AZANTAC
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable
Catégories :
Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement de l'ulcère gastroduodénal, Antisécrétoires gastriques, Antihistaminiques H2, Ranitidine, Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement du reflux gastro-oesophagien, Antisécrétoires gastriques, Antihistaminiques H2, Ranitidine
Principes actifs :
Ranitidine
Ulcère gastrique, Ulcère duodénal, Syndrome de Zollinger-Ellison, Hémorragie de la maladie ulcéreuse gastroduodénale, Lésion gastroduodénale liée au stress, Oesophagite par reflux gastro-oesophagien, Reflux gastro-oesophagien
Adolescent de 12 ans à 18 ans . Voie IV lente (implicite)
50 mg 4 fois par jour à injecter par voie IV lente.
Enfant - Nourrisson de 6 mois à 11 ans . Traitement initial : schéma 1. Voie IV lente (10 minutes)
2½ mg par kilo en injection IV lente de 10 minutes.
Enfant - Nourrisson de 6 mois à 11 ans . Traitement d'entretien : schéma 1. Voie IV en perfusion discontinue (implicite)
1½ mg par kilo 4 fois par jour en perfusion IV intermittente toutes les 6 à 8 h.
Enfant - Nourrisson de 6 mois à 11 ans . Traitement initial avec dose de charge : schéma 2. Voie IV
0.45 mg par kilo en injection IV.
Enfant - Nourrisson de 6 mois à 11 ans . Traitement d'entretien : schéma 2. Voie IV en perfusion continue
0.15 mg par kilo par heure en perfusion IV continue.
Adulte de plus de 18 ans . Voie IV en perfusion
¼ mg par kilo par heure en perfusion IV.
ou 0.01 ml par kilo par heure en perfusion IV.
Adulte de plus de 18 ans . Voie IM ou IV lente (implicite)
50 mg 4 fois par jour par voie IV lente ou IM.
Adulte de plus de 18 ans . insuffisant rénal (Clcr < 50 ml/mn). Voie IM ou IV lente
25 mg 4 fois par jour par voie IV lente ou IM.
Voie IM
Voie IV
CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN EN CAS DE :
- éruption cutanée (bouton ou bulles), démangeaisons,
- œdème( un gonflement des yeux et du visage),
- fièvre,
- chute de la tension artérielle, évanouissement.
Douleur thoracique
Hypotension
Oedème de Quincke
Urticaire allergique
Bronchospasme
Eruption cutanée
Réaction d'hypersensibilité
Elévation de la créatinine plasmatique
Fièvre d'hypersensibilité
Changement des tests de la fonction hépatique
Alopécie
Aplasie médullaire
Asystolie
Bloc auriculoventriculaire
Bradycardie sinusale
Céphalée
Choc anaphylactique
Diarrhée
Galactorrhée
Gynécomastie
Ictère
Impuissance
Leucopénie
Tachycardie
Vertige
Dépression
Agranulocytose
Thrombocytopénie
Myalgie
Arthralgie
Hépatite cytolytique
Hypoplasie médullaire
Pancréatite aiguë
Erythème polymorphe
Vascularite
Mouvements involontaires
Hépatite cholestatique
Pancytopénie
Vision floue
Hépatite mixte
Hallucination
Néphrite aiguë interstitielle
Modification de l'accommodation
Confusion mentale réversible
Asthénie
Dyspnée
Pneumonie communautaire
Porphyrie aiguë
Les effets indésirables sont classés par fréquence, en utilisant la classification suivante : très fréquents (≥1/10) ; fréquents (≥1/100 à < 1/10) ; peu fréquents (≥1/1000 à < 1/100) ; rares (≥1/10000 à < 1/1000), très rares (<1/10000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Les fréquences des effets indésirables ont été estimées à partir des notifications spontanées après commercialisation.
Affections hématologiques et du système lymphatique
Très rares : modifications de la numération formule sanguine (leucopénies et thrombocytopénies) généralement réversibles ; agranulocytose ou pancytopénie, avec parfois hypoplasie ou aplasie médullaire.
Affections du système immunitaire
Rares : réactions d'hypersensibilité (urticaire, oedème angioneurotique (oedème de Quincke), fièvre, bronchospasme, hypotension et douleur thoracique).
Très rare : choc anaphylactique.
Fréquence indéterminée : dyspnée.
Ces effets ont été rapportés après administration d'une dose unique de ranitidine.
Affections psychiatriques
Très rares : confusion mentale réversible, dépression et hallucinations rapportées principalement chez les sujets très malades, les sujets âgés et les sujets présentant une néphropathie.
Affections du système nerveux
Très rares : céphalées (parfois sévères), sensations vertigineuses et mouvements involontaires réversibles.
Affections oculaires
Très rare : vision floue réversible, suggérant dans certains cas une modification de l'accommodation.
Affections cardiaques
Très rares : comme avec d'autres antagonistes des récepteurs H2, bradycardie, bloc auriculo-ventriculaire et tachycardie et asystolie.
Affections vasculaires
Très rare : vascularite.
Affections gastro-intestinales
Peu fréquents : douleurs abdominales, constipation, nausées (la plupart de ces symptômes s'améliorent en poursuivant le traitement)
Très rares : pancréatite aiguë, diarrhée.
Affections hépatobiliaires
Rares : changements transitoires et réversibles des tests de la fonction hépatique.
Très rare : hépatite (cytolytique, cholestatique ou mixte) avec ou sans ictère habituellement réversible.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rare : éruption cutanée.
Très rares : érythème polymorphe, alopécie.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Très rares : symptômes musculo-squelettiques tels que myalgie et arthralgie.
Affections des reins et des voies urinaires
Rare : élévation de la créatinine plasmatique. (habituellement légère ; normalisée en poursuivant le traitement).
Très rare : néphrite aiguë interstitielle.
Affections des organes de reproduction et du sein
Très rares : impuissance réversible, gynécomastie et galactorrhée.
Population pédiatrique
Les données de sécurité d'emploi de la ranitidine ont été évaluées chez des enfants âgés de 0 à 16 ans, ayant des troubles liés à l'acidité. La ranitidine a un profil d'effets indésirables proche de celui des adultes. Il existe peu de données de sécurité à long terme disponibles, notamment sur la croissance et le développement.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
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Grossesse
La ranitidine traverse le placenta. En clinique, les données sur un grand nombre de femmes enceintes exposées (plus de 1000 issues de grossesses) à la ranitidine n'indique aucun effet malformatif ni foetotoxique.
Azantac peut être utilisé au cours de la grossesse si nécessaire.
La ranitidine est excrétée dans le lait mais sa demi-vie d'élimination est courte (environ 3 heures).
Aucun effet indésirable n'a été rapporté chez l'enfant allaité.
En conséquence, Azantac peut être utilisé au cours de l'allaitement si nécessaire.
Fertilité
Aucune donnée sur l'effet de la ranitidine sur la fertilité chez l'Homme n'est disponible. Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet sur la fertilité des mâles et des femelles (voir rubrique Données de sécurité précliniques).
Une bradycardie lors de l'administration rapide de ranitidine a été rarement rapportée, en général, chez des patients ayant des facteurs prédisposant à des troubles du rythme cardiaque. Les vitesses d'administration recommandées ne doivent pas être dépassées.
La possibilité de malignité de la lésion devra être exclue avant toute instauration de traitement chez les patients présentant un ulcère gastrique ; le traitement par la ranitidine pouvant masquer les symptômes d'un carcinome gastrique.
La ranitidine est éliminée par voie rénale, aussi les taux plasmatiques du médicament augmentent chez les patients présentant une insuffisance rénale. En cas d'insuffisance rénale, la posologie doit être ajustée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
De rares rapports cliniques suggèrent que la ranitidine peut précipiter des crises de porphyrie aiguë. Il convient donc de s'abstenir d'utiliser ce médicament chez les personnes ayant des antécédents de porphyrie aiguë.
Chez les patients tels que les sujets âgés, les sujets atteints d'une maladie pulmonaire chronique, de diabète ou immunodéprimés, il pourrait y avoir un risque accru de développer une pneumonie communautaire acquise.
Une large étude épidémiologique a montré une augmentation du risque de développer une pneumonie communautaire acquise chez les sujets prenant de la ranitidine seule en comparaison avec ceux qui avaient arrêté le traitement, avec un risque relatif ajusté de 1,82 (95% IC 1,26-2,64).
Ce médicament contient du potassium. Le taux de potassium est inférieur à 1 mmol par ampoule, c'est-à-dire « sans potassium ».
Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par ampoule, c'est-à-dire « sans sodium ».
Cancer gastrique
Insuffisance rénale (Clcr < 50 ml/mn)
Sujet âgé
Maladie pulmonaire chronique
Diabète
Immunodéprimé
Grossesse
Allaitement
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Associations à prendre en compte
+ Atazanavir
Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir.
+ Itraconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
+ Kétoconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
+ Cyanocobalamine
Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12.
+ Inhibiteurs des tyrosine kinases
Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
+ Ulipristal
Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption.
Q/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentLes antisécrétoires gastriques chez l'enfant : Argumentaire.
Télécharger le documentLes antisécrétoires gastriques chez l'enfant : Recommandations.
Télécharger le documentLes antisécrétoires gastriques chez l'adulte : Recommandations.
Télécharger le documentLes antisécrétoires gastriques chez l'adulte : Argumentaire.
Télécharger le documentSodium chlorure, Potassium dihydrogénophosphate, Phosphate disodique, Eau pour préparations injectables
GLAXOSMITHKLINE
23, Rue François JACOB
92500
RUEIL MALMAISON
Code UCD7 : 9102305
Code UCD13 : 3400891023053
Code CIS : 62840118
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : GLAXOSMITHKLINE
Laboratoire exploitant : GLAXOSMITHKLINE
Prix vente TTC : Non communiqué
Taux de TVA : 10%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 0€
Taux SS : 0%
Agréments collectivités : Non
Code acte pharmacie : PHN
Date AMM : 27/02/1984
Rectificatif AMM : 05/07/2018
Marque : AZANTAC
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400932682751
Référence LPPR : Aucune
RANIPLEX INJECTABLE 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule, boîte de 5 ampoules de 2 ml (détails indisponibles)
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