GLICLAZIDE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé à libération modifiée
Catégories :
Métabolisme et nutrition, Antidiabétiques systémiques, insulines exclues, Sulfamides hypoglycémiants, Gliclazide
Principes actifs :
Gliclazide
Diabète non insulinodépendant
Adulte de plus de 18 ans . Diabète non insulinodépendant (implicite)
4 comprimés au cours du petit-déjeuner à avaler entier avec un verre d'eau. Maximum 4 comprimés par jour.
Voie orale
CONSULTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de :
- Réactions cutanées telles que des éruption cutanée, rougeurs, prurit, urticaire, angio-œdème (gonflement rapide des tissus tels que les paupières, le visage, les lèvres, la bouche, la langue ou la gorge pouvant entraîner des difficultés respiratoires). L'éruption cutanée peut évoluer vers la formation généralisée de cloques ou une desquamation de la peau; dans ce cas, ARRETER IMMEDIATEMENT LE TRAITEMENT ET CONSULTER UN MEDECIN EN URGENCE.
- Symptômes pseudo-grippaux et éruption cutanée sur le visage puis éruption cutanée étendue avec une température élevée.
- Coloration jaune des yeux et de la peau.
SURVEILLER régulièrement le taux de sucre dans le sang (et éventuellement dans l'urine) pendant le traitement.
SUIVRE le régime alimentaire conseillé, et avoir une activité physique.
EN CAS D'HYPOGLYCEMIE,
risque d'apparition de : maux de tête, sensation de faim, pâleur,
faiblesse, épuisement, nausées, vomissements, fatigue, somnolence,
troubles du sommeil, agitation, agressivité, difficultés de
concentration, diminution de la vigilance et augmentation du temps de
réaction, dépression, confusion, troubles de la parole ou de la vision,
tremblements, troubles sensoriels, étourdissements et sensation
d'impuissance ; transpiration, peau moite et froide, anxiété, fréquence
cardiaque rapide ou irrégulière, tension artérielle élevée et forte
douleur subite dans la poitrine qui peut irradier dans les régions
avoisinantes (angine de poitrine).
Si le taux de sucre continue à
diminuer : confusion sévère (délire), convulsions, anomalies du
comportement (perte de maîtrise de soi), respiration superficielle et
fréquence cardiaque ralentie avec éventuellement perte de connaissance
aboutissant à un coma.
CONSOMMER IMMEDIATEMENT certaines formes de sucre, par exemple des morceaux de sucre (à avoir toujours sur soi),
du jus de fruit sucré ou du thé sucré. En l'absence d'amélioration
CONSULTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN OU L'HOPITAL LE PLUS PROCHE.
EN CAS D'HYPERGLYCEMIE,
risque d'apparition de : soif, besoin fréquent d'uriner, sécheresse
buccale, peau sèche et qui démange, infections cutanées et baisse de
performance. CONSULTER UN MEDECIN.
EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
PRUDENCE en cas de prise de préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (en début de traitement, faire attention aux
symptômes d'une hypoglycémie).
Troubles gastro-intestinaux
Anémie
Erythème
Leucopénie
Prurit
Thrombopénie
Urticaire
Eruption maculopapuleuse
Augmentation des enzymes hépatiques
Granulocytopénie
Réaction cutanée bulleuse
Rash cutané
Trouble de la vision
Angioedème
Hépatite
Syndrome DRESS
Agitation
Agressivité
Anémie hémolytique
Angor
Anxiété
Bradycardie
Céphalée
Cholestase
Constipation
Convulsions
Diarrhée
Douleur abdominale
Dyspepsie
Fatigue
Hypertension
Hyponatrémie
Ictère
Insuffisance hépatique
Insuffisance rénale
Palpitation
Tachycardie
Vertige
Dépression
Coma
Agranulocytose
Eruption cutanée médicamenteuse
Elévation des phosphatases alcalines
Hypersudation
Arythmie
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Délire
Baisse de la vigilance
Eosinophilie
Somnolence
Tremblement
Vascularite allergique
Pancytopénie
Ictère cholestatique
Difficulté de concentration
Perte de connaissance
Elévation des ALAT
Elévation des ASAT
Nausée
Vomissement
Nécrolyse épidermique toxique
Trouble du sommeil
Aphasie
Trouble de l'élocution
Dermatose bulleuse auto-immune
Parésie
Erythropénie
Respiration superficielle
Perte de maîtrise de soi
Diminution des réactions
Faim intense
Peau moite et froide
Trouble sensoriel
Sensation d'impuissance
Sur la base de l'expérience clinique du gliclazide et d'autres sulfamides hypoglycémiants, les effets indésirables suivants doivent être mentionnés :
Les fréquences sont définies comme suit :
Très fréquent (= 1/10)
Fréquent (= 1/100 à < 1/10)
Peu fréquent (= 1/1 000 à < 1/100)
Rare (= 1/10 000 à < 1/1 000)
Très rare (< 1/10 000)
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique
Rare : modifications de l'hématologie. Elles peuvent inclure anémie, leucopénie, thrombopénie, granulocytopénie. Ces anomalies sont généralement réversibles à l'arrêt du traitement par gliclazide.
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Fréquent : l'effet indésirable le plus fréquent avec le gliclazide est l'hypoglycémie.
Comme avec les autres sulfamides hypoglycémiants, le traitement par gliclazide peut fréquemment entraîner une hypoglycémie en cas d'horaires des repas irréguliers et notamment si un repas est sauté. Les symptômes possibles sont : céphalées, faim intense, nausées, vomissements, fatigue, troubles du sommeil, agitation, agressivité, difficultés de concentration, baisse de la vigilance et diminution des réactions, dépression, confusion, troubles de la vision et de l'élocution, aphasie, tremblements, parésie, troubles sensoriels, vertiges, sensation d'impuissance, perte de maîtrise de soi, délire, convulsions, respiration superficielle, bradycardie, somnolence et perte de connaissance, pouvant entraîner un coma et une issue fatale.
Des signes de contre-régulation adrénergique peuvent également être observés : hypersudation, peau moite et froide, anxiété, tachycardie, hypertension, palpitations, angor et arythmies cardiaques.
Les symptômes disparaissent généralement après l'ingestion d'hydrates de carbone (sucres). Mais les édulcorants artificiels n'ont aucun effet. L'expérience avec les autres sulfamides hypoglycémiants montre que les épisodes hypoglycémiques peuvent récidiver malgré des mesures initialement efficaces.
En cas d'épisode hypoglycémique sévère ou prolongé, même contrôlé temporairement par une absorption de sucre, un traitement médical immédiat, voire une hospitalisation, s'imposent.
Affections oculaires
Rare : des troubles visuels transitoires dus aux variations de la glycémie peuvent survenir, en particulier lors de l'instauration du traitement.
Affections gastro-intestinales
Peu fréquent : troubles gastro-intestinaux, incluant douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhées et constipation : ils peuvent être évités ou minimisés si le gliclazide est pris au cours du petit déjeuner.
Affections hépatobiliaires
Rare : élévation des enzymes hépatiques (ASAT, ALAT, phosphatases alcalines), hépatites (cas isolés). Interrompre le traitement en cas d'apparition d'un ictère cholestatique. Ces symptômes disparaissent généralement après l'arrêt du traitement.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rare : rash, prurit, urticaire, angio-oedème, érythème, éruptions maculopapulaires, réactions bulleuses (tels que le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique et les maladies auto-immunes bulleuses), et exceptionnellement, syndrome DRESS (éruption médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques).
Effets de classe
Comme pour les autres sulfamides hypoglycémiants, les effets indésirables suivants ont été observés :
Des cas d'érythrocytopénie, d'agranulocytose, d'anémie hémolytique, de pancytopénie, de vascularite allergique, d'hyponatrémie, d'augmentation du taux des enzymes hépatiques, d'insuffisance hépatique (cholestase et ictère) voire d'hépatite qui ont régressé à l'arrêt du traitement ; seuls quelques cas ont conduit à une insuffisance hépatique mettant en jeu le pronostic vital.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas de données ou des données limitées (moins de 300 grossesses) concernant l'utilisation du gliclazide chez la femme enceinte ; les données avec d'autres sulfamides hypoglycémiants sont limitées.
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène du gliclazide (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter d'utiliser le gliclazide pendant la grossesse.
Le contrôle glycémique doit être obtenu avant la conception pour réduire le risque de malformations congénitales dues à un diabète mal équilibré.
Les antidiabétiques oraux ne sont pas appropriés pendant la grossesse ; l'insuline constitue alors le traitement de choix. Le relais d'un antidiabétique oral par l'insuline est recommandé lorsqu'une grossesse est envisagée ou dès la découverte de celle-ci.
Allaitement
L'excrétion du gliclazide ou de ses métabolites dans le lait maternel humain n'est pas connue. Compte tenu du risque d'hypoglycémie néonatale, le gliclazide est par conséquent contre-indiqué chez la femme qui allaite. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu.
Fertilité
Aucun effet sur la fertilité ou la reproduction n'a été observé chez les rats mâles et femelles (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Hypoglycémie
Ce traitement ne doit être prescrit que si le patient est susceptible de s'alimenter régulièrement (y compris le petit déjeuner). Il est important d'absorber régulièrement des hydrates de carbone, le risque d'hypoglycémie étant majoré en cas de repas pris tardivement, d'alimentation insuffisante ou pauvre en hydrates de carbone. L'hypoglycémie peut survenir plus particulièrement en période de régime hypocalorique, après un effort important ou prolongé, après l'ingestion d'alcool, ou en cas d'administration d'une association d'agents hypoglycémiants.
Des hypoglycémies peuvent survenir après l'administration de sulfamides hypoglycémiants (voir rubrique Effets indésirables). Certains épisodes peuvent être sévères et prolongés. Une hospitalisation peut alors s'avérer nécessaire et l'administration de glucose doit être éventuellement poursuivie sur plusieurs jours.
Une sélection soigneuse des patients, de la posologie utilisée ainsi qu'une information adéquate des patients sont nécessaires pour diminuer le risque d'épisodes hypoglycémiques.
Facteurs majorant le risque d'hypoglycémie :
· refus ou incapacité du patient à coopérer (particulièrement chez les personnes âgées) ;
· malnutrition, horaires des repas irréguliers, repas omis, période de jeûne ou de modifications du régime alimentaire ;
· déséquilibre entre l'activité physique et l'apport en hydrates de carbone
· insuffisance rénale
· insuffisance hépatique sévère
· surdosage en gliclazide ;
· certains troubles endocriniens : troubles thyroïdiens, insuffisance hypophysaire et insuffisance surrénalienne ;
· administration concomitante de certains autres médicaments (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Insuffisance rénale et hépatique
La pharmacocinétique et/ou la pharmacodynamie du gliclazide peuvent être modifiées chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou une insuffisance rénale sévère. Les épisodes hypoglycémiques pouvant être prolongés chez ces patients, une prise en charge appropriée doit être mise en place.
Information du patient
Les risques d'hypoglycémie, ses symptômes (voir rubrique Effets indésirables), son traitement, ainsi que les conditions qui y prédisposent, doivent être expliqués au patient et à sa famille.
Le patient doit être informé de l'importance du respect des recommandations diététiques, de la nécessité d'une activité physique régulière et du contrôle régulier de sa glycémie.
Déséquilibre glycémique
L'équilibre glycémique d'un patient traité par un antidiabétique oral peut être modifié en cas de survenue des événements suivants : administration concomitante de préparations à base de millepertuis(Hypericum perforatum) (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions), fièvre, traumatisme, infection ou intervention chirurgicale. Dans certains cas, il peut être nécessaire de recourir à l'insuline.
L'efficacité hypoglycémiante de tous les antidiabétiques oraux, y compris le gliclazide, peut s'atténuer au cours du temps chez de nombreux patients : cela peut être lié à une aggravation du diabète ou à une diminution de la réponse au traitement. Ce phénomène est appelé échec secondaire, pour le distinguer de l'échec primaire, dans lequel le médicament est inefficace en traitement de première intention. Avant de classer un patient parmi les échecs secondaires, on évaluera les possibilités d'ajustement de la dose et du suivi du régime alimentaire.
Dysglycémie
Des perturbations de la glycémie, dont hypoglycémie et hyperglycémie, ont été rapportées chez des patients diabétiques recevant un traitement concomitant par fluoroquinolones, en particulier chez les patients âgés. Ainsi, un suivi attentif de la glycémie est recommandé chez tous les patients recevant simultanément du gliclazide et une fluoroquinolone.
Analyses biologiques
Le dosage de l'hémoglobine glyquée (ou de la glycémie à jeun) est recommandé pour évaluer le contrôle glycémique. L'autosurveillance de la glycémie peut également être utile.
Les médicaments de la classe des sulfonylurées sont susceptibles d'entraîner une anémie hémolytique chez les sujets porteurs d'un déficit enzymatique en G6PD (glucose-6-phosphate déshydrogénase). Le gliclazide appartenant à cette classe chimique, des précautions doivent être prises chez les patients déficients en G6PD et un traitement appartenant à une autre classe thérapeutique que les sulfonylurées doit être envisagé.
Patients porphyriques
Des cas de porphyrie aiguë ont été décrits avec d'autres médicaments de la classe des sulfonylurées chez les patients atteints de porphyrie.
Excipients
GLICLAZIDE TEVA contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Régime hypocalorique
Exercice physique intense
Hypoglycémie
Malnutrition
Modification des habitudes alimentaires
Jeûne
Insuffisance rénale légère à modérée
Insuffisance hépatique légère à modérée
Dysfonctionnement thyroïdien
Insuffisance hypophysaire
Insuffisance surrénale
Fièvre
Traumatisme récent
Infection
Intervention chirurgicale
Porphyrie
Coronaropathie sévère
Atteinte carotidienne sévère
Maladie vasculaire
Le gliclazide n'a aucune influence ou une influence négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Toutefois, les patients doivent être sensibilisés sur les symptômes de l'hypoglycémie et faire preuve de prudence pour conduire des véhicules ou utiliser des machines, notamment en début de traitement.
Les médicaments ci-dessous sont susceptibles de majorer le risque d'hypoglycémie :
Associations contre-indiquées
+ Miconazole (voie systémique, gel buccal)
Augmentation de l'effet hypoglycémiant avec survenue possible de manifestations hypoglycémiques, voire de coma.
Associations déconseillées
+ Phénylbutazone (voie systémique)
Augmentation de l'effet hypoglycémiant des sulfamides hypoglycémiants (déplacement de leurs liaisons aux protéines plasmatiques et/ou diminution de leur élimination).
Utiliser de préférence un autre anti-inflammatoire, sinon prévenir le patient en soulignant l'importance de l'autosurveillance. Si nécessaire, adapter la posologie pendant le traitement par anti-inflammatoire et après l'arrêt de celui-ci.
+ Alcool
Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation) pouvant entraîner l'apparition d'un coma hypoglycémique. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
Du fait de la potentialisation de l'effet hypoglycémiant, dans certains cas des hypoglycémies peuvent survenir lors de l'administration concomitante de l'un des médicaments suivants : autres antidiabétiques (insuline, acarbose, metformine, thiazolidinediones, inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4, agonistes des récepteurs GLP-1), bêta-bloquants, fluconazole, inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (captopril, énalapril), antagonistes des récepteurs -H2, IMAO, sulfamides, clarithromycine et anti-inflammatoires non stéroïdiens.
Les produits ci-dessous peuvent provoquer une augmentation de la glycémie :
Associations déconseillées
+ Danazol
Effet diabétogène du danazol.
Si l'association ne peut pas être évitée, prévenir le patient et souligner l'importance de la surveillance du taux de glucose sanguin et urinaire. Il peut être nécessaire d'adapter la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par le danazol et après l'arrêt de celui-ci.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Chlorpromazine (neuroleptique)
A doses élevées (> 100 mg par jour de chlorpromazine), augmentation de la glycémie (diminution de la libération d'insuline).
Prévenir le patient et souligner l'importance de la surveillance glycémique. Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par le neuroleptique et après l'arrêt de celui-ci.
+ Glucocorticoïdes (voies systémique et locales : intra-articulaire, cutanée et formulations rectales) et tétracosactide : élévation de la glycémie accompagnée parfois de cétose (diminution de la tolérance aux hydrates de carbone due aux glucocorticoïdes).
Prévenir le patient et souligner l'importance de la surveillance glycémique, notamment en début de traitement. Il peut être nécessaire d'adapter la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par les glucocorticoïdes et après l'arrêt de celui-ci.
+ Ritodrine, salbutamol, terbutaline (voie intraveineuse)
Elévation de la glycémie due aux effets bêta-2 stimulants.
Renforcer la surveillance glycémique. Si nécessaire, passer à l'insuline.
+ Préparations à base de millepertuis (Hypericum perforatum) :
L'exposition au gliclazide est diminuée par le millepertuis(Hypericum perforatum), d'où l'importance de surveiller la glycémie.
Les produits suivants peuvent provoquer une dysglycémie.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Fluoroquinolones : dans le cas d'une utilisation concomitante de gliclazide avec une fluoroquinolone, le patient doit être prévenu du risque de dysglycémie et la surveillance de la glycémie doit être renforcée.
Associations à prendre en compte
+ Anticoagulants (par exemple warfarine…)
Les sulfamides hypoglycémiants peuvent potentialiser l'effet anticoagulant en cas de traitement concomitant. Une adaptation de la posologie de l'anticoagulant peut être nécessaire.
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TEVA SANTE
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Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE
Laboratoire exploitant : TEVA SANTE
Prix vente TTC : 3.98€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 3.98€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 02/07/2008
Rectificatif AMM : 28/08/2024
Marque : GLICLAZIDE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938564631
Référence LPPR : Aucune
DIAMICRON 30 mg, comprimé à libération modifiée, boîte de 100 (détails indisponibles)
DIAMICRON 30 mg, comprimé à libération modifiée, boîte de 180 (détails indisponibles)
DIAMICRON 30 mg, comprimé à libération modifiée, boîte de 30 (détails indisponibles)
DIAMICRON 30 mg, comprimé à libération modifiée, boîte de 30 (IP) (détails indisponibles)
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