METOPROLOL
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Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé sécable
Catégories :
Cardiologie et angéiologie, Antihypertenseurs, Bêtabloquants, Bêtabloquants sélectifs, Métoprolol tartrate, Cardiologie et angéiologie, Traitement de l'insuffisance coronarienne, Bêtabloquants, Bêtabloquants sélectifs, Métoprolol tartrate, Cardiologie et angéiologie, Anti-arythmiques, Anti-arythmiques-Groupe II : Bêtabloquants, Bêtabloquants sélectifs, Métoprolol tartrate, Neurologie-psychiatrie, Antimigraineux, Traitement préventif de la migraine, Bêtabloquants, Métoprolol tartrate
Principes actifs :
Tartrate de métoprolol
Hypertension artérielle, Angor, Prévention secondaire de récidive après un infarctus aigu du myocarde, Arythmie cardiaque, Thyrotoxicose, Palpitation, Migraine
Adulte . Traitement avec schéma posologique alternatif 2. Hypertension artérielle
200 mg par jour le matin à jeun.
ou 2 comprimés par jour le matin à jeun.
Adulte . Prévention secondaire de récidive après un infarctus aigu du myocarde
100 mg matin et soir à prendre sur un estomac vide.
ou 1 comprimé matin et soir à prendre sur un estomac vide.
Adulte . Fréquence cardiaque > 75 battements/minute. Traitement après 3 à 4 jours de traitement à la dose initiale. Thyrotoxicose
100 mg 4 fois par jour à prendre sur un estomac vide.
ou 1 comprimé 4 fois par jour à prendre sur un estomac vide.
Adulte . Palpitation
100 mg en prise unique à prendre sur un estomac vide.
ou 1 comprimé en prise unique à prendre sur un estomac vide.
Adulte . Traitement prophylactique. Migraine
200 mg par jour à prendre sur un estomac vide.
ou 2 comprimés par jour à prendre sur un estomac vide.
A répartir en deux prises.
Adulte . Arythmie cardiaque
200 mg par jour à prendre sur un estomac vide.
ou 2 comprimés par jour à prendre sur un estomac vide.
A répartir en 2 ou 3 prises.
Adulte . Traitement adjuvant : dose initiale. Thyrotoxicose
50 mg 4 fois par jour à prendre sur un estomac vide.
ou ½ comprimé 4 fois par jour à prendre sur un estomac vide.
Adulte . Traitement après traitement aigu par voie parentérale. Infarctus du myocarde
50 mg tous les 6 heures à prendre sur un estomac vide pendant 2 jours.
ou ½ comprimé tous les 6 heures à prendre sur un estomac vide pendant 2 jours.
Adulte . Angor
200 mg par jour à prendre sur un estomac vide.
ou 2 comprimés par jour à prendre sur un estomac vide.
A répartir en deux prises.
Adulte . Traitement avec schéma posologique alternatif 1. Hypertension artérielle (implicite)
200 mg par jour à prendre sur un estomac vide.
ou 2 comprimés par jour à prendre sur un estomac vide.
A répartir en une ou deux prises par jour.
Voie orale
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (vertiges, sensation de fatigue).
NE JAMAIS INTERROMPRE le traitement sans avis médical.
PREVENIR L'ANESTHESISTE en cas d'intervention chirurgicale programmée.
EVITER la prise concomitante d'alcool car risque d'exacerbation de la pathologie.SPORTIFS : substance dopante.
Bradycardie
Céphalée
Constipation
Diarrhée
Douleur abdominale
Palpitation
Vertige
Nausée
Dyspnée d'effort
Froideur des extrémités
Choc cardiogénique
Douleur thoracique
Oedème
Prise de poids
Dépression
Bronchospasme
Cauchemars
Vomissement
Trouble du sommeil
Aggravation de l'insuffisance cardiaque
Réaction cutanée d'hypersensibilité
Alopécie
Anxiété
Hyperhidrose
Irritation oculaire
Nervosité
Sécheresse oculaire
Thrombopénie
Elévation des transaminases
Syncope
Confusion
Paresthésie
Trouble de la mémoire
Intensification d'un bloc auriculoventriculaire
Photosensibilité
Troubles de la libido
Altération du goût
Arythmie cardiaque
Trouble visuel
Aggravation d'un psoriasis
Acouphène
Hallucination
Conjonctivite
Crampe musculaire
Hépatite
Rhinite
Arthralgie
Sécheresse buccale
Troubles de la concentration
Gangrène
Des effets indésirables, généralement liés à la dose, apparaissent chez environ 10 % des patients.
Les effets indésirables liés à toute utilisation du métoprolol sont listés ci-dessous et sont classés par classes de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 à ≤ 1/100), rare (≥ 1/10 000 à ≤ 1/1 000), très rare (≤ 1/10 000) et fréquence indéterminée (impossible à estimer à partir des données disponibles).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La
déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du
médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du
rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé
déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de
déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des
produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de
Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/
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Grossesse
Le métoprolol ne doit être administré pendant la grossesse ou l'allaitement qu'en cas de nécessité absolue. En général, les bêtabloquants réduisent la perfusion placentaire, ce qui est associé à des retards de croissance, des morts foetales in utero, des avortements spontanés et des naissances prématurées. Une surveillance appropriée de la mère ainsi que du foetus est par conséquent recommandée en cas d'utilisation de métoprolol chez la femme enceinte. Les bêtabloquants sont susceptibles d'entraîner une bradycardie chez le foetus et le nouveau-né. Ainsi, les recommandations ci-dessus doivent être prises en compte au cours du dernier trimestre et au moment de la naissance lors de la prescription de ces médicaments. Le traitement par métoprolol doit être interrompu progressivement 48 à 72 heures avant la date estimée de la naissance. Si cela n'est pas possible, le nouveau-né doit faire l'objet d'une surveillance pendant les 48 à 72 premières heures du post-partum à la recherche de signes et symptômes de blocage des bêtarécepteurs (p. ex. complications cardiaques et pulmonaires).
Allaitement
Le métoprolol se concentre dans le lait maternel dans des quantités environ trois fois supérieures à celles retrouvées dans le plasma de la mère. Après administration de doses thérapeutiques du médicament, le risque d'effets indésirables chez le nourrisson allaité semble faible. Cependant, le nourrisson allaité doit faire l'objet d'une surveillance à la recherche des signes de blocage des bêtarécepteurs.
Le vérapamil ne doit pas être administré par voie intraveineuse aux patients traités par bêtabloquants.
Le métoprolol peut exacerber les symptômes d'une maladie vasculaire périphérique (p. ex. claudication intermittente).
Altération sévère de la fonction rénale. Pathologie sévère et aiguë impliquant une acidose métabolique. Association thérapeutique comprenant un digitalique.
Le métoprolol ne doit pas être administré aux patients présentant une insuffisance cardiaque latente ou manifeste, à moins que ces patients ne bénéficient d'un traitement concomitant pour cette pathologie. Chez les patients souffrant d'un angor de Prinzmetal, le nombre et la durée des crises d'angor peuvent être majorés en raison de la vasoconstriction coronarienne médiée par les récepteurs alpha. Par conséquent, les bêtabloquants non sélectifs ne doivent pas être utilisés chez ces patients. Les bêtabloquants bêta-1 sélectifs doivent être utilisés avec prudence.
Un traitement bronchodilatateur adéquat doit être administré de manière concomitante en présence d'un asthme bronchique ou d'une autre pneumopathie chronique obstructive. Il peut être nécessaire d'augmenter la dose de bêta-2 stimulant.
Le traitement par métoprolol peut influer sur le métabolisme des glucides ou masquer une hypoglycémie, mais ce risque est plus faible qu'avec les bêtabloquants non sélectifs.
De manière occasionnelle, une perturbation modérée préexistante du temps de conduction auriculoventriculaire peut être exacerbée (avec pour conséquence possible un bloc auriculoventriculaire).
Les bêtabloquants peuvent compliquer le traitement d'une réaction anaphylactique. Le traitement par adrénaline à la dose normale ne produit pas toujours l'effet thérapeutique attendu. Si du métoprolol est administré à un patient présentant un phéochromocytome, un traitement par alphabloquant doit être envisagé.
Toute interruption du traitement par métoprolol doit, si possible, s'effectuer de manière progressive sur une période de 2 semaines. La dose doit être diminuée de manière progressive jusqu'à atteindre la dose la plus faible, qui est de 25 mg (soit la moitié d'un comprimé de 50 mg). Tout au long de cette période, les patients présentant une cardiopathie ischémique connue doivent faire l'objet d'une surveillance étroite. Le risque d'événements coronariens, notamment de mort subite, peut être élevé lors de l'arrêt d'un traitement par bêtabloquant.
Avant toute intervention chirurgicale, il est nécessaire d'informer l'anesthésiste que le patient bénéficie d'un traitement par métoprolol. Il est déconseillé d'interrompre le traitement par bêtabloquant chez les patients subissant une intervention chirurgicale. L'instauration en urgence d'un traitement par métoprolol à haute dose chez les patients subissant une intervention chirurgicale non cardiaque doit être évitée. En effet, cela a été associé à un risque de bradycardie, d'hypotension et d'accident vasculaire cérébral, avec notamment une issue fatale chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire.
METOPROLOL ARROW LAB 100 mg, comprimé pelliculé sécable contient du sodium
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé sécable, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Aggravation d'une claudication intermittente
Acidose métabolique
Asthme bronchique
Pneumopathie chronique obstructive
Diabète
Réaction anaphylactique
Phéochromocytome
Cardiopathie ischémique
Intervention chirurgicale
Facteurs de risque cardiovasculaire
Altération de la fonction rénale
Altération sévère de la fonction hépatique
Puisque des vertiges et une fatigue sont susceptibles de survenir lors du traitement par métoprolol, cela doit être pris en compte lors de la réalisation de tâches nécessitant une grande concentration, telles que la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Le métoprolol est un substrat du CYP2D6. Les médicaments inhibant le CYP2D6 peuvent avoir un impact sur la concentration plasmatique en métoprolol. La quinidine, la terbinafine, la paroxétine, la fluoxétine, la sertraline, le célécoxib, la propafénone et la diphénhydramine constituent des exemples d'inhibiteurs du CYP2D6. Lors de la mise en place d'un traitement par l'un de ces médicaments chez des patients traités par métoprolol, il peut être nécessaire de réduire la dose de métoprolol.
Associations avec le métoprolol à éviter
Dérivés de l'acide barbiturique : les barbituriques (études réalisées avec le pentobarbital) induisent le métabolisme du métoprolol dans une mesure négligeable par induction enzymatique.
Propafénone : lors de l'instauration d'un traitement par propafénone chez quatre patients déjà traités par métoprolol, les concentrations plasmatiques en métoprolol ont été multipliées par deux à cinq, et deux patients ont présenté des effets indésirables typiques du métoprolol. Cette interaction a été confirmée dans une étude impliquant huit sujets sains. Elle est probablement due au fait que la propafénone, comme la quinidine, inhibe le métabolisme du métoprolol par l'intermédiaire du cytochrome P450 2D6. Cette association est probablement difficile à gérer en raison du fait que la propafénone dispose également de propriétés bêtabloquantes.
Vérapamil : en association avec des bêtabloquants, le vérapamil peut entraîner une bradycardie et une hypotension (phénomène décrit pour l'aténolol, le propranolol et le pindolol). Le vérapamil et les bêtabloquants présentent des propriétés inhibitrices sur la conduction auriculoventriculaire et le fonctionnement du noeud sinusal qui s'additionnent.
Associations avec le métoprolol susceptibles de nécessiter un ajustement posologique
Amiodarone : un rapport de cas indique que les patients traités par amiodarone peuvent développer une bradycardie sinusale sévère en cas de traitement concomitant par métoprolol. L'amiodarone dispose d'une demi-vie extrêmement longue (environ 50 jours), ce qui signifie que des interactions peuvent se produire longtemps après l'arrêt de ce médicament.
Antiarythmiques de classe I : les antiarythmiques de classe I et les bêtabloquants présentent des effets inotropes négatifs qui s'additionnent et sont susceptibles d'entraîner des réactions indésirables hémodynamiques graves chez les patients présentant une altération de la fonction ventriculaire gauche. Cette association doit également être évitée en cas de « maladie du noeud sinusal » et de conduction AV pathologique. C'est avec le disopyramide que cette interaction est la mieux décrite.
Anti-inflammatoires non stéroïdiens/antirhumatismaux (AINS) : les anti-inflammatoires du type AINS contrent l'effet antihypertenseur des bêtabloquants. Des études ont principalement été réalisées avec l'indométacine. On pense que cette interaction ne se produit pas avec le sulindac. Il n'a pas été possible de mettre en évidence une telle interaction dans une étude portant sur le diclofénac.
Diphénhydramine : la diphénhydramine divise (par 2,5) la clairance du métoprolol en alpha-hydroxymétoprolol via le CYP2D6 chez les patients présentant une hydroxylation rapide. En même temps, les effets du métoprolol sont majorés.
Digitaliques : les digitaliques en association avec les bêtabloquants peuvent augmenter le temps de conduction auriculoventriculaire et provoquer une bradycardie.
Diltiazem : le diltiazem et les bêtabloquants présentent des propriétés inhibitrices sur la conduction auriculoventriculaire et le fonctionnement du noeud sinusal qui s'additionnent. Des cas de bradycardie importante (rapports de cas) ont été observés lors de l'association de métoprolol et de diltiazem.
Adrénaline : il existe une dizaine de rapports de cas portant sur l'hypertension artérielle sévère et la bradycardie chez des patients traités avec des bêtabloquants non sélectifs (notamment pindolol et propranolol) et ayant reçu de l'adrénaline. Ces observations cliniques ont été confirmées dans des études menées sur des sujets sains. Il a également été suggéré que l'adrénaline, utilisée en complément d'anesthésiques locaux, pouvait entraîner ces réactions en cas d'administration intravasculaire. Ce risque devrait être considérablement plus faible avec les bêtabloquants cardiosélectifs.
Phénylpropanolamine : la phénylpropanolamine (noréphédrine) administrée sous forme de doses uniques de 50 mg est susceptible d'augmenter la pression artérielle diastolique jusqu'à des niveaux pathologiques chez les sujets sains. Le propranolol contre généralement l'augmentation de la pression artérielle engendrée par la phénylpropanolamine. Cependant, les bêtabloquants peuvent déclencher des réactions hypertensives paradoxales chez les patients prenant de fortes doses de phénylpropanolamine. Quelques cas de crises hypertensives survenant au cours d'un traitement par phénylpropanolamine en monothérapie ont été décrits.
Quinidine : la quinidine inhibe le métabolisme du métoprolol chez les patients présentant une hydroxylation rapide (un peu plus de 90 % de la population suédoise), ce qui entraîne une augmentation brutale des concentrations plasmatiques et une majoration du blocage des bêtarécepteurs. Une interaction similaire est susceptible de se produire avec d'autres bêtabloquants métabolisés par la même enzyme (cytochrome P450 2 D6).
Clonidine : la réaction hypertensive observée lors de l'arrêt brutal de la clonidine peut être favorisée par les bêtabloquants. Si un traitement combiné comprenant de la clonidine doit être interrompu, la prise du bêtabloquant doit être arrêtée plusieurs jours avant celle de la clonidine.
Rifampicine : la rifampicine peut induire le métabolisme du métoprolol, entraînant une réduction des concentrations plasmatiques.
Les patients traités de manière concomitante par métoprolol et d'autres bêtabloquants (p. ex. gouttes ophtalmiques) ou des inhibiteurs de la monoamine-oxydase doivent faire l'objet d'une surveillance étroite. Les agents anesthésiques volatils majorent les effets cardiodépresseurs chez les patients traités par bêtabloquants. Il peut être nécessaire d'ajuster la dose des antidiabétiques oraux chez les patients bénéficiant d'un traitement par bêtabloquants. La concentration plasmatique du métoprolol est susceptible d'augmenter en cas d'administration concomitante de cimétidine ou d'hydralazine.
SELOKEN 27062018 AVIS CT16375
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Télécharger le documentInteraction médicaments et pamplemousse - Point d'information
Télécharger le documentNoyau du comprimé : Cellulose microcristalline, Amidon de maïs, Carboxyméthylamidon sodique, Silice colloïdale, Sodium laurylsulfate, Talc, Magnésium stéarate, Pelliculage : Hypromellose, Titane dioxyde, Macrogol, Polysorbate 80, Talc, Laque aluminique d'indigotine
ARROW GENERIQUES
26, Avenue Tony Garnier
69007
LYON
Code UCD7 : 9000056
Code UCD13 : 3400890000567
Code CIS : 69532710
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : ARROW GENERIQUES
Laboratoire exploitant : ARROW GENERIQUES
Prix vente TTC : 2.06€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 2.06€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 07/12/2018
Rectificatif AMM : 01/06/2021
Marque : METOPROLOL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930082362
Référence LPPR : Aucune
LOPRESSOR 100 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 30
LOPRESSOR 100 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 90
METOPROLOL ACCORD 100 mg, comprimé sécable, boîte de 30
METOPROLOL ACCORD 100 mg, comprimé sécable, boîte de 90
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