ELIGARD

Principes actifs : Leuproréline acétate

Les gammes de produits

ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

Remboursable

Sur prescription seulement

Cancer de la prostate hormonodépendant avancé

Forme :

 Poudre et solvant pour solution injectable

Catégories :

 Cancérologie et hématologie, Thérapeutique endocrine, Dérivés hormonaux, Analogues de l'hormone entrainant la libération de gonadotrophines, Leuproréline

Principes actifs :

 Leuproréline acétate

Posologie pour ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

Indications

Cancer de la prostate hormonodépendant avancé

Posologie

Adulte Homme de plus de 18 ans . Cancer de la prostate hormonodépendant avancé. Voie SC (implicite)
1 seringue préremplie tous les 3 mois à injecter par voie SC. Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).

Administration

Voie SC

Recommandations patient

Au cours de la première semaine de traitement, il apparaît généralement une brève augmentation du taux de testostérone. Ceci peut entraîner une aggravation temporaire des symptômes liés à la maladie ainsi que la survenue de nouveaux symptômes : douleurs osseuses, troubles urinaires, compression de la moelle épinière ou apparition de sang dans les urines. Ces symptômes cèdent habituellement à la poursuite du traitement. CONTACTER un médecin en cas de persistance des symptômes.

ARRETER le traitement et CONSULTER immédiatement un médecin en cas d'apparition de plaques rougeâtres non surélevées, en forme de cible ou circulaires sur le tronc, souvent avec des cloques centrales, une desquamation de la peau, des aphtes de la bouche, de la gorge, du nez, des organes génitaux et des yeux.

 CONSULTER le médecin en cas de :
- mal de tête soudain, vomissements, état mental altéré qui apparaissent dans les 2 semaines après avoir commencé ce traitement,
- signes de dépression, changement d'humeur,
- convulsions,
- symptômes cardiovasculaires,
- maux de tête sévères et récurrents, troubles visuels et sifflements ou bourdonnements dans l'oreille.

PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (fatigue, vertiges et troubles de la vision).
SPORTIF : substance dopante.


Contre-indications pour ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

  • Antécédent d'orchidectomie
  • Sujet de sexe féminin
  • Patient de moins de 18 ans

Effets indésirables pour ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

Niveau d’apparition des effets indésirables

Très fréquent

Ecchymose

Fatigue

Bouffées de chaleur

Erythème cutané

Brûlure au site d'injection

Paresthésie au site d'injection

Anémie

Asthénie

Diarrhée

Dysurie

Gastro-entérite

Oligurie

Rhinopharyngite

Stérilité masculine

Colite

Myalgie

Arthralgie

Atrophie testiculaire

Malaise

Sensibilité mammaire

Nausée

Hypertrophie mammaire

Douleur au site d'injection

Douleur des membres

Prurit cutané

Nycturie

Douleur testiculaire

Hématome au site d'injection

Picotement au site d'injection

Dysfonction érectile

Sudation nocturne

Miction difficile

Prolongation du temps de coagulation

Diminution de la fréquence de miction

Augmentation de la créatine phosphokinase sanguine

Rigidité musculosquelettique

Perturbation hématologique

Diminution de la taille des organes génitaux

Céphalée

Constipation

Crampe musculaire

Diabète sucré

Dorsalgie

Douleur

Dyspepsie

Fièvre

Gynécomastie

Hématurie

Hypertension

Hypotension

Impuissance

Infection cutanée

Infection des voies urinaires

Insomnie

Prise de poids

Rétention urinaire

Vertige

Dépression

Hypersudation

Dyspnée

Rhinorrhée

Trouble du goût

Sensation vertigineuse

Rêves anormaux

Diminution de la libido

Bouche sèche

Léthargie

Vomissement

Hypo-esthésie

Trouble de l'odorat

Augmentation du temps de prothrombine

Augmentation des triglycérides

Aggravation d'un diabète

Induration au site d'injection

Prurit au site d'injection

Augmentation de l'alanine aminotransférase

Sueur froide

Aggravation de la fréquence urinaire

Spasme de la vessie

Trouble testiculaire

Alopécie

Collapsus

Flatulence

Leucopénie

Thrombopénie

Eruption cutanée

Syncope

Eructation

Douleur mammaire

Ulcération au site d'injection

Mouvements anormaux et involontaires

Infarctus d'une apoplexie pituitaire préexistante

Nécrose au site d'injection

Palpitation

Embolie pulmonaire

Syndrome de Stevens-Johnson

Allongement de l'intervalle QT

Oedème périphérique

Pneumopathie interstitielle

Réaction anaphylactique

Erythème polymorphe

Faiblesse musculaire

Réaction anaphylactoïde

Paresthésie des membres inférieurs

Hypertension intracrânienne bénigne

Dysesthésie

Nécrolyse épidermique toxique

Exacerbation des symptômes urinaires

Faiblesse des membres inférieurs

Irritation au point d'injection

Amnésie

Trouble de la vision

Diminution de la densité osseuse

Aggravation d'ostéoporose

Modification de la tolérance au glucose

Eruption toxique cutanée

Augmentation du risque de fracture


Les effets indésirables observés avec ELIGARD 22.5 mg sont principalement dus à l'action pharmacologique spécifique de l'acétate de leuproréline, à savoir élévations et diminutions des taux de certaines hormones circulantes. Les réactions indésirables les plus fréquemment rapportées sont des bouffées de chaleur, des nausées, un malaise et une fatigue ainsi qu'une irritation locale transitoire au niveau du point d'injection. Des bouffées de chaleur légères à modérées apparaissent chez 58% des patients environ.

Liste tabulée des effets indésirables

Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours des essais cliniques réalisés chez des patients atteints d'un carcinome prostatique à un stade avancé traités par ELIGARD 22,5 mg. Les effets indésirables sont classés, par fréquence : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1 000) et très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

D'autres effets indésirables ont été rapportés en général dans le cas d'un traitement par l'acétate de leuproréline, incluant œdème périphérique, embolie pulmonaire, palpitations, myalgie, faiblesse musculaire, une altération de la sensation cutanée, frissons, éruption cutanée, amnésie et troubles de la vision. Une atrophie musculaire a été observée lors de l'utilisation prolongée de médicaments appartenant à cette classe pharmacologique. Un infarctus d'une apoplexie pituitaire pré-existante a été rarement décrite après administration d'un traitement par agoniste de la GnRH qu'il soit à action immédiate ou prolongée. De rares cas de leucopénie et de thrombopénie ont été signalés. Des modifications de la tolérance au glucose ont été rapportées.

Des convulsions ont été rapportées suite à l'administration d'un agoniste/analogue de la GnRH (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

Les événements indésirables locaux rapportés après injection d'ELIGARD 22,5 mg sont similaires à ceux associés à des produits similaires injectés par voie sous-cutanée.

Généralement, ces événements indésirables localisés survenant après une injection sous-cutanée sont légers et décrits comme étant de courte durée.

De rares cas de réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes ont été rapportés après l'administration d'un agoniste/analogue de la GnRH.

Variations de la densité osseuse

Une diminution de la densité osseuse a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes ayant subi une orchidectomie ou ceux traités par un analogue de la GnRH. Il est probable qu'un traitement à long terme par leuproréline révèle des signes d'aggravation d'ostéoporose, en ce qui concerne l'augmentation du risque de fracture d'origine ostéoporotique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

Exacerbation des signes et symptômes de la maladie

Le traitement par l'acétate de leuproréline peut entraîner une exacerbation des signes et symptômes de la maladie au cours des premières semaines de traitement. Une aggravation des affections telles que métastases vertébrales et/ou obstruction urinaire ou hématurie peut faire apparaître des problèmes neurologiques tels que faiblesse et/ou paresthésies des membres inférieurs ou une aggravation des symptômes urinaires.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.

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Mise en garde pour ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

Mise en garde

Reconstitution correcte du médicament : Des cas d'erreur de manipulation pouvant se produire à n'importe quelle étape du processus de préparation et pouvant conduire à un manque d'efficacité ont été rapportés. Les instructions de reconstitution et d'administration doivent être strictement respectées (voir la rubrique Précautions particulières d’élimination et de manipulation). En cas d'erreur de manipulation suspectée ou avérée, le patient doit faire l'objet d'une surveillance adéquate (voir la rubrique Posologie et mode d'administration).

Un traitement par suppression androgénique peut allonger l'intervalle QT.

Chez les patients présentant des antécédents ou des facteurs de risques de l'allongement de l'intervalle QT, et chez les patients recevant de manière concomitante des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions), les médecins doivent évaluer le rapport bénéfice / risque en prenant en compte le risque potentiel de torsades de pointes avant l'initiation du traitement par Eligard 22,5 mg.

Maladies cardiovasculaires : une augmentation du risque d'infarctus du myocarde, de mort subite par arrêt cardiaque et d'accident vasculaire cérébral ont été rapportés lors de l'utilisation d'agonistes de la GnRH chez certains patients. Le risque semble faible sur la base des rapports publiés et devra être évalué attentivement en fonction des facteurs de risque cardiovasculaires des patients atteints d'un cancer de la prostate lors du choix du traitement. L'apparition de symptômes et des signes évocateurs de maladies cardiovasculaires doit être surveillée chez les patients traités par un agoniste de la GnRH et pris en charge, conformément aux recommandations en vigueur.

Élévation transitoire du taux de testostérone : L'acétate de leuproréline, comme les autres agonistes de la GnRH, entraîne une élévation transitoire des concentrations sériques de testostérone, de dihydrotestostérone et des phosphatases acides pendant la première semaine de traitement. Les patients peuvent présenter une aggravation des symptômes ou voir apparaître de nouveaux symptômes tels que douleurs osseuses, neuropathie, hématurie, obstruction urétérale ou vésicale (voir rubrique Effets indésirables). Ces symptômes disparaissent habituellement à la poursuite du traitement.

L'administration associée d'un anti-androgène approprié doit être envisagée en commençant 3 jours avant le traitement par leuproréline et en poursuivant pendant les deux à trois premières semaines de traitement. Il a été observé que ces modalités permettent de prévenir les conséquences d'une augmentation initiale de testostérone sérique.

Après castration chirurgicale, ELIGARD 22,5 mg n'entraîne pas de diminution supplémentaire de la testostéronémie chez les sujets masculins.

Densité osseuse : Une diminution de la densité osseuse a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes ayant subi une orchidectomie ou ayant été traités par un agoniste de la GnRH (voir rubrique Effets indésirables).

Le traitement anti-androgène augmente de façon significative le risque de fractures secondaires à une ostéoporose. Il n'existe qu'un nombre limité de données à ce sujet. Des fractures secondaires à une ostéoporose ont été observées chez 5% des patients après 22 mois de traitement pharmacologique de privation androgénique et chez 4% des patients après 5 à 10 ans de traitement. Le risque de fractures d'origine ostéoporotique est généralement plus élevé que le risque de fractures pathologiques. En dehors d'un déficit prolongé en testostérone, un âge avancé, le tabagisme et la consommation de boissons alcoolisées, l'obésité et le manque d'exercice physique peuvent aussi favoriser le développement d'une ostéoporose.

Apoplexie pituitaire :Lors de la surveillance après la commercialisation, de rares cas d'apoplexie pituitaire (un syndrome clinique secondaire à un infarctus de la glande pituitaire) ont été rapportés après l'administration d'agonistes de la GnRH, la majorité survenant dans les 2 semaines suivant la première administration, et certaines dans la première heure. Dans ces cas, l'apoplexie pituitaire s'est manifestée sous la forme d'une céphalée soudaine, de vomissements, de troubles de la vision, d'ophtalmoplégie, d'un état mental altéré, et parfois d'un collapsus cardiovasculaire. Une prise en charge médicale immédiate est requise.

Modifications métaboliques : Une hyperglycémie et un risque accru d'apparition d'un diabète ont été rapportés chez des hommes recevant des agonistes de la GnRH. L'hyperglycémie est susceptible d'être liée à l'apparition d'un diabète sucré ou à la dégradation du contrôle glycémique chez les patients diabétiques. La glycémie et/ou le taux d'hémoglobine glycosylée (HbA1c) doivent être surveillés périodiquement chez les patients recevant un agoniste de la GnRH, et ces derniers doivent être pris en charge en suivant les pratiques en vigueur en ce qui concerne le traitement de l'hyperglycémie ou du diabète. Les modifications métaboliques liées aux agonistes de la GnRH peuvent également inclure la stéatose hépatique.

Convulsions : Des cas de convulsions ont été signalés après la commercialisation chez des patients traités par acétate de leuproréline avec ou sans antécédents de facteurs prédisposants. Ces convulsions doivent être prises en charge selon la pratique clinique actuelle.

Hypertension intracrânienne idiopathique : Des cas d'hypertension intracrânienne idiopathique (méningite séreuse) ont été rapportés chez des patients recevant de la leuproréline. Les patients doivent être avertis de la possibilité de signes et symptômes d'hypertension intracrânienne idiopathique, notamment des céphalées sévères ou récurrentes, de troubles visuels et d'acouphènes. En présence d'une hypertension intracrânienne idiopathique, l'interruption du traitement par leuproréline doit être envisagée.

Réactions indésirables cutanées sévères : Des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), et la nécrolyse épidermique toxique (NET, ou syndrome de Lyell), qui peuvent engager le pronostic vital ou être fatals, ont été rapportés en association avec le traitement par leuproréline. Au moment de la prescription, les patients doivent être informés des signes et symptômes, et surveillés étroitement en cas de réactions cutanées graves. En cas d'apparition de signes et symptômes évocateurs de ces réactions, le traitement par leuproréline doit être arrêté immédiatement et un autre traitement doit être envisagé (le cas échéant).

Autres événements : Des cas d'obstruction urétérale et de compression médullaire susceptibles d'entraîner une paralysie avec ou sans complications fatales, ont été rapportés avec les agonistes de la GnRH. L'apparition d'une compression médullaire ou d'une insuffisance rénale impose l'instauration d'un traitement standard de ces complications.

Les patients ayant des métastases vertébrales et/ou cérébrales ainsi que les patients ayant une obstruction des voies urinaires devront être étroitement surveillés pendant les premières semaines de traitement.

Précautions d'emploi

Antécédent de QT long

Risque d'allongement de l'intervalle QT

Facteurs de risque cardiovasculaire

Symptomatologie cardiovasculaire

Facteurs de risque d'ostéoporose

Sujet âgé

Obésité

Apoplexie pituitaire

Hyperglycémie

Convulsions

Hypertension intracrânienne idiopathique

Réaction cutanée sévère

Manifestations de réaction cutanée sévère

Compression médullaire

Insuffisance rénale

Métastase cérébrale

Métastase vertébrale

Obstruction des voies urinaires

Insuffisance hépatique

Aptitude à conduire

Les effets d'ELIGARD 22,5 mg sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés.

La fatigue, les vertiges et les troubles de la vision étant des effets indésirables possibles du traitement ou la conséquence de la maladie sous-jacente, l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines peut être altérée.

Interaction avec d'autre médicaments

Aucune étude pharmacocinétique d'interaction médicamenteuse n'a été réalisée avec ELIGARD 22,5 mg. Il n'existe aucune description d'éventuelles interactions de l'acétate de leuproréline avec d'autres médicaments.

Le traitement par suppression androgénique étant susceptible d'allonger l'intervalle QT, l'utilisation concomitante d'Eligard 22,5 mg avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT, ou des médicaments capables d'induire des torsades de pointes tels que les antiarythmiques de classe IA (par exemple quinidine, disopyramide) ou de classe III (par exemple amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), la méthadone, la moxifloxacine, les antipsychotiques, etc. doit être évaluée avec précaution (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Informations complémentaires pour ELIGARD 22,5 mg pdr+solv pr sol inj

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Eligard : : poster de bon usage (nouvelle présentation)

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Eligard : poster de bon usage (présentation qui ne sera plus disponible à partir de septembre 2024)

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Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur

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ELIGARD (ACETATE DE LEUPRORELINE) : réévaluation des conditions de prescription et de délivrance

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ELIGARD®, poudre et solvant pour solution injectable (acétate de leuproréline) : risque de manque d'efficacité en cas d'erreurs lors de la reconstitution et de l'administration

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retour d'information sur le PRAC de novembre 2014

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Excipients

Solvant (seringue A) : Poly (DL lactide-co-glycolide), N-méthylpyrrolidone

Exploitant / Distributeur

BOUCHARA RECORDATI

Tour Hekla 52 Avenue du Général de Gaulle

92800

PUTEAUX

Code UCD7 : 9281561

Code UCD13 : 3400892815619

Code CIS : 60639255

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : RECORDATI INDUSTRIA CHIMI

Laboratoire exploitant : BOUCHARA RECORDATI

Prix vente TTC : 278.34€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 278.34€

Taux SS : 100%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH1

Date AMM : 25/03/2005

Rectificatif AMM : 05/03/2025

Marque : ELIGARD

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400936690929

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

ELIGARD 22,5 mg, poudre et solvant pour solution injectable, boîte de 1 seringue de poudre (+ seringue de solvant) de 22,50 mg (IP)

Poudre et solvant pour solution injectable

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