DEFANYL
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Antidépresseurs, Antidépresseurs imipraminiques, Antidépresseurs imipraminiques seuls, Amoxapine
Principes actifs :
Amoxapine
Episode dépressif majeur
Sujet âgé . Traitement initial. Episode dépressif majeur (implicite)
1 comprimé au coucher à avaler avec un peu d'eau.
Sujet âgé . Traitement d'entretien. Episode dépressif majeur
8 comprimés au coucher à avaler avec un peu d'eau.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement d'entretien. Episode dépressif majeur (implicite)
8 comprimés au coucher à avaler avec un peu d'eau.
Voie orale
ARRETER
LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de forte
fièvre, rigidité des muscles, rythme irrégulier ou rapide du cœur ou du
pouls.
CONTACTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas d'aggravation de la maladie,
d'apparition d'idées/comportements suicidaires ou d'automutilation et
de tout changement anormal du comportement.
CONTACTER UN MEDECIN en cas de :
- idées abondantes et très changeantes, gaieté exagérée et activité physique excessive.
- mouvements incontrôlés tels que des grimaces, tirer la langue, se
lécher ou plisser les lèvres, des clignements rapides des paupières ou
des mouvements rapides des jambes, des bras ou des doigts.
PREVENIR l'anesthésiste ou le dentiste de la prise de ce médicament avant toute anesthésie générale ou locale.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines
(possibilité de diminution des facultés mentales et physiques
nécessaires à l'exécution de certaines tâches dangereuses).
EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool au cours du traitement.
Hyperhidrose
Hyperprolactinémie
Etat confusionnel
Tremblement
Vision floue
Dermatite allergique
Hyperactivité psychomotrice
Galactorrhée
Gynécomastie
Hépatite
Hypotension orthostatique
Leucopénie
Prise de poids
Rétention urinaire
Tachycardie
Agranulocytose
Syncope
Dyskinésie tardive
Syndrome malin des neuroleptiques
Troubles de l'accommodation
Augmentation des enzymes hépatiques
Dystonie
Akathisie
Crise d'épilepsie
Manie
Troubles extrapyramidaux
Thrombopénie
Troubles de la conduction
Idée suicidaire
Arythmie
Délire
Dysarthrie
Eosinophilie
Sédation
Hépatite cholestatique
Bouffées de chaleur
Syndrome sérotoninergique
Troubles de la miction
Comportement suicidaire
Dysfonction érectile
Changement de l'humeur
Désinhibition
Le tableau ci-dessous liste les effets indésirables signalés spontanément. Les effets indésirables ont été classés par terme préférentiel MedDRA, classe de systèmes d'organes et fréquence.
Les fréquences sont définies ainsi : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Tableau des effets indésirables :
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://www.signalement.social-sante.gouv.fr/
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Grossesse
Le maintien d'un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout au long de la grossesse. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse et si possible en monothérapie.
A ce jour, si les données sont très limitées pour l'amoxapine, elles semblent exclure un risque malformatif particulier des antidépresseurs imipraminiques. Chez les nouveau-nés de mères traitées en fin de grossesse par un antidépresseur imipraminique, des signes d'imprégnation (notamment atropiniques) et/ou de sevrage ont parfois été décrits :
· troubles neurologiques dans la première semaine de vie (hypotonie, hyperexcitabilité, trémulations, voire exceptionnellement convulsions) ;
· troubles respiratoires (polypnée, accès de cyanose, voire exceptionnellement détresse respiratoire) ;
· troubles digestifs (difficulté de mise en route de l'alimentation, retard à l'émission du méconium et distension abdominale).
Tous ces signes apparaissent dans les premiers jours de vie et sont le plus souvent de courte durée et peu sévères.
Compte tenu de ces données, il est préférable d'éviter d'utiliser l'amoxapine au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. Toutefois un traitement ne doit pas être arrêté brutalement afin d'éviter un risque de sevrage pour la mère. S'il s'avère indispensable d'instaurer ou de maintenir un traitement par amoxapine au cours de la grossesse, tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.
Allaitement
Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible ; néanmoins, par mesure de précaution, l'allaitement est à éviter pendant la durée du traitement.
Mises en garde spéciales
Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l'inhibition psychomotrice pouvant précéder l'action antidépressive proprement dite.
De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées, anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à l'arrêt du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller tout particulièrement le patient durant cette période.
Précautions d'emploi
Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
L'amoxapine doit être utilisée avec prudence :
· Chez le sujet âgé présentant :
o Une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique et à la sédation,
o Une constipation chronique (risque d'iléus paralytique),
o Une éventuelle hypertrophie prostatique ;
· Chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits ;
· Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique et/ou rénale, en raison du risque de surdosage (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques) ;
· Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson ;· Chez les patients ayant des antécédents connus de symptômes extrapyramidaux.
ConvulsionsLes antidépresseurs tricycliques sont connus pour abaisser le seuil épileptogène, de ce fait DEFANYL doit être utilisé avec précaution chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d'épilepsie, en cas d'administration concomitante de médicaments abaissant le seuil épileptogène (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions la liste des substances concernées). Dans tous les cas, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique. La survenue de crises convulsives impose l'arrêt du traitement.
Utilisation en anesthésie
Les anesthésiques administrés en concomitance avec des antidépresseurs tri et tétracycliques peuvent augmenter le risque d'arythmies et d'hypotension. Avant toute anesthésie générale ou locale, l'anesthésiste doit être informé que le patient est sous traitement par DEFANYL.
Suicides/ idées suicidaires
La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agressions et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début du rétablissement.
Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement, présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées / comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement, et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
Autres effets psychiatriquesDes épisodes hypomaniaques ou maniaques ont été observés lors de traitement par antidépresseurs tricycliques. Si le patient entre en phase maniaque, l'amoxapine doit être arrêtée et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif sera prescrit.
Dyskinésie tardive
En cas d'apparition de signes et de symptômes de dyskinésie tardive chez un patient traité par l'amoxapine, il convient d'envisager l'arrêt du traitement.
Syndrome malin des neuroleptiques
Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est un syndrome potentiellement mortel associé aux traitements antipsychotiques et a également été rapporté avec l'amoxapine. Les signes cliniques du SMN sont l'hyperthermie, la rigidité musculaire, l'altération des facultés mentales, et des signes d'instabilité neurovégétative (instabilité du pouls et de la pression artérielle, tachycardie, hypersudation et arythmies cardiaques). Peuvent s'ajouter des signes tels qu'une élévation des CPK, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale aiguë. Si un patient présente des signes ou des symptômes évoquant un SMN ou une hyperthermie inexpliquée non accompagnée d'autres signes de SMN, l'amoxapine doit être arrêtée.
Effets anticholinergiques
Une diminution de la sécrétion lacrymale et l'accumulation de sécrétions mucoïdes dues aux propriétés anticholinergiques des antidépresseurs tricycliques peuvent entraîner des lésions de l'épithélium cornéen chez les porteurs de lentilles de contact. Chez le sujet âgé, une surveillance clinique régulière sous antidépresseur imipraminique est indispensable en raison d'une sensibilité accrue à l'hypotension orthostatique et à la sédation, ainsi qu'aux effets anti-cholinergiques périphériques et centraux (constipation, iléus paralytique, rétention urinaire, confusion mentale).
Insomnie
Nervosité
Sujet âgé
Affection cardiovasculaire
Insuffisance hépatique
Insuffisance rénale
Maladie de Parkinson
Antécédent de symptômes extrapyramidaux
Epileptique
Antécédent d'épilepsie
Crise convulsive
Anesthésie générale
Anesthésie locale
Antécédent de comportement suicidaire
Idée suicidaire
Patient de 18 à 25 ans
Episode maniaque
Dyskinésie tardive
Syndrome malin des neuroleptiques
Hyperthermie inexpliquée
Port de lentilles de contact
Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à l'exécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d'appareils ou la conduite de véhicules à moteur.
Associations contre-indiquées
+ IMAO non sélectifs
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique*.
Respecter un délai de deux semaines entre l'arrêt de l'IMAO et le début du traitement par l'antidépresseur sérotoninergique, et d'au moins une semaine entre l'arrêt de l'antidépresseur sérotoninergique et le début du traitement par l'IMAO.
*Syndrome sérotoninergique : Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l'arrêt immédiat du traitement.
Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l'apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d'un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l'hospitalisation voire entraîner le décès.
Ces symptômes peuvent être d'ordre :
· psychique (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
· végétatif (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs),
· moteur (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
· digestif (diarrhée).
Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l'apparition de ce syndrome.
+ Sultopride
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes, par addition des effets électrophysiologiques.
Associations déconseillées
+ Alcool
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
+ Clonidine et apparentés
Décrit pour désipramine et imipramine.Inhibition de l'effet antihypertenseur de la clonidine (antagonisme au niveau des récepteurs adrénergiques).
+ IMAO sélectif A (moclobémide, toloxatone)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique*.
(Cf. supra).
Si l'association s'avère nécessaire, surveillance clinique très étroite. Débuter l'association aux posologies minimales recommandées.
+ Sympathomimétiques alpha et bêta : adrénaline, noradrénaline, dopamine pour action systémique par voie parentérale.
Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée de l'adrénaline ou de la noradrénaline dans la fibre sympathique).
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticonvulsivants
Risques de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuil épileptogène par l'antidépresseur).
Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies.
+ Acide valproïque, valpromide
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'antidépresseur.
+ Carbamazépine
Risque de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuil épileptogène par l'antidépresseur) et diminution des concentrations plasmatiques de l'antidépresseur (augmentation de son métabolisme hépatique par l'anticonvulsivant).
Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies.
+ Antidépresseurs sérotoninergiques purs : citalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline.
Augmentation des concentrations plasmatiques des deux antidépresseurs avec risque de convulsions et augmentation des effets indésirables.
En cas d'association, surveillance clinique accrue et, si nécessaire, adaptation posologique (en cas de relais d'un traitement à la fluoxétine par un antidépresseur imipraminique, la posologie initiale sera prudente avec augmentation progressive en raison de la longue demi-vie de la fluoxétine et de son métabolite actif).
+ Sympathomimétiques alpha et bêta : adrénaline pour action hémostatique locale par injections sous-cutanée et gingivale.
Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée de l'adrénaline ou de la noradrénaline dans la fibre sympathique).
Limiter l'apport, par exemple, moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en une heure chez l'adulte.
Associations à prendre en compte
+ Antihypertenseurs (sauf clonidine et apparentés)
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effets additifs).
(Clonidine et apparentés : voir associations déconseillées).
+ Atropine et autres substances atropiniques : antihistaminiques H1 sédatifs, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques.
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche…
+ Autres dépresseurs du système nerveux central (SNC)
Dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines : carbamates, captodiame, étifoxine ; hypnotiques ; neuroleptiques ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide.
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Baclofène
Risque d'augmentation de l'hypotonie musculaire.
+ Guanéthidine : (voie oculaire)
Décrit pour amitryptiline, désipramine, imipramine et maprotiline.
Diminution de l'effet antihypertenseur de la guanéthidine (inhibition de son entrée dans la fibre sympathique, site d'action).
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EISAI
Tour Initiale 1 Terrasse Bellini
92800
PUTEAUX
Code UCD7 : 9130307
Code UCD13 : 3400891303070
Code CIS : 61981016
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : EISAI
Laboratoire exploitant : EISAI
Prix vente TTC : Non communiqué
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 0€
Taux SS : 0%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PHN
Date AMM : 26/02/1979
Rectificatif AMM : 30/11/2022
Marque : DEFANYL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400933086039
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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