HEMANGIOL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution buvable
Catégories :
Dermatologie, Autres traitements de dermatologie, Autres médicaments de dermatologie, Propranolol
Principes actifs :
Propranolol
Hémangiome infantile prolifératif
Nourrisson de 5 semaines à 11 mois . Traitement d'entretien. Hémangiome infantile prolifératif (implicite)
1½ mg par kilo le matin et en fin d'après midi pendant ou après les repas pendant 6 mois.
Espacer chaque prise d'au moins 9 heures.
Nourrisson de 5 à 5 mois . Traitement initial 1. Hémangiome infantile prolifératif
½ mg par kilo le matin et en fin d'après midi pendant ou après les repas pendant 1 semaine.
Espacer chaque prise d'au moins 9 heures.
Nourrisson de 5 à 5 mois . Traitement initial 2. Hémangiome infantile prolifératif
1 mg par kilo le matin et en fin d'après midi pendant ou après les repas pendant 1 semaine.
Espacer chaque prise d'au moins 9 heures.
Voie orale
APPELER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN si l’enfant présente des signes tels que fatigue, sensation de froid, pâleur, coloration bleuâtre de la peau ou évanouissement lors de la prise de ce médicament.
Pour éviter les risques d'hypoglycémie, nourrir régulièrement l’enfant pendant le traitement. S’il ne mange pas, s'il développe une autre maladie ou s'il vomit, il est recommandé de ne pas administrer la dose. NE PAS ADMINISTRER CE MEDICAMENT TANT QU'IL NE SE SERA PAS DE NOUVEAU ALIMENTÉ CORRECTEMENT.
En cas de signes d’hypoglycémie pendant la prise de ce médicament, donner si possible une boisson contenant du sucre et si les symptômes persistent APPELER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN OU ALLER DIRECTEMENT A L’HOPITAL.
Les signes d’hypoglycémie sont :
- Mineurs : pâleur, fatigue, sueurs, tremblement, palpitations, anxiété, faim, difficulté à se réveiller.
- Majeurs : sommeil excessif, difficulté à répondre, mauvaise prise alimentaire, baisse de la température, convulsions (crises convulsives), brèves pauses dans la respiration, perte de connaissance.
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas des symptômes suivants évocateurs d'un bronchospasme (rétrécissement temporaire des bronches entraînant des difficultés à respirer) : toux, respiration rapide ou difficile ou sifflement respiratoire, associé ou non à une coloration bleuâtre de la peau.
PREVENIR L'ANESTHESISTE de la prise de ce médicament en cas d'intervention chirurgicale.
Agitation
Constipation
Douleur abdominale
Erythème fessier
Irritabilité
Bronchospasme
Cauchemars
Diminution de la pression artérielle
Diminution de l'appétit
Somnolence
Erythème cutané
Extrémités froides
Bronchiolite
Alopécie
Bloc auriculoventriculaire
Urticaire
Neutropénie
Diminution de la glycémie
Fréquence cardiaque diminuée
Bradycardie
Fièvre
Hyperkaliémie
Hypoglycémie
Hypotension artérielle
Infection respiratoire
Insomnie
Syndrome de Raynaud
Toux
Agranulocytose
Aggravation d'un psoriasis
Hypersomnie
Sommeil de qualité médiocre
Aggravation des symptômes respiratoires
Vasoconstriction
Dermatite psoriasiforme
Crise convulsive hypoglycémique
Résumé du profil de tolérance
Dans les essais cliniques conduits dans les hémangiomes infantiles prolifératifs, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés chez les enfants traités par HEMANGIOL ont été des troubles du sommeil (16,7%), des infections respiratoires majorées telles que bronchite et bronchiolite associées à une toux et une fièvre, des diarrhées (16,5%) et des vomissements (11,5%).
Globalement, les effets indésirables rapportés au cours du programme d'autorisation temporaire d'utilisation et dans la littérature ont été des hypoglycémies (et les événements associés tels que des crises convulsives hypoglycémiques) et des infections respiratoires majorées associées à une détresse respiratoire.
Liste tabulée des effets indésirables
Le tableau suivant présente les effets indésirables rapportés, quelles que soient la dose et la durée du traitement, dans trois études cliniques conduites chez 435 patients traités par HEMANGIOL à la dose de 1 mg/kg/jour ou de 3 mg/kg/jour sur une durée maximale de traitement de 6 mois.
La fréquence des effets indésirables est définie en utilisant la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000 à < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000 à < 1/1000) ; très rare (< 1/10 000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Compte tenu de la taille de la base de données des essais cliniques, les catégories Rare et Très rare ne sont pas représentées.
Au sein de chaque classe de systèmes d'organes, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Description d'effets indésirables sélectionnés
Concernant les infections des voies respiratoires inférieures telles que la bronchite ou la bronchiolite, une aggravation des symptômes (y compris de bronchospasme) a été observée chez des patients traités par HEMANGIOL en raison de l'effet bronchoconstricteur du propranolol. Ces effets ont dans de rares cas conduit à l'arrêt définitif du traitement (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Les troubles du sommeil recouvrent l'insomnie, un sommeil de mauvaise qualité et l'hypersomnie. Les autres affections du système nerveux central ont principalement été observées en début de traitement.
Des diarrhées ont été fréquemment rapportées sans être systématiquement associées à une maladie gastro-intestinale infectieuse. La survenue de diarrhées semble dose-dépendante entre 1 et 3 mg/kg/jour. Aucun cas n'a été d'intensité sévère et n'a conduit à l'arrêt du traitement.
Les événements cardiovasculaires rapportés au cours des études cliniques ont été asymptomatiques. Lors des 4 heures de surveillance cardiovasculaire réalisée pendant les jours de titration, une diminution de la fréquence cardiaque (d'environ 7 bpm) et de la pression artérielle systolique (< 3 mm Hg) a été observée après l'administration du médicament. Un cas de bloc cardiaque auriculoventriculaire du second degré chez un patient avec des troubles de la conduction sous-jacents a entraîné l'arrêt définitif du traitement. Des cas isolés de bradycardie symptomatique et d'hypotension artérielle ont été rapportés dans la littérature.
Les baisses de la glycémie observées au cours des études cliniques ont été asymptomatiques. Toutefois, plusieurs cas d'hypoglycémie associée à une crise convulsive hypoglycémique ont été rapportés au cours du programme d'autorisation temporaire d'utilisation et dans la littérature, notamment en cas de jeûne lors d'une maladie concomitante (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Le traitement concomitant par corticoïdes systémiques peut majorer le risque d'hypoglycémie (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Une hyperkaliémie a été rapportée dans la littérature chez quelques patients avec un hémangiome ulcéré étendu (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse :
Non pertinent.
Allaitement :
Mères qui allaitent : voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions.
Fertilité :
Bien que certains effets réversibles sur la fertilité des mâles et des femelles aient été rapportés dans la littérature chez des rats adultes recevant de fortes doses de propranolol, l'étude réalisée chez de jeunes animaux n'a pas montré d'effet sur la fertilité (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Mise sous traitement
Avant la mise sous traitement par propranolol, un dépistage des risques associés à l'utilisation de propranolol doit être réalisé. Une analyse des antécédents médicaux et un examen clinique complet doivent être effectués, incluant la mesure de la fréquence cardiaque ainsi qu'une auscultation cardiaque et pulmonaire.
En cas de suspicion d'anomalie cardiaque, il convient de consulter un spécialiste avant la mise sous traitement afin de rechercher une éventuelle contre-indication sous-jacente.
En cas d'anomalie broncho-pulmonaire aiguë, la mise sous traitement doit être différée.
Hypoglycémie
Le propranolol s'oppose à la réponse des catécholamines endogènes permettant de corriger une hypoglycémie. Il masque les signes adrénergiques annonciateurs d'hypoglycémie en particulier tachycardie, tremblements, anxiété et faim. Il peut aggraver les hypoglycémies survenant chez l'enfant, notamment pendant les périodes de jeûne (par exemple : faible prise alimentaire, infections, vomissements), quand les demandes en glucose sont augmentées (froid, stress, infections), ou en cas de surdosage.
Les hypoglycémies associées à la prise de propranolol peuvent se présenter exceptionnellement sous forme de crise convulsive et/ou de coma.
En cas d'apparition de signes cliniques d'hypoglycémie, il est nécessaire de faire boire à l'enfant une solution liquide sucrée et d'interrompre temporairement le traitement. Une surveillance appropriée de l'enfant sera mise en place jusqu'à disparition des symptômes.
Les prescripteurs doivent informer les aidants/parents du risque d'hypoglycémie grave qui persiste pendant toute la durée du traitement et insister sur la nécessité de respecter les recommandations de posologie (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Les aidants doivent recevoir des conseils sur la manière de reconnaître les signes cliniques d'hypoglycémie de l'enfant afin de :
Chez l'enfant diabétique, la surveillance glycémique doit être renforcée et suivie par un endocrinologue.
Affections respiratoires
En cas d'infection des voies respiratoires inférieures associée à une dyspnée avec sibilants, le traitement doit être temporairement interrompu. L'administration de bêta2 agonistes et de corticoïdes inhalés est possible. La reprise du propranolol peut être envisagée après que l'enfant a complètement récupéré ; en cas de récidive, le traitement doit être définitivement arrêté.
En cas de bronchospasme isolé, le traitement doit être définitivement arrêté.
Affections cardiovasculaires
Le propranolol, de par son action pharmacologique, peut entraîner ou majorer une bradycardie ou des troubles de la pression artérielle. On diagnostiquera une bradycardie si la fréquence cardiaque diminue de plus de 30 bpm par rapport à la fréquence initiale. La bradycardie est définie comme une fréquence cardiaque inférieure aux limites suivantes :
|
Age |
0-3 mois |
3-6 mois |
6-12 mois |
|
Fréquence cardiaque (battements/min) |
100 |
90 |
80 |
Après la mise sous traitement et après toute augmentation de dose, une surveillance clinique, incluant la pression artérielle et la fréquence cardiaque, doit être effectuée au moins toutes les heures pendant au moins 2 heures. En cas de bradycardie symptomatique ou de bradycardie inférieure à 80 bpm, il convient de consulter immédiatement un spécialiste.
En cas de bradycardie sévère et/ou symptomatique ou d'hypotension artérielle survenant à n'importe quel moment au cours du traitement, il convient d'interrompre le traitement et de consulter un spécialiste.
Insuffisance cardiaque
La stimulation sympathique peut être un élément vital pour soutenir la fonction circulatoire en cas d'insuffisance cardiaque congestive et son inhibition par bêta-blocage peut aggraver la défaillance. Chez l'enfant souffrant d'insuffisance cardiaque, le traitement doit être géré par un cardiologue.
Syndrome PHACE
Les données de sécurité concernant l'utilisation du propranolol chez les patients atteints de syndrome PHACE sont très limitées.
Le propranolol peut accroître le risque d'accident vasculaire cérébral chez les patients atteints de syndrome PHACE avec des anomalies cérébrovasculaires sévères en réduisant la pression artérielle et en diminuant l'écoulement sanguin des vaisseaux occlus, rétrécis ou sténosés.
Les enfants qui présentent un hémangiome infantile facial étendu doivent faire l'objet d'investigations approfondies pour rechercher une éventuelle artériopathie associée à un syndrome PHACE, par angiographie par résonance magnétique de la tête et du cou et par imagerie cardiaque pour visualiser la crosse aortique, avant d'envisager un traitement par le propranolol. Il convient de consulter un spécialiste.
Allaitement
Le propranolol passe dans le lait maternel, les mères traitées par le propranolol qui allaitent leur enfant doivent en informer leur médecin.
Insuffisance hépatique ou rénale
Le propranolol est métabolisé au niveau hépatique et éliminé par le rein. En l'absence de données chez l'enfant, le propranolol n'est pas recommandé en cas d'insuffisance rénale ou hépatique (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Hypersensibilité
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu'en soit l'origine, en particulier avec des produits de contraste iodés, le traitement par bêtabloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance au traitement par adrénaline aux posologies habituelles. Chez les enfants ayant un risque d'anaphylaxie, le bénéfice/risque du médicament doit être évalué.
Anesthésie générale
Les bêtabloquants entraînent une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d'hypotension. Il convient de prévenir l'anesthésiste que le patient est traité par un bêtabloquant.
Lorsqu' une intervention chirurgicale est programmée, le traitement par bêtabloquant doit être interrompu au moins 48 heures avant l'intervention.
Hyperkaliémie
Des cas d'hyperkaliémie ont été rapportés chez des patients avec des hémangiomes ulcérés étendus. Une surveillance des électrolytes doit être réalisée chez ces patients.
Psoriasis
Chez les patients souffrant de psoriasis, des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêtabloquants ; l'indication mérite d'être pesée.
Excipients à effet notoire
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Ce médicament contient 2,08 mg de propylène glycol/kg/jour. La prudence s'impose chez les bébés de moins de 4 semaines, en particulier si le bébé reçoit d'autres médicaments contenant du propylène glycol ou de l'alcool.
La co-administration avec n'importe quel substrat de l'alcool déshydrogénase tel que l'éthanol peut induire des effets indésirables graves chez le nouveau-né.
Anomalie cardiaque
Surveillance pression artérielle
Surveillance fréquence cardiaque
Jeûne
Vomissement
Hypoglycémie
Diabète
Infection des voies respiratoires inférieures associée à une dyspnée avec sibilants
Bronchospasme
Insuffisance cardiaque congestive
Syndrome PHACE
Patient susceptible de faire une réaction anaphylactique
Anesthésie générale
Surveillance électrolytique
Psoriasis
Non pertinent.
En l'absence d'études spécifiques chez l'enfant, les interactions médicamenteuses avec le propranolol sont celles déjà connues chez l'adulte. Avant d'administrer d'autres médicaments, il convient de tenir compte des 2 situations suivantes (non mutuellement exclusives) :
Une surveillance clinique étroite à la recherche d'une éventuelle intolérance au propranolol est nécessaire.
Associations déconseillées
Inhibiteurs calciques bradycardisants (diltiazem, vérapamil, bépridil)
L'administration concomitante avec le propranolol peut entraîner des troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), des troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et un risque majoré de troubles du rythme ventriculaire (torsades de pointes) ainsi qu'une insuffisance cardiaque.
Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECG étroite, notamment en début de traitement.
Associations nécessitant des précautions d'emploi
Médicaments cardiovasculaires
Antiarythmiques
Glycosides digitaliques
Les glycosides digitaliques ainsi que les bêtabloquants ralentissent la conduction auriculoventriculaire et diminuent la fréquence cardiaque. Leur utilisation concomitante peut majorer le risque de bradycardie. L'avis d'un cardiologue doit être envisagé.
Dihydropyridines
Il convient d'être prudent chez les patients sous bêtabloquant qui reçoivent une dihydropyridine. Les deux agents peuvent induire une hypotension artérielle et/ou une insuffisance cardiaque chez les patients dont la fonction cardiaque est partiellement contrôlée en raison de leurs effets inotropes additifs. Leur utilisation concomitante peut réduire la réponse sympathique réflexe en cas de vasodilatation distale excessive.
Antihypertenseurs (Inhibiteurs de l'Enzyme de Conversion (IEC), antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, diurétiques, alpha-bloquants quelle que soit l'indication, antihypertenseurs d'action centrale, réserpine, etc.)
Lorsqu'ils sont associés à des bêtabloquants, les médicaments qui diminuent la pression artérielle peuvent entraîner ou aggraver une hypotension artérielle, notamment orthostatique. L'arrêt simultané des bêtabloquants et des antihypertenseurs d'action centrale peut aggraver le rebond d'hypertension artérielle qui suit l'arrêt brutal de la clonidine et le propranolol doit être arrêté plusieurs jours avant l'arrêt de la clonidine.
Médicaments non cardiovasculaires
Corticoïdes
Les patients avec un hémangiome infantile peuvent présenter un risque accru d'hypoglycémie s'ils ont reçu ou s'ils reçoivent simultanément un traitement par corticoïdes car la suppression surrénalienne pourrait entraîner un défaut de réponse à l'hormone de contre-régulation, le cortisol, et ainsi majorer le risque d'hypoglycémie. Ceci s'applique également aux enfants allaités par leur mère traitée par corticoïdes en cas de posologies élevées ou de traitement prolongé (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi concernant l'hypoglycémie).
Médicaments induisant une hypotension artérielle orthostatique
Les médicaments qui induisent une hypotension artérielle posturale (dérivés nitrés, inhibiteurs de la 5phosphodiestérase, antidépresseurs tricycliques, antipsychotiques, agonistes dopaminergiques, lévodopa, amifostine, baclofène …) peuvent ajouter leurs effets à ceux des bêtabloquants. L'avis d'un cardiologue doit être envisagé.
Inducteurs enzymatiques
Les taux sanguins de propranolol peuvent être diminués par l'administration concomitante d'inducteurs enzymatiques tels que la rifampicine ou le phénobarbital.
Hypoglycémiants
Tous les bêtabloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie : palpitations et tachycardie.
Il convient d'être prudent en cas d'utilisation concomitante de propranolol avec un traitement hypoglycémiant chez les patients diabétiques car cela pourrait prolonger la réponse hypoglycémique à l'insuline. Dans ce cas, prévenir le personnel soignant et renforcer, surtout en début de traitement, la surveillance glycémique.
Hypolipémiants
L'administration concomitante de cholestyramine ou de colestipol avec le propranolol peut entraîner une diminution allant jusqu'à 50 % des concentrations de propranolol.
Anesthésiques halogénés
Ils peuvent diminuer la contractilité myocardique et la réponse vasculaire compensatoire en cas d'administration avec le propranolol. Les bêta-stimulants peuvent être utilisés pour contrer le bêtablocage.
HEMANGIOL : Guide Entourage patient
Télécharger le documentHEMANGIOL_09072020_SYNTHESE_CT17800
Télécharger le documentHEMANGIOL_09072020_AVIS_CT17800
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentRTU : HEMANGIOL
Télécharger le documentRTU : Hémangiol 3,75 mg/ml, solution buvable
Télécharger le documentHEMANGIOL 25062014 AVIS CT13595
Télécharger le documentHEMANGIOL SYNTHESE AVIS CT13595
Télécharger le documentHydroxyéthylcellulose, Saccharine sodique, Arôme fraise, Arôme vanille, Citrique acide, Eau purifiée, Présence de : Propylène glycol
PIERRE FABRE MEDICAMENT
Parc Industriel de la Chatreuse
81100
CASTRES
Code UCD7 : 9402243
Code UCD13 : 3400894022435
Code CIS : 63558075
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : PIERRE FABRE MEDICAMENT
Prix vente TTC : 177.05€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 177.05€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 23/04/2014
Rectificatif AMM : 10/01/2023
Marque : HEMANGIOL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400927883637
Référence LPPR : Aucune
PROPRANOLOL CHLORHYDRATE PIERRE FABRE solution buvable, boîte de 1 flacon de 120 ml (détails indisponibles)
PROPRANOLOL CHL PIERRE FABRE D 3,75 mg/mL Solution buvable boîte de 1 flacon de 120 ml (détails indisponibles)
Visitez notre centre de support ou contactez-nous !