne pas laisser les produits contenant de la nicotine à un endroit où ils pourraient être manipulés ou ingérés par des enfants (voir rubrique Surdosage).
Transfert de dépendance : un transfert de dépendance peut apparaître, mais à la fois moins nocif et plus facile à combattre que la dépendance au tabac.
Arrêt du tabac : les hydrocarbures aromatiques polycycliques présents dans la fumée du tabac provoquent le métabolisme des médicaments métabolisés par le CYP 1A2 (et éventuellement par le CYP 1A1). L'arrêt du tabac peut provoquer le ralentissement du métabolisme de ces médicaments, et par conséquent une augmentation de leur concentration dans le sang. Cela peut avoir une importance clinique pour les produits dont la marge thérapeutique est étroite, par exemple la théophylline, la tacrine, la clozapine et le ropinirole.
Les concentrations plasmatiques d'autres médicaments métabolisés en partie par le CYP1A2, par exemple l'imipramine, l'olanzapine, la clomipramine et la fluvoxamine, peuvent également augmenter lors de l'arrêt du tabac, mais il y a un manque de données à ce sujet et la signification clinique éventuelle de cet effet pour ces médicaments est inconnue. Les données limitées disponibles indiquent que le métabolisme de la flécaïnide et de la pentazocine pourrait également être induit par la consommation de tabac.
Excipients :
Ce médicament contient 7 mg d'alcool (éthanol) par pulvérisation équivalent à 97 mg/ml. La quantité en une pulvérisation de ce médicament équivaut à moins de 2 ml de bière ou 1 ml de vin. La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'entraîner d'effet notable. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par pulvérisation, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ». Ce médicament contient 11 mg de propylène glycol par pulvérisation équivalent à 150 mg/ml. En raison de la présence de butylhydroxytoluène, NICORETTESPRAY peut provoquer des réactions cutanées locales (par exemple dermatite de contact), ou une irritation des yeux et des muqueuses
Ne pas vaporiser le contenu du pulvérisateur buccal dans les yeux.
Infarctus récent du myocarde
Aggravation d'angor
Arythmie cardiaque sévère
Accident vasculaire cérébral
Hypertension non stabilisée
Diabétique
Terrain allergique
Insuffisance hépatique modérée à sévère
Insuffisance rénale sévère
Hyperthyroïdie non contrôlée
Phéochromocytome
Oesophagite
Ulcère gastrique
Ulcère peptique
Antécédent de convulsion
Grossesse
Femme envisageant une grossesse
NICORETTESPRAY n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Aucune interaction cliniquement significative n'a été établie avec certitude entre la thérapie de substitution nicotinique et les autres médicaments. Cependant, la nicotine pourrait augmenter les effets hémodynamiques de l'adénosine, à savoir augmentation de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque, et également augmenter la réaction douloureuse (douleur thoracique de type angine de poitrine) provoquée par l'administration d'adénosine, (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, Arrêt du tabac).
NICORETTESPRAY_12032025_AVIS_CT21239
Télécharger le documentNICORETTESPRAY_04122019_AVIS_CT18107
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentTraitements de substitution nicotinique : Point d'étape sur leur utilisation chez les femmes enceintes.
Télécharger le documentPropylène glycol, Ethanol, Trométamol, Poloxamère, Glycérol, Sodium bicarbonate, Lévomenthol, Arôme menthe, Arôme, Sucralose, Acésulfame potassique, Butylhydroxytoluène, Chlorhydrique acide, Eau purifiée
KENVUE FRANCE
41 Rue Camille Desmoulins
92130
Issy-les-Moulineaux
Code UCD7 : 9393403
Code UCD13 : 3400893934036
Code CIS : 69546553
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : KENVUE FRANCE
Laboratoire exploitant : KENVUE FRANCE
Prix vente TTC : 17.55€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 17.55€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 10/12/2012
Rectificatif AMM : 05/08/2025
Marque : NICORETTE
Gamme : Nicorettespray
Code GTIN13 : 3400922410678
Référence LPPR : Aucune
NICORETTESPRAY 1 mg/dose, solution pour pulvérisation buccale, boîte de 1 flacon avec pompe pulvérisateur + NFC de 13,20 ml
NICORETTESPRAY 1 mg/dose, solution pour pulvérisation buccale, boîte de 1 flacon avec pompe pulvérisatrice de 13,20 ml
NICORETTESPRAY 1 mg/dose, solution pour pulvérisation buccale, boîte de 2 flacons avec pompe pulvératrice + NFC de 13,20 ml
NICORETTESPRAY FRUITS ROUGES 1 mg/dose, solution pour pulvérisation buccale, boîte de 1 flacon avec pompe pulvérisatrice de 13,20 ml
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