INIPOMP

Principes actifs : Pantoprazole

Les gammes de produits

INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

Remboursable

Sur prescription seulement

Oesophagite par reflux gastro-oesophagien
Eradication d'Helicobacter pylori en cas d'ulcère gastroduodénal
Ulcère gastrique

Forme :

 Comprimé enrobé gastrorésistant

Catégories :

 Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement de l'ulcère gastroduodénal, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole, Gastro-Entéro-Hépatologie, Traitement du reflux gastro-oesophagien, Antisécrétoires gastriques, Inhibiteurs de la pompe à protons, Pantoprazole

Principes actifs :

 Pantoprazole

Posologie pour INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

Indications

Oesophagite par reflux gastro-oesophagien, Eradication d'Helicobacter pylori en cas d'ulcère gastroduodénal, Ulcère gastrique, Ulcère duodénal, Syndrome de Zollinger-Ellison

Posologie

Adulte . Ulcère duodénal évolutif
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 4 semaines.

Adulte . Ulcère gastrique évolutif (implicite)
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 8 semaines.

Adulte . Syndrome de Zollinger-Ellison
2 comprimés 2 fois par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau.

Adulte . Traitement en association. Eradication d'Helicobacter pylori en cas de maladie ulcéreuse gastroduodénale
1 comprimé 2 fois par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 14 jours.

Adulte . Traitement initial. Syndrome de Zollinger-Ellison
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau. Maximum 4 comprimés par jour.

Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Oesophagite par reflux gastro-oesophagien (implicite)
2 comprimés par jour 1 h avant un repas sans croquer avec un peu d'eau pendant 8 semaines.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER UN MEDECIN IMMEDIATEMENT en cas de :

- Gonflement de la langue et/ou la gorge, difficulté à avaler, urticaire (rougeurs analogues à celles provoquées par les orties), difficulté à respirer, œdème facial allergique, vertiges sévères avec accélération du rythme cardiaque et transpiration abondante.

- Formation de cloques et dégradation rapide de l'état général, érosion (y compris un léger saignement) des yeux, du nez, de la bouche/des lèvres ou des parties génitales et sensibilité/éruption cutanée à la lumière.
- Douleurs articulaires ou symptômes pseudo-grippaux, fièvre, glandes enflées (par exemple au niveau de l'aisselle).

- Jaunissement de la peau ou du blanc des yeux ou fièvre, rougeurs et grossissement des reins parfois accompagné d'une miction douloureuse et de douleurs dans le bas du dos.
INFORMER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Perte de poids sans raison.
- Douleurs à l'estomac ou indigestion.
- Vomissements répétés.
- Problèmes pour avaler.
- Vomissement de sang et selles noires teintées de sang,

- Pâleur et faiblesse.

- Douleur à la poitrine.

- Diarrhée sévère et/ou persistante.

PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines ( vertiges, vision trouble).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Contre-indications pour INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

  • Insuffisance hépatique sévère
  • Allaitement
  • Patient de moins de 6 ans
  • Patient de 6 à 12 ans
  • Grossesse

Effets indésirables pour INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

Niveau d’apparition des effets indésirables

Fréquent

Polype des glandes fundiques

Asthénie

Ballonnement

Céphalée

Constipation

Diarrhée

Distension abdominale

Douleur abdominale

Fatigue

Vertige

Eruption cutanée

Sécheresse buccale

Malaise

Exanthème

Elévation des enzymes hépatiques

Gêne abdominale

Nausée

Vomissement

Prurit cutané

Trouble du sommeil

Rash cutané

Fracture de la hanche

Fracture du poignet

Fracture des vertèbres

Gynécomastie

Hyperlipidémie

Oedème de Quincke

Urticaire

Dépression

Agranulocytose

Myalgie

Arthralgie

Oedème périphérique

Trouble du goût

Vision floue

Hypersensibilité

Modification du poids

Trouble visuel

Elévation des lipides sanguins

Augmentation de la bilirubinémie

Augmentation de la température corporelle

Leucopénie

Thrombopénie

Pancytopénie

Désorientation

Choc anaphylactique

Contracture musculaire

Hypocalcémie

Hypokaliémie

Hyponatrémie

Ictère

Insuffisance hépatocellulaire

Insuffisance rénale

Hypomagnésémie

Syndrome de Lyell

Syndrome de Stevens-Johnson

Confusion

Eosinophilie

Paresthésie

Réaction anaphylactique

Erythème polymorphe

Augmentation des transaminases

Photosensibilité

Néphrite tubulo-interstitielle

Lésion hépatocellulaire

Augmentation des triglycérides

Augmentation du cholestérol

Aggravation d'une dépression

Lupus érythémateux cutané subaigu

Hallucination

Augmentation du risque d'infection

Syndrome DRESS

Augmentation des GGT

Aggravation de la confusion

Aggravation d'une désorientation

Aggravation d'hallucination

Colite microscopique


Environ 5 % des patients sont susceptibles de présenter des effets indésirables (EI).

Les effets indésirables signalés avec le pantoprazole sont classés dans le tableau ci-dessous selon l'ordre de fréquence suivant :

Très fréquents (≥1/10) ; fréquents (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquents (≥1/1 000 à <1/100) ; rares (≥1/10 000 à <1/1 000) ; très rares (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Pour tous les effets indésirables notifiés après commercialisation, il n'est pas possible d'imputer cet ordre de fréquence, par conséquent ils sont listés comme survenant à une fréquence « indéterminée ».

Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante.

Tableau 1. Effets indésirables du pantoprazole rapportés au cours des études cliniques et notifiés après commercialisation

1. L'hypocalcémie et/ou l'hypokaliémie peuvent être liées à l'apparition d'une hypomagnésémie (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

2. Contracture musculaire consécutive à une perturbation électrolytique

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/


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Grossesse et allaitement pour le INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

Grossesse

Un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1000 grossesses) n'a mis en évidence aucun effet malformatif, ni toxique pour le foetus ou le nouveau-né du pantoprazole.

Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité précliniques).

Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation d'Inipomp pendant la grossesse.

Allaitement

Des études menées chez l'animal ont montré que le pantoprazole passait dans le lait maternel. Il n'existe pas de données suffisantes sur l'excrétion du pantoprazole dans le lait maternel, mais le passage dans le lait maternel chez l'être humain a été rapporté. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. En conséquence, la décision d'arrêter l'allaitement ou celle d'arrêter/s'abstenir du traitement par Inipomp doit tenir compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement par Inipomp pour la femme.

Fertilité

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence de signe d'altération de la fertilité suite à l'administration de pantoprazole (voir rubrique Données de sécurité précliniques).


Mise en garde pour INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

Mise en garde

Insuffisance hépatique

Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère, les enzymes hépatiques doivent être surveillées régulièrement pendant le traitement par pantoprazole, notamment en cas d'utilisation au long cours. En cas d'augmentation des enzymes hépatiques, le traitement doit être arrêté (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Association thérapeutique

En cas d'associations thérapeutiques, il est nécessaire de respecter les résumés des caractéristiques du produit des médicaments impliqués.

Tumeur gastrique maligne

La réponse symptomatique à un traitement par pantoprazole peut masquer les symptômes d'une tumeur gastrique maligne et en retarder son diagnostic. En présence de tout symptôme alarmant (par exemple perte de poids involontaire importante, vomissements récurrents, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et, lorsqu'un ulcère gastrique est suspecté ou présent, une affection maligne doit être écartée.  

D'autres examens doivent être envisagés si les symptômes persistent malgré un traitement approprié.

Administration concomitante d'inhibiteurs de la protéase du VIH

L'administration concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de la protéase du VIH, dont l'absorption dépend du pH gastrique, tel que l'atazanavir, n'est pas recommandée car cela risquerait de réduire leur biodisponibilité de manière significative (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).   

Influence sur l'absorption de la vitamine B12

Chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres situations hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement au long cours, le pantoprazole, comme tout anti-sécrétoire gastrique, peut diminuer l'absorption de la vitamine B12 (cyanocobalamine) par hypo- ou achlorhydrie. Ceci doit être pris en compte chez les patients disposant de réserves réduites ou présentant des facteurs de risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12 lors de traitement au long cours ou si des symptômes cliniques sont observés.

Traitement à long terme

Dans le cadre du traitement au long cours, notamment lorsque sa durée excède 1 an, les patients devront faire l'objet d'une surveillance régulière.

Infections bactériennes gastro-intestinales

Le traitement par Inipomp peut mener à une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales dues à des bactéries telles que Salmonella,Campylobacter, ou C.difficile.

Hypomagnésémie

Des cas d'hypomagnésémies sévères ont été rarement rapportés chez des patients traités par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que le pantoprazole pendant au moins trois mois et, dans la plupart des cas pendant un an. L'hypomagnésémie peut se manifester par des signes cliniques graves tels que fatigue, tétanie, bouffées délirantes, convulsions, sensations vertigineuses, arythmie ventriculaire, mais elle peut débuter de façon insidieuse et passer inaperçue. L'hypomagnésémie peut entraîner une hypocalcémie et/ou une hypokaliémie (voir rubrique Effets indésirables). Chez la plupart des patients, l'hypomagnésémie (et l'hypomagnésémie associée à une hypocalcémie et/ou une hypokaliémie) s'est améliorée après supplémentation en magnésium et arrêt de l'IPP.

Chez les patients nécessitant un traitement prolongé ou en cas d'association des IPP avec de la digoxine ou avec des médicaments pouvant induire une hypomagnésémie (par exemple des diurétiques), un dosage du taux de magnésium sanguin doit être envisagé par les professionnels de santé avant de commencer le traitement par l'IPP puis régulièrement pendant le traitement.

Fracture osseuse

Les inhibiteurs de la pompe à protons, en particulier s'ils sont utilisés à fortes doses et sur une durée prolongée (> 1 an), peuvent augmenter modérément le risque de fracture de la hanche, du poignet et des vertèbres, principalement chez les sujets âgés ou en présence d'autres facteurs de risque identifiés. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque global de fracture de 10 à 40%. Cette augmentation peut être en partie due à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être pris en charge conformément aux recommandations en vigueur, et recevoir un apport approprié en vitamine D et en calcium.

Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS)

Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont associés à des cas très occasionnels de LECS. Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Inipomp. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.

Interférence avec les tests de laboratoire

L'augmentation du taux de Chromogranine A (CgA) peut interférer avec les tests réalisés pour l'exploration des tumeurs neuroendocrines. Pour éviter cette interférence, le traitement par Inipomp doit être interrompu au moins 5 jours avant de mesurer le taux de CgA (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Si les taux de CgA et de gastrine ne se sont pas normalisés après la mesure initiale, les mesures doivent être répétées 14 jours après l'arrêt du traitement par inhibiteur de la pompe à protons.

Inipomp contient du sodium

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Précautions d'emploi

Insuffisance hépatique modérée

Augmentation des enzymes hépatiques

Importante perte de poids involontaire

Vomissements à répétition

Dysphagie

Hématémèse

Anémie

Méléna

Réserve réduite de vitamine B12

Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12

Hypomagnésémie

Facteurs de risque d'ostéoporose

Lupus érythémateux cutané subaigu

Eruption photosensible

Arthralgie

Insuffisance rénale

Aptitude à conduire

Le pantoprazole n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

Des effets indésirables tels que sensations vertigineuses et troubles visuels peuvent survenir (voir rubrique Effets indésirables). Les patients présentant ce type d'effet indésirable ne doivent pas conduire de véhicule ni utiliser des machines.

Interaction avec d'autre médicaments

Médicaments avec absorption pH-dépendante

En raison d'une inhibition importante et durable de la sécrétion gastrique, le pantoprazole peut interférer avec l'absorption de médicaments pour lesquels le pH gastrique est un élément déterminant de leur biodisponibilité orale, comme par exemple certains antifongiques azolés, tel que le kétoconazole, l'itraconazole, le posaconazole et d'autres médicaments comme l'erlotinib.

Inhibiteurs de la protéase du VIH

L'administration concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de la protéase du VIH, dont l'absorption dépend du pH gastrique, tel que l'atazanavir, n'est pas recommandée car cela risquerait de réduire leur biodisponibilité de manière significative (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

Si l'association d'un inhibiteur de la protéase du VIH et d'un inhibiteur de la pompe à protons est jugée indispensable, une surveillance clinique régulière (par exemple une surveillance de la charge virale) est recommandée. La dose de 20 mg de pantoprazole par jour ne doit pas être dépassée. La posologie d'inhibiteur de la protéase du VIH pourrait être ajustée.

Anticoagulants coumariniques (phenprocoumone ou warfarine)

L'association de pantoprazole avec la warfarine ou la phenprocoumone n'a pas affecté la pharmacocinétique de la warfarine, de la phenprocoumone, ou l'INR. Cependant, des cas d'augmentation de l'INR et du temps de prothrombine ont été rapportés chez des patients recevant un IPP et de la warfarine ou de la phenprocoumone de manière concomitante. Une augmentation de l'INR et du temps de prothrombine peut provoquer des hémorragies, potentiellement fatales. Chez les patients traités simultanément par le pantoprazole et la warfarine ou la phenprocoumone, le suivi de l'INR et du temps de prothrombine est recommandé.  

Méthotrexate

Une augmentation des taux sanguins de méthotrexate a été rapportée chez certains patients lors de l'utilisation concomitante de fortes doses de méthotrexate (par exemple 300 mg) et d'inhibiteurs de la pompe à protons. Par conséquent, dans les situations où de fortes doses de méthotrexate sont utilisées, comme par exemple dans le cancer et le psoriasis, un arrêt temporaire du traitement par le pantoprazole doit être envisagé.

Autres études d'interactions

Le pantoprazole est largement métabolisé au niveau du foie, par le système enzymatique du cytochrome P450. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19 et les autres voies métaboliques comprennent l'oxydation par le CYP3A4.

Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée au cours d'études spécifiques portant notamment sur la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine, et un contraceptif oral composé de lévonorgestrel et d'ethinyloestradiol.

L'interaction du pantoprazole avec d'autres médicaments ou composés, métabolisés par le même système enzymatique, ne peut être exclue.

Les résultats d'une série d'études d'interactions ont montré que le pantoprazole n'influait pas sur le métabolisme des substances actives métabolisés par le CYP1A2 (comme la caféine, la théophylline), le CYP2C9 (comme le piroxicam, le diclofenac, le naproxène), le CYP2D6 (comme le métoprolol), le CYP2E1 (comme l'éthanol). Le pantoprazole n'interfère pas avec l'absorption de la digoxine liée à la glycoprotéine P.

Il n'existe pas d'interactions avec les antiacides administrés de manière concomitante.

Des études d'interactions ont été menées sur l'administration concomitante de pantoprazole et de différents antibiotiques (clarithromycine, métronidazole, amoxicilline). Aucune interaction cliniquement significative n'a été montrée.

Médicaments inhibant ou induisant le CYP2C19

Les inhibiteurs du CYP2C19 tels que la fluvoxamine peuvent augmenter l'exposition systémique au pantoprazole. Pour les patients suivant un traitement par pantoprazole au long cours à de fortes doses, ou pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique, une réduction de la dose peut être envisagée.

Les inducteurs enzymatiques affectant le CYP2C19 et le CYP3A4 comme la rifampicine et le millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent réduire les concentrations plasmatiques des IPPs, qui sont métabolisés par ces systèmes enzymatiques.


Informations complémentaires pour INIPOMP 40 mg cp gastro-rés

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Excipients

Noyau : Sodium carbonate, Mannitol, Crospovidone, Povidone, Calcium stéarate, Enrobage : Hypromellose, Povidone, Titane dioxyde, Fer oxyde, Propylène glycol, Polysorbate 80, Sodium laurylsulfate, Triéthylecitrate, Copolymère de : Méthacrylique acide, Ethyle acrylate, Encre d'impression : Gomme laque, Fer oxyde, Fer oxyde, Fer oxyde, Solution d'ammoniac concentrée

Exploitant / Distributeur

TAKEDA FRANCE

112 Avenue Kleber

75116

PARIS

Code UCD7 : 9173570

Code UCD13 : 3400891735703

Code CIS : 67560860

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : TAKEDA FRANCE

Laboratoire exploitant : TAKEDA FRANCE

Prix vente TTC : 5.07€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 5.07€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 08/02/1995

Rectificatif AMM : 05/05/2022

Marque : INIPOMP

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400935584878

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 14

Comprimé enrobé gastrorésistant

EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 14 (détails indisponibles)

Comprimé enrobé gastrorésistant

EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28

Comprimé enrobé gastrorésistant

EUPANTOL 40 mg, comprimé gastro-résistant, boîte de 28 (détails indisponibles)

Comprimé enrobé gastrorésistant