DOLIRHUME
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé
Catégories :
Oto-rhino-laryngologie, Médicaments du rhume, Voie orale, Médicament du rhume en association, Paracétamol + Pseudoéphédrine
Principes actifs :
Paracétamol, Pseudoéphédrine chlorhydrate
Rhume
Adulte . Rhume (implicite)
2 comprimés 3 fois par jour à intervalles minimum de 4 heures pendant 5 jours. Maximum 6 comprimés par jour.
A avaler avec un verre d'eau.
Voie orale
Ce médicament contient du paracétamol. D'autres médicaments en contiennent. Ne pas les associer, afin de ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée.
ARRETER LE TRAITEMENT ET PREVENIR IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de :
- Sensation d'accélération des battements du coeur, palpitations, douleurs dans la poitrine, apparition ou augmentation de maux de tête, nausées, troubles du comportement, augmentation de la tension artérielle.
- Douleur abdominale soudaine ou saignements par l'anus.
- Perte soudaine de la vision.
- Survenue d'une éruption ou rougeur cutanée ou réaction allergique pouvant se manifester par un brusque gonflement du visage et du cou pouvant entraîner une difficulté à respirer ou par un malaise brutal avec chute de la pression artérielle.
- Rougeur se généralisant à tout le corps, associée à des pustules et pouvant être accompagnée de fièvre
CONSULTER LE MEDECIN en cas :
- D'écoulement du nez épais à jaunâtre, de persistance de la fièvre, d'absence d'amélioration au bout de 5 jours de traitement.
- De saignements du nez ou des gencives.
PREVENIR L'ANESTHESISTE en cas d'intervention chirurgicale programmée.
EVITER de consommer des boissons alcoolisées pendant le traitement.
PREVENIR LE MEDECIN de la prise de ce médicament en cas d'analyse de sang pour mesurer le taux d'acide urique ou le taux de sucre.
SPORTIFS : substance dopante.
Accident vasculaire cérébral hémorragique
Leucopénie
Thrombopénie
Neutropénie
Agitation
Anémie hémolytique
Anxiété
Céphalée
Convulsions
Dysurie
Hépatite aiguë
Hypertension
Infarctus du myocarde
Insomnie
Irritabilité
Nausées et vomissements
Palpitation
Photophobie
Rétention urinaire
Tachycardie
Urticaire
Agranulocytose
Bronchospasme
Troubles du comportement
Hallucinations
Sécheresse buccale
Sueurs
Augmentation des transaminases
Troubles visuels
Exanthème
Atteinte hépatique cytolytique
Crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle
Poussée hypertensive
Nausée
Vomissement
Réaction cutanée sévère
Erythème pigmenté fixe
Prurit cutané
Accident ischémique transitoire
Colite ischémique
Troubles de la pensée
Accident ischémique
Altération de l'état mental
Trouble de la parole
Pustulose exanthématique généralisée
Saute d'humeur
Manifestation maniaque
Syndrome d'Encéphalopathie Postérieure Réversible
Distractibilité
Syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible
Syndrome de Kounis
Neuropathie optique ischémique
Déficit neurologique focal
Acidose pyroglutamique
Céphalée en coup de tonnerre
Phonophobie
Réactions d'hypersensibilité liées à l'un des composants de ce médicament.
Les effets indésirables mentionnés ci-dessous, pouvant survenir avec DOLIRHUME PARACETAMOL ET PSEUDOEPHEDRINE 500 mg/30 mg, comprimé sont listés par classe de systèmes d'organes et par fréquence selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥1/100, <1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000, <1/100) ; rare (≥ 1/10 000, <1/1000) ; très rare (<1/10 000) ; et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Tableau 1 : Effets indésirables liés à la présence de pseudoéphédrine
Tableau 2 : Effets indésirables liés à la présence de paracétamol
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr
Alerte ANSM du 12/02/2024Voir plus
La présence de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement.
Grossesse
Par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictrices de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.
Lié au paracétamol
Une vaste quantité de données portant sur les femmes enceintes démontrent l'absence de toute malformation ou de toute toxicité foetale/néonatale. Les études épidémiologiques consacrées au neurodéveloppement des enfants exposés au paracétamol in utero produisent des résultats non concluants.
Lié à la pseudoéphédrine
Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.
En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine.
Allaitement
La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes de surinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 5 jours, une réévaluation du traitement doit être faite.
Mises en garde spéciales :
En raison de la présence de pseudoéphédrine
· Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (voir rubrique Effets indésirables).
· Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.
· Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète.
· La prise de ce médicament est déconseillée, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activité sympathomimétique indirecte avec les médicaments suivants (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) :
o IMAO-A réversibles.
o Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine).
o Le linézolide (antibiotique IMAO réversible).
· Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.
Par conséquent, il convient notamment :
· de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux… ou en cas d'antécédents convulsifs,
· de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.
Colite ischémique
Des cas de colite ischémique ont été rapportés avec la pseudoéphédrine. Le traitement par pseudoéphédrine doit être interrompu et un avis médical doit être demandé en cas de douleur abdominale soudaine, de rectorragie ou de tout autre symptôme de colite ischémique.
Neuropathie optique ischémique
Des cas de neuropathie optique ischémique ont été rapportés avec la pseudoéphédrine. La pseudoéphédrine doit être arrêtée en cas de perte soudaine de la vision ou de diminution de l'acuité visuelle, comme dans le cas d'un scotome.
Réactions cutanées graves
Des réactions cutanées graves telles que la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) peuvent survenir avec des produits contenant de la pseudoéphédrine. Cette éruption pustuleuse aiguë peut survenir dans les 2 premiers jours de traitement, avec de la fièvre et de nombreuses petites pustules non folliculaires survenant sur un érythème oedémateux étendu, et principalement localisée au niveau des plis cutanés, sur le tronc et les membres supérieurs. Les patients doivent être surveillés attentivement. Si des signes et des symptômes tels qu'une fièvre, un érythème ou de nombreuses petites pustules sont observés, l'administration de DOLIRHUME PARACETAMOL ET PSEUDOEPHEDRINE 500 mg/30 mg, comprimé doit être interrompue et des mesures appropriées doivent être prises si nécessaire.
En raison de la présence de paracétamol
Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments.
Chez l'adulte et l'enfant de moins de 50 kg, LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 3 GRAMMES PAR JOUR (voir rubrique Surdosage).
Chez l'adulte et l'enfant de plus de 50 kg, LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 4 GRAMMES PAR JOUR (voir rubrique Surdosage).
Liée à la présence d'excipients à effet notoire
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Ce médicament contient une très faible teneur en gluten (provenant de l'amidon de blé). Il est donc peu susceptible d'entraîner des problèmes en cas de maladie coeliaque.
Un comprimé ne contient pas plus de 6 microgrammes de gluten.
Les patients avec une allergie au blé (différente de la maladie coeliaque), ne doivent pas prendre ce médicament (voir rubrique Contre-indications).
Précautions d'emploi :
En raison de la présence de paracétamol
L'administration de paracétamol peut exceptionnellement entrainer une toxicité hépatique, même à dose thérapeutique, après un traitement de courte durée et chez des patients sans antécédent de troubles hépatiques (voir rubrique Effets indésirables).
Le paracétamol est à utiliser avec précaution sans dépasser 3 g/jour dans les situations suivantes (voir rubrique Posologie et mode d'administration) :
· poids < 50 kg,
· insuffisance hépatocellulaire légère à modérée,
· insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) (voir aussi rubrique Propriétés pharmacocinétiques),
· alcoolisme chronique,
· déshydratation,
· réserves basses en glutathion telles que par exemple malnutrition chronique, jeûne, amaigrissement récent, sujet âgé de plus de 75 ans ou de plus de 65 ans et polypathologique, hépatite virale chronique et VIH, mucoviscidose, cholémie familiale (Maladie de Gilbert)
· allergie à l'aspirine et/ou aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
La consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée.
En cas de sevrage récent d'un alcoolisme chronique, le risque d'atteinte hépatique est majoré.
En cas de découverte d'une hépatite virale aiguë, il convient d'arrêter le traitement.
La prudence est recommandée en cas d'administration concomitante de paracétamol et de flucloxacilline en raison d'un risque accru d'acidose métabolique à trou anionique élevé (AMTAE), en particulier chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, de septicémie, de malnutrition et d'autres sources de déficit en glutathion (par exemple, alcoolisme chronique), ainsi que chez ceux qui utilisent des doses quotidiennes maximales de paracétamol. Une surveillance étroite, incluant la mesure de la 5-oxoproline urinaire, est recommandée.
Alerte ANSM du
12/02/2024
Des cas de syndrome d’encéphalopathie postérieure réversible PRES
(syndrome d’encéphalopathie postérieure reversible) et de syndrome de
vasoconstriction cérébrale réversible RCVS (syndrome de
vasoconstriction cérébrale reversible), qui sont des affections graves
affectant les vaisseaux sanguins cérébraux, ont été rapportés chez des
patients prenant des médicaments contenant de la pseudoéphédrine. La
plupart de ces cas se sont résolus après l'arrêt du traitement et une
prise en charge appropriée. Aucun cas d’évolution fatale de PRES ou de
RCVS n’a été signalé.
Les patients doivent être avertis de la nécessité d'arrêter
immédiatement d’utiliser ces médicaments et de consulter un médecin si
des signes ou des symptômes de PRES ou de RCVS apparaissent.
Fièvre élevée
Fièvre persistante
Surinfection
Hypertension artérielle
Tachycardie
Palpitation
Arythmie
Trouble neurologique
Affection cardiaque
Hyperthyroïdie
Psychose
Diabète
Douleur abdominale
Rectorragie
Colite ischémique
Perte soudaine de la vision
Diminution de l'acuité visuelle
Scotome
Manifestations de la pustulose exanthématique aiguë
Adulte de moins de 50 kg
Insuffisance hépatocellulaire légère à modérée
Alcoolisme chronique
Déshydratation
Malnutrition chronique
Jeûne
Amaigrissement
Sujet âgé de plus de 65 ans
Sujet polymédiqué
Hépatite virale
VIH positif
Mucoviscidose
Syndrome de Gilbert
Sevrage alcoolique
Déficit en G6PD
Réaction d'hypersensibilité
Consommation d'alcool
Syndrome d'Encéphalopathie Postérieure Réversible
Syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible
Manifestation de syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible
Manifestations du syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible
Ischémie cardiaque
Ischémie cérébrovasculaire
Liées à la présence de paracétamol
Interactions avec les examens paracliniques :
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux : antivitamines K (AVK)
Risque d'augmentation de l'effet des AVK et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.
+ Flucloxacilline
Il convient d'être prudent lors de l'utilisation concomitante de paracétamol et de flucloxacilline, car la prise simultanée a été associée à une acidose métabolique à trou anionique élevé, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).Liées à la présence de pseudoéphédrine
Associations contre-indiquées
+ IMAOirréversibles (iproniazide, phénelzine)
Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.
+ Autres sympathomimétiques indirects (bupropion, cafédrine, éphédrine, méthylphénidate, phényléphrine (alias néosynéphrine), pseudoéphédrine, théodrénaline)
Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
+ Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale) (étiléfrine, midodrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine, synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Associations déconseillées
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ IMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène (bleu de méthylène, linézolide, moclobemide, tédizolide)
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Association faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anesthésiques volatils halogénés
Poussée hypertensive préopératoire.
En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.
Pseudoephedrine : fiche-patient
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OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS
157 Av Charles de Gaulle
92200
NEUILLY SUR SEINE
Code UCD7 : 9201533
Code UCD13 : 3400892015330
Code CIS : 65089833
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS
Laboratoire exploitant : OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS
Prix vente TTC : Non communiqué
Taux de TVA : 10%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 0€
Taux SS : 0%
Agréments collectivités : Non
Code acte pharmacie : PHN
Date AMM : 24/07/1996
Rectificatif AMM : 31/05/2023
Marque : DOLIRHUME
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400934125591
Référence LPPR : Aucune
RHUMAGRIP, comprimé, boîte de 16
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