CABERGOLINE
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Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé
Catégories :
Endocrinologie, Inhibiteurs de la prolactine, Cabergoline, Gynécologie, Médicaments de la lactation, Blocage de la lactation, Agonistes dopaminergiques, Cabergoline
Principes actifs :
Cabergoline
Inhibition de la lactation pour raison médicale, Hyperprolactinémie, Hyperprolactinémie liée à un adénome hypophysaire, Hyperprolactinémie idiopathique
Adulte de plus de 16 ans . Traitement initial. Hyperprolactinémie
1 comprimé 1 fois par semaine au cours du repas pendant 4 semaines.
Utiliser dans les 30 jours après ouverture.
Adulte de plus de 16 ans . Inhibition de la lactation pour raison médicale
2 comprimés en prise unique au cours du repas.
Adulte de plus de 16 ans . Suppression de la lactation pour raison médicale
½ comprimé 1 fois tous les 12 heures en prise unique au cours du repas pendant 2 jours.
ou ¼ mg 1 fois tous les 12 heures en prise unique au cours du repas pendant 2 jours.
Adulte de plus de 16 ans . Traitement d'entretien à posologie inférieure à 1 mg/semaine. Hyperprolactinémie (implicite)
2 comprimés 1 fois par semaine au cours du repas. Maximum 6 comprimés par semaine.
Utiliser dans les 30 jours après ouverture.
Adulte de plus de 16 ans . Traitement d'entretien à posologie supérieure à 1 mg/semaine. Hyperprolactinémie
3 comprimés 2 fois par semaine au cours du repas. Maximum 6 comprimés par semaine.
Utiliser dans les 30 jours après ouverture.
Voie orale
Constipation
Hypotension orthostatique
Dépression
Diminution de la pression artérielle
Rougeur du visage
Bouffées de chaleur
Vomissement
Augmentation de la libido
Douleur mammaire
Sensation de somnolence
Alopécie
Epistaxis
Oedème
Palpitation
Eruption cutanée
Dyspnée
Oedème périphérique
Paresthésie
Réaction d'hypersensibilité
Baisse de l'hémoglobine
Crampe dans les jambes
Antécédent de syncope
Epanchement pleural
Evanouissement
Hémianopsie
Fibrose
Vasospasme digital
Douleur épigastrique
Crampe dans les doigts
Fibrose pleurale
Agressivité
Angine de poitrine
Insuffisance respiratoire
Pleurésie
Troubles psychotiques
Délire
Fibrose pulmonaire
Trouble respiratoire
Douleur dans la poitrine
Fonction hépatique anormale
Trouble de la vision
Augmentation du tremblement des mains
Endormissement soudain
Hallucination
Jeu pathologique
Hypersexualité
Créatinine phosphokinase sanguine augmentée
En général, les effets indésirables sont dose-dépendants et peuvent être réduits en diminuant progressivement la posologie.
Inhibition de la lactation : près de 14 % des patients présentent des effets indésirables. Les plus fréquents sont une hypotension (12 %), des étourdissements (6 %) et des céphalées (5 %). Un traitement prolongé augmente la fréquence des effets indésirables d'environ 70 %.
Les effets indésirables suivants ont été observés et rapportés lors du traitement par cabergoline avec les fréquences suivantes : très fréquent (= 1/10), fréquent (= 1/100, < 1/10), peu fréquent (= 1/1 000, < 1/100), rare (= 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
* Très fréquent chez les patients traités pour une hyperprolactinémie ; fréquent chez les patientes traitées pour inhibition/suppression de la lactation
** Fréquent chez les patients traités pour une hyperprolactinémie ; peu fréquent chez les patientes traitées pour inhibition/suppression de la lactation
*** Très fréquent chez les patients traités pour une hyperprolactinémie ; peu fréquent chez les patientes traitées pour inhibition/suppression de la lactation
Troubles du contrôle des impulsions
Une dépendance pathologique au jeu, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses ou achats compulsifs, une boulimie et une alimentation compulsive sont possibles chez les patients traités par des agonistes de la dopamine, dont la cabergoline (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Voir plus
Aucune donnée adéquate et bien contrôlée n'est disponible concernant l'utilisation de la cabergoline chez la femme enceinte. Les études chez l'animal n'ont pas démontré d'effets tératogènes mais une diminution de la fertilité et une embryotoxicité ont été observées en association avec l'activité pharmacodynamique (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Grossesse
La cabergoline ne doit être utilisée pendant la grossesse que si cela est clairement indiqué et après l'évaluation précise du rapport bénéfice/risque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace au cours du traitement et pendant au moins un mois après son arrêt.
Seules des données limitées sont disponibles concernant l'utilisation de la cabergoline pendant la grossesse ; toutefois, une dose de 0,5 à 2 mg/semaine pour le traitement des états hyperprolactinémiques n'est apparemmentpas associée à un risque accru d'avortement, d'accouchement prématuré, de grossesses multiples ou de malformations congénitales (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
On dispose d'informations sur 256 grossesses dans le cadre d'une étude observationnelle menée pendant douze ans sur les issues de grossesse après un traitement par cabergoline. Dix-sept de ces 256 grossesses (6,6 %) ont donné lieu à des malformations congénitales majeures ou à un avortement. On dispose d'informations pour 23 nouveau-nés sur 258, atteints de 27 anomalies néonatales au total, tant majeures que mineures. Les malformations musculo-squelettiques représentaient l'anomalie néonatale la plus fréquente (10), suivies des anomalies cardio-pulmonaires (5). Il n'existe pas d'informations concernant les troubles périnataux ou le développement à long terme de nouveau-nés exposés in utero à la cabergoline. Les publications récentes dans la littérature font état d'une prévalence égale à au moins 6,9 % de malformations congénitales majeures dans la population générale. Les taux d'anomalies congénitales varient en fonction des populations. Il n'est pas possible de déterminer avec précision s'il existe un risque accru de malformations congénitales, dans la mesure où aucun groupe témoin n'était inclus.
Une grossesse doit être exclue avant la prise de cabergoline et évitée pendant au moins un mois après la fin du traitement. La demi-vie de la cabergoline étant de 79 à 115 heures chez les patients hyperprolactinémiques, les femmes avec des cycles d'ovulation réguliers doivent arrêter le traitement par cabergoline un mois avant la date de conception prévue. Cela évitera une exposition éventuelle du foetus au médicament et n'affectera pas la possibilité de fertilisation car le cycle d'ovulation se poursuit dans certains cas pendant au moins 6 mois après l'arrêt de la cabergoline. En cas de conception survenant en cours de traitement, le traitement par cabergoline doit être arrêté dès que la grossesse est confirmée afin de limiter/réduire l'exposition du foetus au médicament (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Chez le rat, la cabergoline et/ou ses métabolites sont excrétés dans le lait.
Il n'existe pas de données sur l'excrétion de la cabergoline dans le lait maternel. Cependant, les mères doivent s'abstenir d'allaiter en cas d'échec de l'inhibition/de la suppression de la lactation par la cabergoline. La cabergoline ne doit pas être administrée aux mères ayant des troubles hyperprolactinémiques qui choisissent d'allaiter leurs enfants car elle inhibe la lactation.
Fertilité
La cabergoline restaure l'ovulation et la fertilité chez la femme présentant un hypogonadisme hyperprolactinémique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Généralités
Comme les autres dérivés de l'ergot de seigle, la cabergoline doit être administrée avec prudence chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire sévère, une hypotension, un syndrome de Raynaud, un ulcère gastro-duodénal ou des hémorragies digestives, ou ayant des antécédents de troubles mentaux graves, en particulier psychotiques.
A l'heure actuelle, les effets de l'alcool sur la tolérance générale de la cabergoline ne sont pas connus.
Insuffisance hépatique
L'utilisation de doses moins élevées doit être envisagée chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère qui reçoivent un traitement prolongé avec la cabergoline. Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (classe C de Child-Pugh) recevant une dose unique de 1 mg, une augmentation de l'ASC a été observée, en comparaison avec des volontaires sains ou avec une insuffisance hépatique moins sévère.
Hypotension orthostatique
Une hypotension orthostatique peut survenir suivant l'administration de cabergoline. Une attention particulière s'impose en cas d'administration concomitante de cabergoline avec d'autres médicaments connus pour leurs effets hypotenseurs.
Fibrose et valvulopathie cardiaque et phénomènes cliniques pouvant être apparentés
Des troubles inflammatoires fibrotiques et séreux, par exemple pleurésie, épanchement pleural, fibrose pleurale, fibrose pulmonaire, péricardite, épanchement péricardique, valvulopathie cardiaque touchant une ou plusieurs valvules (aortique, mitrale ou tricuspide) ou fibrose rétro-péritonéale sont survenus après un usage prolongé de dérivés de l'ergot de seigle ayant une activité agoniste sur le récepteur 5HT2B de la sérotonine, comme la cabergoline. Dans certains cas, les symptômes ou manifestations de valvulopathie cardiaque ont régressé après arrêt de la cabergoline.
Une élévation anormale de la vitesse de sédimentation des érythrocytes (VSE) a été observée en association avec l'épanchement pleural/la fibrose. Il est recommandé de pratiquer une radiographie du thorax en cas d'élévations inexpliquées de la VSE à des valeurs anormales.
Les cas de valvulopathie ont été associés à l'administration de doses cumulées ; il convient donc de traiter les patients à la dose efficace minimale. Lors de chaque visite, il convient de réévaluer le rapport bénéfice/risque du traitement par la cabergoline pour le patient afin de déterminer s'il est judicieux de poursuivre le traitement par la cabergoline.
Avant le début d'un traitement à long terme
Tous les patients doivent subir une évaluation cardio-vasculaire, incluant la réalisation d'une échocardiographie afin d'évaluer la présence potentielle d'une pathologie valvulaire asymptomatique. Il est également approprié de déterminer la vitesse de sédimentation des érythrocytes ou de doser d'autres marqueurs de l'inflammation et d'examiner les fonctions pulmonaires, de réaliser une radiographie du thorax et d'évaluer la fonction rénale avant de commencer le traitement.
On ne sait pas si un traitement par la cabergoline est susceptible d'aggraver une régurgitation valvulaire sous-jacente. En cas de pathologie valvulaire fibrotique, ne pas traiter le patient par la cabergoline (voir rubrique Contre-indications).
Au cours d'un traitement à long terme
Les troubles fibrotiques peuvent connaître un début insidieux ; il convient donc de rechercher régulièrement chez les patients des manifestations éventuelles de fibrose progressive.
Aussi pendant le traitement, il conviendra de surveiller les signes et symptômes :
· De maladie pleuro-pulmonaire : dyspnée, essoufflement, toux persistante ou douleur thoracique.
· D'insuffisance rénale ou d'obstruction vasculaire urétérale/abdominale pouvant s'accompagner de douleurs dans les reins/les flancs et d'oedème des membres inférieurs, ainsi que de masses ou de points sensibles dans l'abdomen pouvant indiquer une fibrose rétro-péritonéale.
· D'insuffisance cardiaque ; les cas de fibrose valvulaire et péricardique observés se sont souvent manifestés sous la forme d'une insuffisance cardiaque. Si ce type de symptômes apparaît, il convient d'exclure une fibrose valvulaire (et une péricardite constrictive).
La surveillance diagnostique clinique de l'apparition de troubles fibrotiques est essentielle. Une fois le traitement commencé, le premier échocardiogramme doit être réalisé au bout de 3 à 6 mois. Par la suite, la fréquence du suivi échocardiographique doit être déterminée en fonction de l'évaluation clinique individuelle, en portant l'attention tout particulièrement sur les signes et symptômes mentionnés ci-dessus, mais dans tous les cas, un échocardiogramme doit être réalisé au moins tous les 6 à 12 mois.
L'administration de cabergoline doit être stoppée si l'échocardiogramme révèle l'apparition ou l'aggravation d'une régurgitation valvulaire, d'une restriction valvulaire ou d'un épaississement d'une valve de valvule (voir rubrique Contre-indications).
La nécessité de réaliser des examens de suivi clinique supplémentaires (par exemple examen clinique incluant, auscultation cardiaque attentive, radiographie, échocardiographie, TDM), doit être déterminée au cas par cas.
Des examens complémentaires appropriés, par exemple vitesse de sédimentation des érythrocytes et mesures de la créatinine sérique, doivent être réalisés si nécessaire pour confirmer le diagnostic de trouble fibrotique.
Somnolence/accès d'endormissement
La cabergoline a été associée à des cas de somnolence. Les agonistes dopaminergiques peuvent être associés à des accès de sommeil d'apparition soudaine, notamment chez des patients atteints de maladie de Parkinson. Une réduction de la dose ou une interruption du traitement peuvent être envisagées (voir rubrique Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines).
Inhibition/suppression de la lactation physiologique
Comme les autres dérivés de l'ergot de seigle, la cabergoline ne doit pas être utilisée chez les femmes ayant une hypertension induite par une grossesse, par exemple pré-éclampsie ou hypertension du post-partum sauf si le bénéfice potentiel est supérieur au risque possible.
On ne doit pas dépasser la posologie de 0,25 mg de cabergoline en une prise unique chez la femme allaitante, traitée pour arrêter la lactation afin d'éviter une possible hypotension orthostatique (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Effets indésirables graves chez les femmes en période post-partum
Des événements indésirables graves, notamment hypertension, infarctus du myocarde, convulsions, accident vasculaire cérébral ou troubles psychiatriques, ont été rapportés chez des femmes en période post-partum traitées par cabergoline pour l'inhibition de la lactation. Chez certaines patientes, la survenue de convulsions ou d'un accident vasculaire cérébral a été précédée de céphalées sévères et/ou de troubles visuels transitoires. La pression artérielle doit être surveillée attentivement au cours du traitement. En cas d'hypertension, de douleurs thoraciques suggestives, de céphalées sévères, progressives ou permanentes (avec ou sans troubles visuels) ou de signes de toxicité pour le système nerveux central, la prise de cabergoline doit être interrompue et la patiente doit rapidement faire l'objet d'une évaluation.
Traitement de l'hyperprolactinémie
Étant donné que l'hyperprolactinémie, couplée à l'aménorrhée/galactorrhée et à la stérilité, peut être associée à une tumeur hypophysaire, une exploration complète de l'hypophyse est indiquée avant de débuter le traitement par la cabergoline.
La cabergoline restaure l'ovulation et la fertilité chez la femme présentant un hypogonadisme hyperprolactinémique.
Avant l'administration de la cabergoline, il faut exclure une grossesse éventuelle. Il est recommandé, à titre de précaution, que les femmes souhaitant être enceintes arrêtent de prendre la cabergoline un mois avant la date de conception prévue, une fois les cycles d'ovulation réguliers rétablis. Cela s'explique par l'expérience clinique limitée et la demi-vie prolongée de la cabergoline (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement).
Étant donné qu'une grossesse peut survenir avant le rétablissement des règles, il est recommandé de faire un test de grossesse au moins toutes les quatre semaines pendant la période d'aménorrhée. A partir du rétablissement de règles, un test de grossesse est recommandé chaque fois qu'il se produit un retard de règles de plus de trois jours. On conseillera aux femmes d'utiliser un moyen de contraception mécanique pendant le traitement par la cabergoline et pendant au moins un mois après l'arrêt de la cabergoline.
En cas de grossesse, l'arrêt du traitement par cabergoline doit être envisagé après une évaluation attentive des bénéfices et des risques pour la mère et pour le bébé (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement). Par mesure de précaution, les femmes débutant une grossesse devront être surveillées afin de détecter l'apparition de signes suggérant une augmentation du volume de l'hypophyse car le développement de tumeurs hypophysaires préexistantes peut survenir au cours de la gestation.
Insuffisance rénale
Il n'a pas été observé de différences dans la pharmacocinétique de la cabergoline chez des patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère. La pharmacocinétique de la cabergoline n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance rénale terminale ou chez les patients sous hémodialyse ; la prudence est recommandée chez ces patients.
Aspects psychiatriques
Le développement de troubles du contrôle des impulsions doit être surveillé régulièrement. Les patients et leurs soignants doivent être informés de la possibilité d'apparition de symptômes comportementaux de type troubles du contrôle des impulsions, incluant une dépendance pathologique au jeu, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses ou achats compulsifs, une boulimie et une alimentation compulsive, chez les patients traités par des agonistes de la dopamine, dont la cabergoline. Une réduction posologique/un arrêt progressif doivent être envisagés en cas de développement de symptômes de ce type.
Excipient
Lactose
Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Maladie cardiovasculaire sévère
Hypotension
Syndrome de Raynaud
Ulcère gastroduodénal
Hémorragie digestive
Antécédent de trouble mental grave
Consommation d'alcool
Insuffisance hépatique sévère
Hypotension orthostatique
Valvulopathie cardiaque
Vitesse de sédimentation anormalement élevée
Atteinte inflammatoire fibrotique et séreuse (due aux alcaloïdes de l'ergot de seigle)
Symptômes pleuropulmonaires inexpliqués
Insuffisance rénale
Obstruction urétérale
Obstruction abdominale
Insuffisance cardiaque
Surveillance cardiaque
Anomalie de l'échocardiogramme
Somnolence
Accès de sommeil d'apparition soudaine
Trouble du contrôle des pulsions
Jeu pathologique
Augmentation de la libido
Hypersexualité
Dépenses compulsives
Boulimie
Alimentation compulsive
Insuffisance rénale terminale (Clcr < 15 ml/mn)
Hémodialyse
Hypertension
Douleur thoracique sévère soudaine
Céphalée sévère
Perturbation grave du système nerveux central
Surveillance prolactinémie
Les patients traités par la cabergoline qui présentent une somnolence et/ou des accès de sommeil d'apparition soudaine doivent être informés qu'ils ne doivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altération de leur vigilance pourrait exposer autrui ainsi qu'eux-mêmes à un risque de blessure grave ou de décès (par exemple, l'utilisation de machines) jusqu'à disparition de ces accès et de la somnolence (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Étant donné que l'effet thérapeutique de la cabergoline est obtenu par stimulation directe des récepteurs dopaminergiques, la cabergoline ne doit pas être administrée en même temps que des médicaments ayant un effet antagoniste de la dopamine (tels que les phénothiazines, les butyrophénones, les thioxanthènes, le métoclopramide) car ceux-ci pourraient réduire l'effet de diminution de la prolactine de la cabergoline.
Comme les autres dérivés de l'ergot de seigle, la cabergoline ne doit pas être utilisée avec les antibiotiques du groupe des macrolides (tels que l'érythromycine) en raison de l'augmentation de la biodisponibilité systémique de la cabergoline.
Les interactions avec des médicaments ayant un effet hypotenseur doivent être prises en compte.
Aucune interaction pharmacocinétique avec la L-dopa ou la sélégiline n'a été observée dans les études menées chez des patients atteints de maladie de Parkinson. Les interactions pharmacocinétiques avec d'autres médicaments ne peuvent pas être prédites à partir des données disponibles sur le métabolisme de la cabergoline.
DOSTINEX_09022022_AVIS_CT19627
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TEVA SANTE
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92931
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Code CIS : 64986919
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Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE
Laboratoire exploitant : TEVA SANTE
Prix vente TTC : 23.92€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 23.92€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 05/06/2008
Rectificatif AMM : 10/06/2024
Marque : CABERGOLINE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938503548
Référence LPPR : Aucune
CABERGOLINE ARROW 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 8
CABERGOLINE SANDOZ 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 2 (détails indisponibles)
CABERGOLINE SANDOZ 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 8
CABERGOLINE ZENTIVA 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 8
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