DOLIRHUME

Principes actifs : Paracétamol

Les gammes de produits

DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

Non remboursé

Sur prescription seulement

Rhume

Forme :

 Comprimé

Catégories :

 Oto-rhino-laryngologie, Médicaments du rhume, Voie orale, Médicament du rhume en association, Paracétamol + Pseudoéphédrine

Principes actifs :

 Paracétamol, Pseudoéphédrine chlorhydrate

Posologie pour DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

Indications

Rhume

Posologie

Adulte . Rhume (implicite)
2 comprimés 3 fois par jour à intervalles minimum de 4 heures pendant 5 jours. Maximum 6 comprimés par jour. A avaler avec un verre d'eau.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

Ce médicament contient du paracétamol. D'autres médicaments en contiennent. Ne pas les associer, afin de ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée.

ARRETER LE TRAITEMENT ET PREVENIR IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de :

- Sensation d'accélération des battements du coeur, palpitations, douleurs dans la poitrine, apparition ou augmentation de maux de tête, nausées, troubles du comportement, augmentation de la tension artérielle.

- Douleur abdominale soudaine ou saignements par l'anus.

- Perte soudaine de la vision.

- Survenue d'une éruption ou rougeur cutanée ou réaction allergique pouvant se manifester par un brusque gonflement du visage et du cou pouvant entraîner une difficulté à respirer ou par un malaise brutal avec chute de la pression artérielle.

- Rougeur se généralisant à tout le corps, associée à des pustules et pouvant être accompagnée de fièvre

CONSULTER LE MEDECIN en cas :

- D'écoulement du nez épais à jaunâtre, de persistance de la fièvre, d'absence d'amélioration au bout de 5 jours de traitement.

- De saignements du nez ou des gencives.

PREVENIR L'ANESTHESISTE en cas d'intervention chirurgicale programmée.

EVITER de consommer des boissons alcoolisées pendant le traitement.

PREVENIR LE MEDECIN de la prise de ce médicament en cas d'analyse de sang pour mesurer le taux d'acide urique ou le taux de sucre.

SPORTIFS : substance dopante.


Contre-indications pour DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

  • Patient de moins de 15 ans
  • Antécédent d'accident vasculaire cérébral
  • Risque d'accident vasculaire cérébral
  • Hypertension artérielle sévère
  • Hypertension artérielle mal équilibrée
  • Insuffisance coronarienne sévère
  • Prédisposition au glaucome à angle fermé
  • Rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques
  • Antécédent de convulsion
  • Insuffisance hépatocellulaire sévère
  • Allaitement
  • Maladie rénale
  • Intolérance au lactose
  • Grossesse

Effets indésirables pour DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

Niveau d’apparition des effets indésirables

Rare

Choc anaphylactique

Oedème de Quincke

Urticaire allergique

Réaction d'hypersensibilité

Erythème cutané

Rash cutané

Accident vasculaire cérébral hémorragique

Leucopénie

Thrombopénie

Neutropénie

Agitation

Anémie hémolytique

Anxiété

Céphalée

Convulsions

Dysurie

Hépatite aiguë

Hypertension

Infarctus du myocarde

Insomnie

Irritabilité

Nausées et vomissements

Palpitation

Photophobie

Rétention urinaire

Tachycardie

Urticaire

Agranulocytose

Bronchospasme

Troubles du comportement

Hallucinations

Sécheresse buccale

Sueurs

Augmentation des transaminases

Troubles visuels

Exanthème

Atteinte hépatique cytolytique

Crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle

Poussée hypertensive

Nausée

Vomissement

Réaction cutanée sévère

Erythème pigmenté fixe

Prurit cutané

Accident ischémique transitoire

Colite ischémique

Troubles de la pensée

Accident ischémique

Altération de l'état mental

Trouble de la parole

Pustulose exanthématique généralisée

Saute d'humeur

Manifestation maniaque

Syndrome d'Encéphalopathie Postérieure Réversible

Distractibilité

Syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible

Syndrome de Kounis

Neuropathie optique ischémique

Déficit neurologique focal

Acidose pyroglutamique

Céphalée en coup de tonnerre

Phonophobie


Réactions d'hypersensibilité liées à l'un des composants de ce médicament.

Les effets indésirables mentionnés ci-dessous, pouvant survenir avec DOLIRHUME PARACETAMOL ET PSEUDOEPHEDRINE 500 mg/30 mg, comprimé sont listés par classe de systèmes d'organes et par fréquence selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥1/100, <1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000, <1/100) ; rare (≥ 1/10 000, <1/1000) ; très rare (<1/10 000) ; et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Tableau 1 : Effets indésirables liés à la présence de pseudoéphédrine

Tableau 2 : Effets indésirables liés à la présence de paracétamol

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres   Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr

Alerte ANSM du 12/02/2024
De rares cas de syndromes d’encéphalopathie postérieure réversible (PRES) et de syndromes de vasoconstriction cérébrale réversible (RCVS) ont été rapportés avec l’utilisation de médicaments contenant de la pseudoéphédrine :
- PRES :
Le syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible (PRES) peut se manifester par une grande variété de symptômes neurologiques aigus ou subaigus, incluant des maux de tête, des altérations de l'état mental, des crises convulsives, des troubles visuels et/ou des déficits neurologiques focaux. Une apparition aiguë ou subaiguë des symptômes (dans les quelques heures à quelques jours) est typique. Le PRES est généralement réversible ; les symptômes disparaissent en quelques jours ou semaines avec la réduction de la pression sanguine et l’arrêt d’utilisation des médicaments en cause.
- RCVS :
Le syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible (RCVS) se manifeste généralement par une céphalée en coup de tonnerre (une douleur intense atteignant son pic en quelques secondes), habituellement bilatérale, avec un début postérieur suivi d'une douleur diffuse fréquemment accompagnée de nausées, de vomissements, de photophobie et de phonophobie. Des déficits focaux transitoires peuvent être présents chez certains patients. Les complications majeures du syndrome incluent des accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

La présence de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement.

Grossesse

Par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictrices de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.

Lié au paracétamol

Une vaste quantité de données portant sur les femmes enceintes démontrent l'absence de toute malformation ou de toute toxicité foetale/néonatale. Les études épidémiologiques consacrées au neurodéveloppement des enfants exposés au paracétamol in utero produisent des résultats non concluants.

Lié à la pseudoéphédrine

Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.

En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine.

Allaitement

La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.


Mise en garde pour DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

Mise en garde

En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes de surinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 5 jours, une réévaluation du traitement doit être faite.

Mises en garde spéciales :

En raison de la présence de pseudoéphédrine

· Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (voir rubrique Effets indésirables).

· Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.

· Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète.

· La prise de ce médicament est déconseillée, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activité sympathomimétique indirecte avec les médicaments suivants (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) :

o IMAO-A réversibles.

o Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine).

o Le linézolide (antibiotique IMAO réversible).

· Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.

Par conséquent, il convient notamment :

· de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux… ou en cas d'antécédents convulsifs,

· de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.

Colite ischémique

Des cas de colite ischémique ont été rapportés avec la pseudoéphédrine. Le traitement par pseudoéphédrine doit être interrompu et un avis médical doit être demandé en cas de douleur abdominale soudaine, de rectorragie ou de tout autre symptôme de colite ischémique.

Neuropathie optique ischémique

Des cas de neuropathie optique ischémique ont été rapportés avec la pseudoéphédrine. La pseudoéphédrine doit être arrêtée en cas de perte soudaine de la vision ou de diminution de l'acuité visuelle, comme dans le cas d'un scotome.

Réactions cutanées graves

Des réactions cutanées graves telles que la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) peuvent survenir avec des produits contenant de la pseudoéphédrine. Cette éruption pustuleuse aiguë peut survenir dans les 2 premiers jours de traitement, avec de la fièvre et de nombreuses petites pustules non folliculaires survenant sur un érythème oedémateux étendu, et principalement localisée au niveau des plis cutanés, sur le tronc et les membres supérieurs. Les patients doivent être surveillés attentivement. Si des signes et des symptômes tels qu'une fièvre, un érythème ou de nombreuses petites pustules sont observés, l'administration de DOLIRHUME PARACETAMOL ET PSEUDOEPHEDRINE 500 mg/30 mg, comprimé doit être interrompue et des mesures appropriées doivent être prises si nécessaire.

En raison de la présence de paracétamol

Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments.

Chez l'adulte et l'enfant de moins de 50 kg, LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 3 GRAMMES PAR JOUR (voir rubrique Surdosage).

Chez l'adulte et l'enfant de plus de 50 kg, LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 4 GRAMMES PAR JOUR (voir rubrique Surdosage).

Liée à la présence d'excipients à effet notoire

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).

Ce médicament contient une très faible teneur en gluten (provenant de l'amidon de blé). Il est donc peu susceptible d'entraîner des problèmes en cas de maladie coeliaque.

Un comprimé ne contient pas plus de 6 microgrammes de gluten.

Les patients avec une allergie au blé (différente de la maladie coeliaque), ne doivent pas prendre ce médicament (voir rubrique Contre-indications).

Précautions d'emploi :

En raison de la présence de paracétamol

L'administration de paracétamol peut exceptionnellement entrainer une toxicité hépatique, même à dose thérapeutique, après un traitement de courte durée et chez des patients sans antécédent de troubles hépatiques (voir rubrique Effets indésirables).

Le paracétamol est à utiliser avec précaution sans dépasser 3 g/jour dans les situations suivantes (voir rubrique Posologie et mode d'administration) :

· poids < 50 kg,

· insuffisance hépatocellulaire légère à modérée,

· insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) (voir aussi rubrique Propriétés pharmacocinétiques),

· alcoolisme chronique,

· déshydratation,

· réserves basses en glutathion telles que par exemple malnutrition chronique, jeûne, amaigrissement récent, sujet âgé de plus de 75 ans ou de plus de 65 ans et polypathologique, hépatite virale chronique et VIH, mucoviscidose, cholémie familiale (Maladie de Gilbert)

· allergie à l'aspirine et/ou aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

La consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée.

En cas de sevrage récent d'un alcoolisme chronique, le risque d'atteinte hépatique est majoré.

En cas de découverte d'une hépatite virale aiguë, il convient d'arrêter le traitement.

La prudence est recommandée en cas d'administration concomitante de paracétamol et de flucloxacilline en raison d'un risque accru d'acidose métabolique à trou anionique élevé (AMTAE), en particulier chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, de septicémie, de malnutrition et d'autres sources de déficit en glutathion (par exemple, alcoolisme chronique), ainsi que chez ceux qui utilisent des doses quotidiennes maximales de paracétamol. Une surveillance étroite, incluant la mesure de la 5-oxoproline urinaire, est recommandée.

Alerte ANSM du 12/02/2024
Des cas de syndrome d’encéphalopathie postérieure réversible PRES (syndrome d’encéphalopathie postérieure reversible) et de syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible RCVS (syndrome de vasoconstriction cérébrale reversible), qui sont des affections graves affectant les vaisseaux sanguins cérébraux, ont été rapportés chez des patients prenant des médicaments contenant de la pseudoéphédrine. La plupart de ces cas se sont résolus après l'arrêt du traitement et une prise en charge appropriée. Aucun cas d’évolution fatale de PRES ou de RCVS n’a été signalé.
Les patients doivent être avertis de la nécessité d'arrêter immédiatement d’utiliser ces médicaments et de consulter un médecin si des signes ou des symptômes de PRES ou de RCVS apparaissent.

Précautions d'emploi

Fièvre élevée

Fièvre persistante

Surinfection

Hypertension artérielle

Tachycardie

Palpitation

Arythmie

Trouble neurologique

Affection cardiaque

Hyperthyroïdie

Psychose

Diabète

Douleur abdominale

Rectorragie

Colite ischémique

Perte soudaine de la vision

Diminution de l'acuité visuelle

Scotome

Manifestations de la pustulose exanthématique aiguë

Adulte de moins de 50 kg

Insuffisance hépatocellulaire légère à modérée

Alcoolisme chronique

Déshydratation

Malnutrition chronique

Jeûne

Amaigrissement

Sujet âgé de plus de 65 ans

Sujet polymédiqué

Hépatite virale

VIH positif

Mucoviscidose

Syndrome de Gilbert

Sevrage alcoolique

Déficit en G6PD

Réaction d'hypersensibilité

Consommation d'alcool

Syndrome d'Encéphalopathie Postérieure Réversible

Syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible

Manifestation de syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible

Manifestations du syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible

Ischémie cardiaque

Ischémie cérébrovasculaire

Interaction avec d'autre médicaments

Liées à la présence de paracétamol

Interactions avec les examens paracliniques :

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Anticoagulants oraux : antivitamines K (AVK)

Risque d'augmentation de l'effet des AVK et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.

+ Flucloxacilline

Il convient d'être prudent lors de l'utilisation concomitante de paracétamol et de flucloxacilline, car la prise simultanée a été associée à une acidose métabolique à trou anionique élevé, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).Liées à la présence de pseudoéphédrine

Associations contre-indiquées

+ IMAOirréversibles (iproniazide, phénelzine) 

Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.

+ Autres sympathomimétiques indirects (bupropion, cafédrine, éphédrine, méthylphénidate, phényléphrine (alias néosynéphrine), pseudoéphédrine, théodrénaline) 

Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.

+ Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale) (étiléfrine, midodrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine, synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane) 

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations déconseillées

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine) 

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ IMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène (bleu de méthylène, linézolide, moclobemide, tédizolide) 

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Association faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Anesthésiques volatils halogénés

Poussée hypertensive préopératoire.

En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.


Informations complémentaires pour DOLIRHUME PARACET PSEUDOEPHEDR 500 mg/30 mg cp

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Excipients

Amidon de blé, Amidon de pomme de terre, Carboxyméthylamidon sodique, Lactose, Magnésium stéarate

Exploitant / Distributeur

OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS

157 Av Charles de Gaulle

92200

NEUILLY SUR SEINE

Code UCD7 : 9201533

Code UCD13 : 3400892015330

Code CIS : 65089833

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS

Laboratoire exploitant : OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS

Prix vente TTC : Non communiqué

Taux de TVA : 10%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 0€

Taux SS : 0%

Agréments collectivités : Non

Code acte pharmacie : PHN

Date AMM : 24/07/1996

Rectificatif AMM : 31/05/2023

Marque : DOLIRHUME

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400934125591

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

RHUMAGRIP, comprimé, boîte de 16

Comprimé

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