CABERGOLINE
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé sécable
Catégories :
Endocrinologie, Inhibiteurs de la prolactine, Cabergoline
Principes actifs :
Cabergoline
Inhibition de la lactation (EI), Hyperprolactinémie liée à un adénome hypophysaire, Hyperprolactinémie
Adulte de plus de 16 ans . Traitement initial. Hyperprolactinémie
1 comprimé 1 fois par semaine au cours du repas pendant 1 semaine.
Adulte de plus de 16 ans . Traitement d'entretien à posologie inférieure à 1 mg/semaine. Hyperprolactinémie (implicite)
2 comprimés 1 fois par semaine au cours du repas.
Adulte de plus de 16 ans . Traitement d'entretien à posologie supérieure à 1 mg/semaine. Hyperprolactinémie
2 comprimés 2 fois par semaine au cours du repas.
Adulte Femme de plus de 16 ans . Traitement après accouchement. Inhibition de la lactation (EI)
2 comprimés en une seule prise.
au cours d'un repas.
Adulte Femme de plus de 16 ans . allaitant. Inhibition de la lactation (EI)
½ comprimé en une seule prise. Maximum ½ comprimé par jour.
A prendre au cours des repas.
Voie orale
Constipation
Douleur thoracique
Hypotension orthostatique
Mastodynie
Dépression
Paresthésie
Somnolence
Bouffées de chaleur
Rougeur de la face
Vomissement
Trouble du sommeil
Epistaxis
Palpitation
Syncope
Fibrose pulmonaire
Baisse du taux d'hémoglobine
Crampe dans les jambes
Epanchement pleural
Evanouissement
Hémianopsie
Vasospasme périphérique
Douleur épigastrique
Crampe dans les doigts
Agressivité
Accès de sommeil d'apparition soudaine
Augmentation de la libido
Vision anormale
Hallucination
Jeu pathologique
Hypersexualité
En général, les effets indésirables sont dose-dépendants et peuvent être réduits en diminuant progressivement la posologie.
Inhibition de la lactation: Près de 14 % des patients présentent des effets indésirables. Les plus fréquents sont une hypotension (12 %), des étourdissements (6 %) et des céphalées (5 %). Un traitement prolongé augmente la fréquence des effets indésirables d'environ 70 %.
Les effets indésirables suivants ont été observés et rapportés lors du traitement par la cabergoline avec les fréquences suivantes : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10000, <1/1000), très rare (< 1/10000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Autres :
Fréquent (≥1/100, <1/10)
· Affections psychiatriques : Dépression.
· Affections cardiaques : douleur au niveau de la poitrine.
· Affections de la peau et du tissu sous-cutané : rougeur du visage.
Rare (≥1/10 000, <1/1 000)
· Affections musculo-squelettiques et systémiques : crampes dans les doigts.
Des cas de pression artérielle basse (pression systolique ≥ 20 mmHg et pression diastolique ≥ 10 mmHg) ont été rapportés dans des études post-partum, dans les 3-4 jours suivant l'administration d'une prise unique de 1 mg de cabergoline.
Les effets indésirables apparaissent généralement dans les 2 premières semaines puis déclinent ou disparaissent.
Le traitement a été arrêté chez 3% des patients en raison de ces effets indésirables.
Expérience post-commercialisation :
Les évènements suivants ont été rapportés en lien avec la cabergoline :
· Hallucinations.
Voir plus
Grossesse
On dispose d'informations sur 256 grossesses dans le cadre d'une étude observationnelle menée pendant douze ans sur les conséquences d'un traitement par cabergoline pendant la grossesse. Dix-sept de ces 256 grossesses (6,6 %) ont donné lieu à des malformations congénitales majeures ou à un avortement. On dispose d'informations pour 23 nouveau-nés sur 258, atteints de 27 anomalies néonatales au total, tant majeures que mineures. Les malformations musculo-squelettiques représentaient l'anomalie néonatale la plus fréquente (10), suivies des anomalies cardio-pulmonaires (5). Il n'existe pas d'informations concernant les troubles périnataux ou le développement à long terme de nouveau-nés exposés in utero à la cabergoline. Les publications récentes dans la littérature font état d'une prévalence égale à au moins 6,9 % de malformations congénitales majeures dans la population générale. Les taux d'anomalies congénitales varient en fonction des populations. Il n'est pas possible de déterminer avec précision s'il existe un risque accru de malformations congénitales, dans la mesure où aucun groupe témoin n'était inclus.
Il conviendra d'exclure une grossesse avant l'administration de cabergoline et d'éviter une grossesse pendant au moins un mois après l'arrêt du traitement.
On a montré que la cabergoline traversait le placenta chez le rat. On ne sait pas si cela se produit également chez l'humain.
Étant donné l'expérience limitée concernant l'utilisation de la cabergoline durant la grossesse, les femmes souhaitant être enceintes doivent arrêter de prendre la cabergoline avant d'envisager une grossesse. En cas de survenue de grossesse pendant le traitement par la cabergoline, celui-ci doit être immédiatement arrêté. Durant la grossesse, ces patientes seront attentivement suivies pour toute hypertrophie de l'hypophyse dûe à la grossesse.
La contraception doit être poursuivie pendant quatre semaines au moins après l'arrêt de la cabergoline.
La cabergoline rétablit l'ovulation et la fertilité chez les femmes présentant un hypogonadisme hyperprolactinémique : comme une grossesse peut survenir avant le rétablissement des règles, il est recommandé d'effectuer un test de grossesse pendant la période d'aménorrhée, et, à partir du rétablissement du cycle menstruel, à chaque retard des règles de plus de trois jours. Il convient de conseiller aux femmes ne souhaitant pas de grossesse d'utiliser une contraception non hormonale efficace pendant le traitement et après l'arrêt de la cabergoline. Étant donné que la cabergoline a une demi-vie d'élimination de 79 à 115 heures chez les patientes hyperprolactinémiques, une fois les cycles d'ovulation à nouveau réguliers les femmes souhaitant être enceintes doivent arrêter de prendre la cabergoline un mois avant la date de conception prévue.
Cette mesure préviendra toute exposition éventuelle du foetus au médicament et n'influencera pas la capacité à concevoir puisque les cycles ovulatoires persistent dans certains cas pendant six mois après l'arrêt du médicament. Si la conception survient pendant le traitement, celui-ci sera interrompu dès la confirmation de la grossesse pour limiter l'exposition foetale au médicament.
Par mesure de précaution, les femmes débutant une grossesse doivent être surveillées afin de détecter des signes d'hypertrophie de l'hypophyse, car un développement de tumeurs hypophysaires préexistantes peut se produire pendant la grossesse.
La cabergoline ne doit être utilisée pendant la grossesse que si cela est clairement indiqué.
Allaitement
La cabergoline ne doit pas être administrée aux mères ayant des troubles hyperprolactinémiques qui choisissent d'allaiter leurs enfants car elle inhibe la lactation.
Il n'existe pas de données sur l'excrétion de la cabergoline dans le lait maternel, cependant chez le rat, la cabergoline et/ou ses métabolites sont excrétés dans le lait.
Il est conseillé aux femmes de ne pas allaiter lorsqu'elles sont traitées par la cabergoline.
L'évaluation de la sécurité d'emploi et de l'efficacité de la cabergoline chez les sujets présentant une maladie rénale ou hépatique est limitée. Comme les autres dérivés de l'ergot de seigle, la cabergoline doit être administrée avec prudence chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire sévère, une hypotension, un syndrome de Raynaud, un ulcère gastro-duodénal ou des hémorragies digestives, ou ayant des antécédents de troubles mentaux graves, en particulier psychotiques.
A l'heure actuelle, les effets de l'alcool sur la tolérance générale de la cabergoline ne sont pas connus.
Une hypotension orthostatique peut survenir lors de l'administration de cabergoline, particulièrement en cas d'administration concomitante avec d'autres médicaments connus pour leurs effets hypotenseurs.
Il est recommandé de contrôler régulièrement la pression sanguine dans les 3-4 jours suivant le début du traitement.
Inhibition / suppression de la lactation physiologique
La cabergoline ne doit pas être utilisée chez les femmes ayant une hypertension induite par une grossesse, par exemple pré-éclampsie ou hypertension du post-partum (voir rubrique Contre-indications).
On ne doit pas dépasser la posologie de 0,25 mg de cabergoline en une prise unique chez la femme allaitante, traitée pour arrêter la lactation afin d'éviter une possible hypotension orthostatique (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Traitement des troubles hyperprolactinémiques
Étant donné que l'hyperprolactinémie, couplée à l'aménorrhée/galactorrhée et à la stérilité, peut être associée à une tumeur hypophysaire, une exploration complète de l'hypophyse est indiquée avant de débuter le traitement par la cabergoline afin de déterminer la cause de l'hyperprolactinémie.
Un suivi mensuel des taux de prolactine sérique est conseillé car, une fois la dose efficace de cabergoline déterminée, la normalisation de la prolactine sérique survient dans les 2 à 4 semaines.
Après l'arrêt de la cabergoline, une réapparition de l'hyperprolactinémie est généralement observée. Cependant, une normalisation persistante des taux de prolactine a été observée pendant plusieurs mois chez certains patients.
La cabergoline restaure l'ovulation et la fertilité chez la femme présentant un hypogonadisme hyperprolactinémique.
Avant l'administration de la cabergoline, il faut exclure une grossesse éventuelle. En raison de l'expérience clinique encore limitée et de la demi-vie prolongée du produit, il est recommandé, par mesure de précaution, et une fois les cycles d'ovulation à nouveau réguliers, que les femmes souhaitant être enceintes arrêtent de prendre la cabergoline un mois avant la date de conception prévue.
Étant donné qu'une grossesse peut survenir avant le rétablissement des règles, il est recommandé de faire un test de grossesse au moins toutes les quatre semaines pendant la période d'aménorrhée et, à partir du rétablissement de règles, chaque fois qu'il se produit un retard de règles de plus de trois jours. On conseillera aux femmes qui ne souhaitent pas une grossesse d'utiliser un moyen de contraception mécanique pendant le traitement par cabergoline et après l'arrêt de la cabergoline jusqu'à la réapparition de l'anovulation. Par mesure de précaution, les femmes débutant une grossesse devront être surveillées afin de détecter l'apparition de signes suggérant une augmentation du volume de l'hypophyse car le développement de tumeurs hypophysaires préexistantes peut survenir au cours de la gestation.
Fibrose et valvulopathie cardiaque et manifestations cliniques pouvant être apparentés
Des troubles inflammatoires fibrotiques et séreux, par exemple pleurésie, épanchement pleural, fibrose pleurale, fibrose pulmonaire, péricardite, épanchement péricardique, valvulopathie cardiaque touchant une ou plusieurs valvules (aortique, mitrale ou tricuspide) ou fibrose rétro-péritonéale sont survenus après un usage prolongé de dérivés de l'ergot de seigle ayant une activité agoniste sur le récepteur 5HT2B de la sérotonine, comme la cabergoline. Dans certains cas, les symptômes ou manifestations de valvulopathie cardiaque ont régressé après arrêt de la cabergoline.
Une élévation anormale de la vitesse de sédimentation des érythrocytes (VSE) a été observée en association avec l'épanchement pleural/la fibrose. Il est recommandé de pratiquer une radiographie du thorax en cas d'élévations inexpliquées de la VSE à des valeurs anormales. Une mesure de la créatinine sérique peut également aider au diagnostic des troubles fibrotiques. Après un diagnostic d'épanchement pleural/fibrose pulmonaire ou de valvulopathie, l'arrêt de la cabergoline entraînait une amélioration des signes et symptômes (voir rubrique Contre-indications).
Les cas de valvulopathie ont été associés à l'administration de doses cumulées ; il convient donc de traiter les patients à la dose efficace minimale. Lors de chaque visite, il convient de réévaluer le rapport bénéfice - risque du traitement par la cabergoline pour le patient afin de déterminer s'il est judicieux de poursuivre le traitement par la cabergoline.
Avant le début d'un traitement à long terme :
Tous les patients doivent subir une évaluation cardio-vasculaire, incluant la réalisation d'une échocardiographie afin d'évaluer la présence potentielle d'une pathologie valvulaire asymptomatique.
Il est également approprié de déterminer la vitesse de sédimentation des érythrocytes ou de doser d'autres marqueurs de l'inflammation et d'examiner les fonctions pulmonaires, de réaliser une radiographie du thorax et d'évaluer la fonction rénale avant de commencer le traitement.
On ne sait pas si un traitement par la cabergoline est susceptible d'aggraver une régurgitation valvulaire sous-jacente. En cas de pathologie valvulaire fibrotique, ne pas traiter le patient par la cabergoline (voir rubrique Contre-indications).
Au cours d'un traitement à long terme :
Les troubles fibrotiques peuvent connaître un début insidieux ; il convient donc de rechercher régulièrement chez les patients des manifestations éventuelles de fibrose progressive.
Aussi pendant le traitement, il conviendra de surveiller les signes et symptômes :
· De maladie pleuro-pulmonaire : dyspnée, essoufflement, toux persistante ou douleur thoracique.
· D'insuffisance rénale ou d'obstruction vasculaire urétérale/abdominale pouvant s'accompagner de douleurs dans les reins/les flancs et d'oedème des membres inférieurs, ainsi que de masses ou de points sensibles dans l'abdomen pouvant indiquer une fibrose rétropéritonéale.
· D'insuffisance cardiaque ; les cas de fibrose valvulaire et péricardique observés ont souvent présentés les symptômes d'une insuffisance cardiaque. Si ce type de symptômes apparaît, il convient d'exclure une fibrose valvulaire (et une péricardite constrictive).
La surveillance diagnostique clinique de l'apparition de troubles fibrotiques est essentielle. Une fois le traitement commencé, le premier échocardiogramme doit être réalisé au bout de 3 à 6 mois ; ensuite, la fréquence du suivi échocardiographique doit être déterminée en fonction de l'évaluation clinique individuelle, en portant l'attention tout particulièrement sur les signes et symptômes mentionnés ci-dessus, mais dans tous les cas, un échocardiogramme doit être pratiqué au moins tous les 6 à 12 mois.
L'administration de cabergoline doit être arrêtée si l'échocardiogramme révèle l'apparition ou l'aggravation d'une régurgitation valvulaire, d'une restriction valvulaire ou d'un épaississement d'une valve de valvule (voir rubrique Contre-indications).
La nécessité de réaliser d'autres examens de suivi clinique (par exemple examen clinique incluant auscultation cardiaque attentive, radiographie, échocardiographie, TDM), doit être déterminée au cas par cas.
Des examens complémentaires appropriés, par exemple vitesse de sédimentation des érythrocytes et mesures de la créatinine sérique, doivent être réalisés si nécessaire pour confirmer le diagnostic de trouble fibrotique.
Somnolence/accès de sommeil d'apparition soudaine
Une somnolence et des accès de sommeil d'apparition soudaine ont été rapportés lors du traitement par cabergoline particulièrement chez les patients atteints de maladie de Parkinson.
Un accès de sommeil soudain pendant les activités quotidiennes, dans certains cas sans prodromes, a été rapporté dans quelques cas peu fréquents. Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de ces effets et ils doivent être avertis de se montrer prudents lors de la conduite automobile ou l'utilisation des machines pendant le traitement avec la cabergoline. Les patients ayant présenté une somnolence ou un accès de sommeil d'apparition soudaine ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser des machines (voir rubrique Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines). Par ailleurs, une réduction de la posologie ou un arrêt du traitement peut être envisagé.
Aspects psychiatriques
Une dépendance pathologique au jeu, une augmentation de la libido et une hypersexualité ont été rapportées chez des patients atteints de la maladie de Parkinson traités par des agonistes dopaminergiques, y compris la cabergoline. Ces cas ont été généralement réversibles après diminution de la posologie ou arrêt du traitement par agoniste dopaminergique.
Insuffisance rénale
Il n'a pas été observé de différences dans la pharmacocinétique de la cabergoline chez des patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère. La pharmacocinétique de la cabergoline n'a pas été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale ou chez les patients sous hémodialyse ; la prudence est recommandée chez ces patients.
Insuffisance hépatique
Lors d'un traitement prolongé par la cabergoline, l'utilisation d'une posologie plus faible doit être envisagée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère. Comparativement à des volontaires sains ou à des patients présentant une insuffisance hépatique moins sévère, une augmentation de l'AUC a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (classe C dans la classification de Child-Pugh) et recevant une prise unique d'1mg de cabergoline.
Hypotension orthostatique
Une hypotension orthostatique peut survenir lors de l'administration de cabergoline en particulier au cours des premiers jours de traitement. Une attention particulière s'impose en cas d'administration concomitante de cabergoline avec d'autres médicaments connus pour leurs effets hypotenseurs.
Autre
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Maladie cardiovasculaire sévère
Hypotension
Syndrome de Raynaud
Ulcère gastroduodénal
Hémorragie digestive
Trouble mental
Trouble psychotique
Consommation d'alcool
Surveillance prolactinémie
Vitesse de sédimentation anormalement élevée
Atteinte inflammatoire fibrotique et séreuse (due aux alcaloïdes de l'ergot de seigle)
Surveillance pression artérielle
Symptômes pleuropulmonaires inexpliqués
Insuffisance rénale
Obstruction urétérale
Obstruction abdominale
Insuffisance cardiaque
Surveillance cardiaque
Anomalie de l'échocardiogramme
Somnolence
Accès de sommeil d'apparition soudaine
Insuffisance hépatique sévère
La cabergoline réduit la pression artérielle, ce qui peut altérer les réactions de certains patients. Ceci doit être pris en compte dans les situations nécessitant une attention, telles que conduire un véhicule ou utiliser des machines.
Il faut informer les patients traités par la cabergoline présentant une somnolence et/ou des accès de sommeil d'apparition soudaine qu'ils ne doivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altération de leur vigilance pourrait les exposer, eux-mêmes ainsi que toute autre personne, à un risque de blessure grave ou de décès (par exemple, l'utilisation de machines), ceci jusqu'à la disparition de ces effets (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Associations déconseillées
Des taux plasmatiques élevés de bromocriptine ont été observés en association avec les antibiotiques du groupe des macrolides (tels que l'érythromycine). Les effets des antibiotiques du groupe des macrolides sur les taux plasmatiques de cabergoline lors d'une administration concomitante n'ont pas été étudiés. L'association doit être évitée, en raison de la possibilité de taux plasmatiques élevés de cabergoline.
Étant donné que l'effet thérapeutique de la cabergoline est obtenu par stimulation directe des récepteurs dopaminergiques, la cabergoline ne doit pas être administrée en même temps que des médicaments ayant un effet antagoniste sur les récepteurs dopaminiergiques (tels que les phénothiazines, les butyrophénones, les thioxanthènes, le métoclopramide) car ceux-ci pourraient réduire l'effet thérapeutique de la cabergoline.
Aucune information n'est disponible concernant une interaction entre la cabergoline et d'autres alcaloïdes de l'ergot de seigle ; c'est pourquoi l'utilisation concomitante de ces produits lors d'un traitement au long cours avec la cabergoline n'est pas recommandée.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
Les interactions avec des médicaments ayant un effet hypotenseur doivent être prises en compte.
Aucune interaction pharmacocinétique avec la L-dopa ou la sélégiline n'a été observée lors des études menées chez des patients atteints de maladie de Parkinson. Les interactions pharmacocinétiques avec d'autres médicaments ne peuvent pas être prédites à partir des données disponibles sur le métabolisme de la cabergoline.
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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SANDOZ
9 Place Marie-Jeanne BASSOT
92593
LEVALLOIS PERRET
Code UCD7 : 9391433
Code UCD13 : 3400893914335
Code CIS : 68105965
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : SANDOZ
Laboratoire exploitant : SANDOZ
Prix vente TTC : Non communiqué
Taux de TVA : 10%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 0€
Taux SS : 0%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PHN
Date AMM : 20/02/2013
Rectificatif AMM : 29/08/2013
Marque : CABERGOLINE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400926944902
Référence LPPR : Aucune
CABERGOLINE ARROW 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 8
CABERGOLINE SANDOZ 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 2 (détails indisponibles)
CABERGOLINE TEVA 0,5 mg, comprimé, boîte de 1 flacon de 8
CABERGOLINE ZENTIVA 0,5 mg, comprimé sécable, boîte de 1 flacon de 8
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