LOXAPAC
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution buvable
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Neuroleptiques, Diazépines, oxazépines et thiazépines, Loxapine
Principes actifs :
Loxapine
Etat psychotique aigu, Etat psychotique chronique, Schizophrénie, Délire paranoïaque, Psychose hallucinatoire chronique, Agitation, agressivité et anxiété des troubles psychotiques ou de certains troubles de la personnalité
Sujet âgé (implicite)
100 mg par jour. Maximum 300 mg par jour.
Utiliser dans les 30 jours après ouverture.
Adulte de moins de 65 ans (implicite)
200 mg par jour. Maximum 600 mg par jour.
Utiliser dans les 30 jours après ouverture.
Voie orale
ARRETER IMMEDIATEMENT LE TRAITEMENT ET CONSULTER EN URGENCE UN MEDECIN en cas de :
- Forte fièvre, forte transpiration, pâleur, rigidité des muscles, rythme irrégulier ou rapide du cœur ou du pouls.
PREVENIR
IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de constipation associée à une douleur
abdominale persistante, ou de constipation n'ayant pas répondu à un
traitement.
EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
Le tableau ci-dessous liste les effets indésirables signalés spontanément et lors des essais cliniques. Les effets indésirables ont été classés par système-organe. La fréquence de survenue de ces effets indésirables est indéterminée.
Tableau des effets indésirables :
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr
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Grossesse
Bien que les données animales n'aient pas mis en évidence d'effet tératogène, des signes de retard du développement et une augmentation du nombre de décès après exposition in utero à la loxapine ont été observés chez l'animal (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Les données cliniques, bien que limitées, ne vont pas dans le sens d'une augmentation d'un risque malformatif. Les nouveau-nés exposés de façon répétée à des antipsychotiques au cours du troisième trimestre de la grossesse présentent un risque d'effets indésirables incluant des signes atropiniques (tachycardie, hyperexcitabilité, retard à l'émission de méconium, distension abdominale), des signes extrapyramidaux (hypertonie, trémulations), et une sédation (voir rubrique Effets indésirables).
Ce médicament contient du propylène glycol et peut atteindre le foetus. Un risque pour le foetus ne peut être exclu (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
En conséquence, LOXAPAC, solution buvable ne doit être utilisée pendant la grossesse que si l'éventuel bénéfice justifie le risque potentiel pour le foetus. Si un traitement est nécessaire en fin de grossesse, la surveillance du nouveau-né devra tenir compte du profil d'effets indésirables de la molécule.
Allaitement
L'innocuité de la loxapine durant l'allaitement n'a pas été établie.
Ce médicament contient du propylène glycol et a été observé dans le lait (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Un risque pour l'enfant allaité ne peut être exclu. Une décision doit être prise quant à l'arrêt de l'allaitement ou à l'arrêt/abstention du traitement par LOXAPAC solution buvable en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Aucune donnée spécifique de l'effet de la loxapine sur la fécondité chez l'homme n'est disponible, mais il est connu qu'un traitement de longue durée par des antipsychotiques peut entraîner une perte de la libido et une aménorrhée. Des effets sur la reproduction ont été observés chez des rats femelles (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Ce médicament contient du propylène glycol et peut provoquer des symptômes semblables à ceux provoqués par l'alcool.
L'absorption d'alcool est fortement déconseillée pendant le traitement.
Glaucome/Rétention urinaire
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets atteints de glaucome et chez les malades susceptibles de présenter une rétention urinaire du fait des propriétés anticholinergiques de la loxapine.
Toxicité oculaire
Dans les traitements prolongés, une toxicité oculaire ne peut être exclue ; on doit rester attentif à l'apparition de rétinopathies pigmentaires et de pigmentation lenticulaire.
Syndrome extrapyramidal
Des symptômes extrapyramidaux cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques sont des effets de classe connus avec les antipsychotiques. LOXAPAC doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents connus de symptômes extrapyramidaux.
Dyskinésie tardive
En cas d'apparition de signes et de symptômes de dyskinésie tardive chez un patient traité par la loxapine de façon prolongée, il convient d'envisager l'interruption du traitement. Ces symptômes peuvent s'aggraver temporairement ou même survenir après l'arrêt du traitement. Les antiparkinsoniens sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation de ces symptômes.
Syndrome malin des neuroleptiques
Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est un syndrome potentiellement mortel associé aux traitements antipsychotiques. De rares cas rapportés comme SMN ont également été notifiés sous loxapine. Les signes cliniques du SMN sont l'hyperthermie, la rigidité musculaire, l'altération des facultés mentales, et des signes d'instabilité neurovégétative (instabilité du pouls et de la pression artérielle, tachycardie, hypersudation et troubles du rythme cardiaque). Peuvent s'ajouter des signes tels qu'élévation des CPK, myoglobinurie (rhabdomyolyse) et insuffisance rénale aiguë.
Si un patient présente des signes ou des symptômes évoquant un SMN ou une hyperthermie inexpliquée non accompagnée d'autres signes de SMN, tous les médicaments antipsychotiques, y compris loxapine doivent être arrêtés.
Iléus paralytique et occlusion intestinale
La constipation est un facteur de risque d'occlusion intestinale. Des cas d'iléus paralytique associé à des signes cliniques d'occlusion intestinale comprenant des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et dans certains cas des vomissements fécaloïdes et des fécalomes, ont été rapportés avec la loxapine (voir rubrique Effets indésirables). Les patients prenant simultanément des médicaments diminuant la motilité intestinale présentent un risque plus élevé d'iléus paralytique (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Il est important de dépister et de traiter activement la constipation.
Maladies cardiovasculaires
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation de LOXAPAC chez les patients présentant des affections cardiovasculaires sous-jacentes. LOXAPAC n'est pas recommandé dans les populations de patients présentant une affection cardiovasculaire connue (antécédents d'infarctus du myocarde ou de cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque ou troubles de la conduction), cérébrovasculaire ou états prédisposant les patients à l'hypotension (déshydratation, hypovolémie et traitement par des médicaments antihypertenseurs).
Hypotension
Lors de l'utilisation de LOXAPAC chez un patient présentant une hypotension sévère nécessitant un traitement vasopresseur, les médicaments à privilégier sont la noradrénaline ou la phényléphrine. L'adrénaline ne doit pas être utilisée, en raison du blocage partiel des récepteurs alpha-adrénergiques induit par la loxapine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) et du risque de diminuer davantage la pression artérielle.
Troubles métaboliques
Comme avec tout antipsychotique, une surveillance clinique appropriée est souhaitable conformément aux recommandations en vigueur ; il est conseillé de réaliser un contrôle régulier de :
· la glycémie, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les ans.
· le poids, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 4 et 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les 3 mois.
· les lipides (cholestérol total, cholestérol LDL, HDL, triglycérides), notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les 5 ans.
· la pression artérielle, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les ans.
Thromboembolie veineuse
Des cas de thromboembolie veineuse (TEV) ont été rapportés avec les médicaments antipsychotiques. Etant donné que les patients traités par antipsychotiques présentent souvent des facteurs de risque acquis de TEV, tous les facteurs de risque de survenue de TEV doivent être identifiés avant et au cours du traitement et des mesures préventives doivent être prises le cas échéant.
Affections hépatiques et/ou rénales
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets atteints d'affections hépatiques et/ou rénales, en raison du risque de surdosage.
Ce médicament contient 75,04 g de propylène glycol dans 100 ml équivalent à 257 mg/kg par jour à la dose maximale de 600 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
Une surveillance médicale est requise chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou de troubles de la fonction hépatique car divers effets indésirables attribués au propylène glycol ont été rapportés tels qu'un dysfonctionnement rénal (nécrose tubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et une dysfonction hépatique.
Crises d'épilepsies/convulsions
Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant de la loxapine.
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les patients traités par des médicaments antiépileptiques, voire chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives en raison de la possibilité d'abaissement du seuil épileptogène (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Maladie de Parkinson
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets parkinsoniens (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Sujets âgés
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez le sujet âgé, en raison d'une plus grande sensibilité à la sédation et à l'hypotension orthostatique.
Patients âgés souffrant de psychose liée à une démence
Les données sont limitées sur l'utilisation de LOXAPAC chez les patients âgés, y compris chez ceux souffrant de psychose liée à une démence. Néanmoins, des études cliniques menées avec des médicaments antipsychotiques tant atypiques que conventionnels ont démontré que les patients souffrant de psychose liée à une démence présentent un risque accru de décès, comparé à celui des patients sous placebo. LOXAPAC n'est pas indiqué dans le traitement des patients souffrant de psychose liée à une démence.
Population pédiatrique
Aucune étude n'a été réalisée chez des sujets de moins de 15 ans.
Présence de propylène glycol
Ce médicament contient 75,04 g de propylène glycol dans 100 ml équivalent à 257 mg/kg par jour à la dose maximale de 600 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
Le propylène glycol peut provoquer des symptômes semblables à ceux provoqués par l'alcool.
L'absorption d'alcool est fortement déconseillée pendant le traitement.
Une surveillance médicale est requise chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou de troubles de la fonction hépatique car divers effets indésirables attribués au propylène glycol ont été rapportés tels qu'un dysfonctionnement rénal (nécrose tubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et une dysfonction hépatique.
Même si le propylène glycol n'a pas démontré de toxicité pour la reproduction ou le développement chez les animaux ou les humains, il peut atteindre le foetus et a été observé dans le lait. En conséquence, l'administration de propylène glycol aux patientes enceintes ou allaitantes doit être considérée au cas par cas.
Glaucome
Malades susceptibles de présenter une rétention urinaire
Rétinopathie pigmentaire
Pigmentation lenticulaire (oculaire)
Antécédent de symptômes extrapyramidaux
Manifestation de dyskinésie tardive aux neuroleptiques
Manifestations de syndrome malin des neuroleptiques
Constipation
Affection cardiovasculaire
Maladie cérébrovasculaire
Prédisposition à l'hypotension
Hypotension sévère
Risque thrombo-embolique veineux
Affection hépatique
Affection rénale
Antécédent de crise convulsive
Parkinson
Sujet âgé
Patient âgé dément
Trouble de la fonction hépatique
L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules ou les utilisateurs de machines sur les risques de somnolence liés à l'emploi de ce médicament.
L'altération de la vigilance peut être dangereuse pour la conduite et l'utilisation de machines, notamment en cas d'association avec l'alcool, l'oxybate de sodium ou des dépresseurs du système nerveux central (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Population pédiatrique
Les études d'interaction n'ont été réalisées que chez l'adulte.
Associations contre-indiquées
+ Agonistes dopaminergiques sauf lévodopa (amantadine, bromocriptine, lisuride, piribédil, ropinirole, cabergoline, pramiprexole, apomorphine) en dehors du cas du patient parkinsonien
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.
En cas de syndrome extrapyramidal induit par le neuroleptique, ne pas traiter par agoniste dopaminergique mais utiliser un anticholinergique.
Associations déconseillées
+ Alcool
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des neuroleptiques.
L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines (voir rubrique Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines).
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
+ Lévodopa
Antagonisme réciproque de la lévodopa et des neuroleptiques.
Chez le patient parkinsonien, utiliser les doses minimales efficaces de chacun des deux médicaments.
+ Agonistes dopaminergiques sauf lévodopa (amantadine, bromocriptine, lisuride, piribédil, ropinirole, cabergoline, pramipexole, apomorphine) chez le patient parkinsonien
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.
L'agoniste dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques. En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez les parkinsoniens traités par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminués progressivement jusqu'à l'arrêt (l'arrêt brutal des dopaminergiques expose à un risque de « syndrome malin des neuroleptiques »).
+ Médicaments abaissant le seuil épileptogène
La prudence est recommandée en cas d'association de la loxapine avec d'autres médicaments connus pour abaisser le seuil épileptogène, par exemple les phénothiazines ou les butyrophénones, la chloroquine, la clozapine, les antidépresseurs tricycliques ou les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), le tramadol, la méfloquine.
+Oxybate de sodium
Majoration de la dépression centrale.
L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines (voir rubrique Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines).
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Lithium
Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ou d'une intoxication au lithium.
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
Associations à prendre en compte
+ Antihypertenseurs (tous)
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majoré (effet additif).
+ Adrénaline
L'administration concomitante de la loxapine avec l'adrénaline peut aggraver l'hypotension (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Autres dépresseurs du système nerveux central
Opioïdes/Dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines (exemple : méprobamate) ; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, paroxétine, trimipramine) ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; autres : baclofène, pizotifène, thalidomide.
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines (voir rubrique Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines).
Risque important d'akinésie colique, avec constipation sévère en association avec les opioïdes/dérivés morphiniques.
+ Bêtabloquants dans l'insuffisance cardiaque (carvédilol, métoprolol, bisoprolol)
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif).
+ Aripiprazole
Risque de moindre efficacité, notamment de l'aripiprazole, suite à l'antagonisme des récepteurs dopaminergiques par la loxapine.
+ Dapoxétine
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
+ Autres médicaments atropiniques
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche.…
+ Anticholinestérasiques
Risque de moindre efficacité de l'anticholinestérasique par antagonisme des récepteurs de l'acétylcholine par la loxapine.
+ Inhibiteurs/Inducteurs du CYP450, inhibiteurs du CYP1A2
La loxapine est un substrat pour plusieurs isozymes du CYP450 (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Par conséquent, le risque d'interactions métaboliques causées par un effet sur une isoforme donnée est limité. La prudence s'impose chez les patients recevant un traitement concomitant avec d'autres médicaments qui sont soit des inhibiteurs, soit des inducteurs de ces enzymes, en particulier si le médicament concomitant est connu pour inhiber ou induire plusieurs des enzymes impliquées dans le métabolisme de la loxapine. De tels médicaments peuvent modifier l'efficacité et la sécurité de LOXAPAC de manière irrégulière. L'utilisation concomitante d'inhibiteurs du CYP1A2 (par exemple, fluvoxamine, ciprofloxacine, énoxacine, propranolol et rofécoxib) doit être évitée, si possible.
+ Orlistat
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par orlistat.
LOXAPAC_19042023_AVIS_CT19856
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentMédicaments susceptibles d'altérer l'adaptation de l'organisme à la chaleur
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Télécharger le documentPsychiatrie : Livret AFSSaPS Médicaments et Grossesse Version N°4.
Télécharger le documentPropylène glycol, Chlorhydrique acide, Eau distillée
HAC PHARMA
Péricentre 2 43 avenue de la Côte de Nacre
14000
CAEN
Code UCD7 : 9055184
Code UCD13 : 3400890551847
Code CIS : 69700033
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : CNX THERAPEUTICS FRANCE
Laboratoire exploitant : HAC PHARMA
Prix vente TTC : 3.53€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 3.53€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 18/02/1980
Rectificatif AMM : 08/07/2024
Marque : LOXAPAC
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400932334209
Référence LPPR : Aucune
LOXAPAC, solution buvable, boîte de 1 flacon (+ seringue pour administration orale) de 60 ml
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