IMUREL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé
Catégories :
Immunologie, Immunosuppresseurs, Autres immunosuppresseurs, Azathioprine
Principes actifs :
Azathioprine
Prévention du rejet du greffon chez le transplanté, Lupus érythémateux systémique, Hépatite auto-immune, Polyarthrite rhumatoïde sévère, Purpura thrombopénique idiopathique, Anémie hémolytique auto-immune, Dermatomyosite, Polymyosite, Vascularite systémique, Pemphigus, Maladie inflammatoire intestinale
Adulte - Enfant de plus de 6 ans . déficit génétique complet en TPMT
0.3 mg par kilo 3 fois par semaine au cours des repas.
ou 0.012 comprimé par kilo 3 fois par semaine au cours des repas.
A avaler entier avec de l'eau.
Adulte - Enfant de plus de 6 ans . déficit génétique partiel en TPMT
1½ mg par kilo par jour au cours des repas.
ou 0.06 comprimé par kilo par jour au cours des repas.
A avaler entier avec de l'eau.
Adulte - Enfant de plus de 6 ans (implicite)
3 mg par kilo par jour au cours des repas. Maximum 150 mg par jour.
ou 0.12 comprimé par kilo par jour au cours des repas. Maximum 6 comprimés par jour.
A avaler entier avec de l'eau.
Voie orale
CONTACTER immédiatement un médecin en cas de :
·réaction allergique, dont les signes sont les suivants :
- fatigue générale, malaise, vertiges, nausées, vomissements, diarrhée ou douleur abdominale, baisse de la tension,
- troubles digestifs,
- température élevée (fièvre), frissons,
- rougeur de la peau ou éruption cutanée,
- douleur dans les muscles ou les articulations,
- modifications du volume et de la couleur de l'urine (problèmes rénaux),
- vertiges, confusion, étourdissement ou faiblesse, suite à une chute de tension,
- Toux ou difficulté respiratoire comme lors d'infection dans la poitrine,
·hématomes ou saignements anormaux,
·température élevée (fièvre) ou autres signes d'infection,
·jaunissement de la peau ou du blanc des yeux (jaunisse),
·sensation d'extrême fatigue,
·apparition de nodules en tout endroit du corps,
·altérations de la peau, par exemple vésicules ou décollement de la peau,
·nouvelles lésions de la peau ou modifications de lésions de peau existantes,
·aggravation soudaine de l'état de santé,
·contact avec toute personne atteinte de varicelle ou de zona.
En raison du risque de cancer de la peau, l'exposition au soleil et aux rayons UV doit être minimisée par le port de vêtements protecteurs et l'utilisation d'une crème solaire à indice de protection élevé.
UTILISER une contraception adéquate jusqu’à 3 mois après l’arrêt du traitement pour les hommes et les femmes en âge de procréer.
Thrombopénie
Anémie
Cholestase
Ictère
Pancréatite
Hépatite cholestatique
Macrocytose
Manifestation d'hypersensibilité
Hépatite cholestatique cytolytique
Hépatite cholestatique mixte
Alopécie
Hypertension portale
Mélanome
Sarcome de Kaposi
Sarcome
Leucémie myéloïde aiguë
Agranulocytose
Anémie mégaloblastique
Anémie aplasique
Pancytopénie
Syndrome lymphoprolifératif
Lymphome malin non hodgkinien
Myélodysplasie
Cancer du col de l'utérus
Lésion hépatique
Cancer cutané
Atteinte cholestatique biologique
Colite
Syndrome de Stevens-Johnson
Perforation intestinale
Nécrolyse épidermique toxique
Syndrome de Sweet
Diverticulose intestinale
Leuco-encéphalopathie multifocale progressive
Lymphome hépatosplénique à lymphocytes T
Diarrhée sévère
Altération de la fonction hépatique
Altération de la fonction rénale
Hyperthermie
Hypotension
Pneumopathie
Vertige
Eruption cutanée
Myalgie
Hépatite B
Frissons
Arthralgie
Vascularite
Leuconeutropénie
Nausée
Vomissement
Maladie hépatique veino-occlusive
Infection à virus Varicelle-Zona
Péliose hépatique
Hyperplasie nodulaire régénérative hépatique
Maladie veino-occlusive
Résumé du profil de sécurité
Les effets indésirables les plus fréquents sont de nature hématologique et gastro-intestinale (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Ces effets sont dose-dépendants et réversibles à l'arrêt du traitement. L'incidence des effets indésirables peut varier en fonction de l'indication.
Tableau des effets indésirables
Les effets indésirables sont présentés dans le tableau ci-dessous par classe de systèmes d'organes et par catégorie de fréquence : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1 000), très rare (<1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Description d'effets indésirables sélectionnés
Affections hématologiques et du système lymphatique :
La toxicité hématologique de l'azathioprine est à type de myélosuppression dose-dépendante, généralement réversible, se manifestant le plus souvent par une leuco-neutropénie, mais aussi parfois par une anémie et une thrombopénie, voire une pancytopénie et une aplasie médullaire potentiellement fatale. Le traitement doit être suspendu ou la posologie réduite dès les premiers signes d'hématotoxicité.
Ces effets sont rapportés plus particulièrement généralement chez les patients prédisposés à une myélotoxicité, comme les patients avec déficit génétique en S-thiopurine méthyltransférase (TPMT) ou une insuffisance rénale ou hépatique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi) bien qu'ils puissent survenir chez des patients sans facteurs de risque retrouvé.
Infections et infestations :
Les patients traités par azathioprine en monothérapie ou en association avec d'autres immunosuppresseurs, particulièrement des corticostéroïdes, ont montré une sensibilité accrue aux infections virales, fongiques et bactériennes, notamment à des infections par le virus VZV, des réactivations du virus de l'hépatite B et d'autres agents infectieux (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée à la réactivation du virus JC ont été rapportés à la suite de l'administration concomitante d'azathioprine et d'autres agents immunosuppresseurs (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Tumeurs bénignes et malignes (incluant kystes et polypes) :
Les patients recevant un traitement immunosuppresseur, y compris l'azathioprine, ont un risque accru de développer des syndromes lymphoprolifératifs et d'autres malignités, notamment des cancers de la peau (mélanome et non mélanome), des sarcomes (sarcomes de Kaposi et autres) et un cancer du col de l'utérus in situ. Il semblerait que le risque accru soit lié au degré et à la durée de l'immunosuppression. Il a été rapporté que l'arrêt de l'immunosuppression peut induire une régression partielle du trouble lymphoprolifératif (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des cas de leucémie myéloïde aiguë et de myélodysplasie (dont certains associés à des anomalies chromosomiques) ont été rapportés.
Une possible association entre un déficit en TPMT et la survenue de leucémies et de myélodysplasie secondaires est suspectée chez des patients recevant de l'azathioprine, du fait d'une immunosuppression potentiellement plus importante (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
L'azathioprine peut être associée à une dépression médullaire dose-dépendante, généralement réversible, qui se manifeste le plus souvent par une leucopénie, mais aussi parfois par une anémie et une thrombocytopénie, et rarement par une agranulocytose, une pancytopénie et une anémie aplasique.
Affections du système immunitaire :
Des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées avec l'azathioprine. Elles se traduisent habituellement par une hyperthermie associée le plus souvent à une hypotension, vertiges, nausées, vomissements, frissons, éruption cutanée, érythème noueux, vascularites, myalgies, arthralgies, pancréatite, altérations de la fonction rénale et de la fonction hépatique, voire pneumopathie régressant généralement à l'arrêt du traitement. Ces manifestations imposent l'arrêt immédiat et définitif du traitement et la mise en oeuvre d'un traitement symptomatique.
Affections gastro-intestinales :
Des complications graves à type de colite, diverticulite et perforation intestinale, ont été décrites chez des patients transplantés traités par immunosuppresseurs. Néanmoins, l'étiologie n'est pas clairement établie et les fortes doses de corticostéroïdes pourraient être mises en cause. Une diarrhée sévère, a été rapportée chez des patients traités par azathioprine pour maladie inflammatoire intestinale. Lors du traitement de ces patients, il faut savoir qu'une exacerbation des symptômes peut être liée au médicament.
Des pancréatites peuvent survenir plutôt durant les six premiers mois de traitement et particulièrement chez les patients transplantés rénaux et chez des patients atteints de maladie inflammatoire intestinale. Un mécanisme immuno-allergique a été évoqué, devant faire arrêter immédiatement le traitement et contre-indiquer sa reprise. Il existe un risque de réaction croisée avec la 6 mercaptopurine.
Affections hépato-biliaires :
Une cholestase et une altération de la fonction hépatique ont été rapportées avec l'azathioprine ; elles sont généralement réversibles avec l'arrêt du traitement et peuvent être associées à des symptômes d'une réaction d'hypersensibilité (voir Affections du système immunitaire).
Des atteintes hépatiques rares, mais pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été rapportées chez des patients transplantés traités de façon chronique par l'azathioprine. Ces atteintes hépatiques se manifestent soit par une atteinte cholestatique biologique, soit par un tableau clinique d'hypertension portale (maladies hépatiques veino-occlusives, péliose hépatique, hyperplasie nodulaire régénérative). Dans certains cas, l'arrêt de traitement peut améliorer de façon temporaire ou définitive les symptômes et l'histologie du foie.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Une alopécie, généralement de résolution spontanée, a été rapportée chez certains patients traités par l'azathioprine associée à d'autres agents immunosuppresseurs.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance. Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr.
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Contraception chez l'homme et la femme
En raison des données de toxicologie préclinique (et notamment la génotoxicité), comme avec toute chimiothérapie cytotoxique, des mesures contraceptives adéquates sont recommandées jusqu'à 3 mois après l'arrêt du traitement, si l'un des partenaires est traité par azathioprine et tous les patients doivent être informés de l'intérêt de discuter de façon anticipée avec leur médecin en cas de projet de grossesse.
Grossesse
L'azathioprine est tératogène chez l'animal.
Il existe un passage transplacentaire de l'azathioprine et de ses métabolites, qui peut être important.
Dans l'espèce humaine, plusieurs centaines d'observations de grossesses exposées n'ont pas mis en évidence, à ce jour, d'augmentation substantielle du risque global de malformation majeure. Des retards de croissance intra-utérine, des accouchements prématurés et des faibles poids de naissance sont rapportés en cas d'exposition in utero à l'azathioprine, particulièrement en association avec des corticostéroïdes.
Néanmoins, un risque accru d'infection materno-foetale est possible.
De plus, en raison des données de toxicologie préclinique (et notamment la génotoxicité) et des anomalies chromosomiques transitoires observées dans les lymphocytes d'enfants exposés in utero :
· comme avec toute chimiothérapie cytotoxique, des mesures contraceptives adéquates sont recommandées si l'un des partenaires est traité par azathioprine et tous les patients doivent être informés de l'intérêt de discuter de façon anticipée avec leur médecin en cas de projet de grossesse ;
· l'azathioprine ne doit pas être administrée chez la femme enceinte ou lors d'un désir de grossesse, sans réévaluation minutieuse de la nécessité du traitement et sans considérer la possibilité d'alternative thérapeutique plus sûre.
Ainsi, si la pathologie maternelle permet de l'envisager, une suspension du traitement au cours de la grossesse est souhaitable, dans la mesure où les données sur le suivi à long terme des enfants de mères traitées sont insuffisantes.
Un nouveau-né de mère traitée par l'azathioprine en fin de grossesse peut présenter une anémie, une leucopénie, une lymphopénie et/ou une thrombopénie. Ces anomalies sont dose-dépendantes et habituellement transitoires. Afin d'éviter l'apparition de ces effets, une diminution de la posologie maternelle, lorsque cela est possible, est souhaitable, ces manifestations étant plus fréquentes en cas de leucopénie maternelle ou d'une concentration élevée en 6-TGN au 3ème trimestre. Une numération formule sanguine sera réalisée chez le nouveau-né. Le risque d'immunodépression néonatale conduit, par mesure de prudence, à différer l'administration de vaccins atténués vivants après 6 mois de vie.
Une cholestase gravidique a été occasionnellement associée au traitement par azathioprine. Un diagnostic précoce et un arrêt du traitement par azathioprine peuvent minimiser l'impact sur le foetus. Néanmoins, une évaluation méthodique des bénéfices pour la mère et de l'impact sur le foetus doit être réalisée si le diagnostic de cholestase gravidique est confirmé (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Allaitement
Les métabolites actifs de l'azathioprine passent en faible quantité dans le lait des femmes traitées mais ne sont pas détectables chez les nouveau-nés allaités. Dans un groupe restreint de nourrissons allaités, aucun effet indésirable n'a été observé. Cependant des effets hématologiques (leucopénie) ou immunosuppresseurs (sensibilité aux infections) ne peuvent être exclus.
En conséquence, la décision d'allaiter ne peut être prise qu'au cas par cas, après avoir mis en balance les bénéfices potentiels de l'allaitement avec les risques potentiels de survenue d'effets indésirables chez le nourrisson, en prenant en compte la posologie d'azathioprine, les traitements immunosuppresseurs associés et l'état de santé du nouveau-né (faible poids de naissance, prématurité, présence d'une cytopénie néonatale…).
Si la décision d'allaiter est prise, une numération formule sanguine à la recherche d'une leuconeutropénie sera réalisée chez le nouveau-né après deux semaines d'allaitement, et systématiquement en cas de signes d'infection.
Fertilité
Les effets de l'azathioprine sur la fertilité ne sont pas connus, mais les données cliniques disponibles, limitées à ce jour, ne sont pas en faveur d'une altération de la fertilité, en particulier masculine.
Surveillance du traitement :
L'utilisation d'azathioprine est associée à des risques potentiels. Ce médicament ne doit être prescrit que si une surveillance adéquate du patient peut être assurée pendant le traitement. Le suivi thérapeutique pharmacologique, fondé sur le dosage sanguin des métabolites 6-TGN et 6-MMPN peut également être utile dans certains cas (toxicités, inefficacité).
Une cholestase gravidique a été occasionnellement associée au traitement par azathioprine (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement). Une surveillance des taux de 6-méthyl-mercaptopurine (6-MMP) doit être envisagée si la mère présente un prurit associé à une élévation des taux sériques totaux d'acides biliaires pendant le second trimestre de la grossesse, afin d'établir un diagnostic précoce et de minimiser l'impact sur le foetus. En présence d'une cholestase gravidique, une évaluation individuelle est nécessaire en tenant compte du rapport bénéfice/risque du produit (possibilité d'arrêt du traitement/de réduction de la dose).
Toxicité hématologique :
En raison du potentiel hématotoxique de l'Imurel, la posologie d'entretien doit être réduite au minimum en fonction de la réponse clinique et de la tolérance hématologique. Chez tous les patients, l'hémogramme doit être contrôlé avant la mise en place du traitement et toutes les semaines au cours des huit premières semaines de traitement. Cette surveillance devra être maintenue au cours du traitement, à intervalles réguliers : il est conseillé de vérifier l'hémogramme mensuellement, ou au plus tous les trois mois.
De plus, les patients traités par Imurel doivent être informés de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin en cas d'infection, d'hématome ou de saignement inexpliqué, ou de toutes autres manifestations de myélosuppression.
Déficit en thiopurine S-méthyltransférase (TPMT) :
Chez les patients présentant un déficit génétique en S-thiopurine méthyltransférase (activité enzymatique partielle chez environ 10% des sujets caucasiens et activité indétectable chez environ 0.6% des sujets caucasiens), le risque de myélosuppression sévère, précoce et potentiellement fatale, après l'initiation du traitement, est fortement majoré.
Le dépistage des sujets ayant un déficit génétique en TPMT, par phénotypage ou génotypage de la TPMT, est recommandé avant le début du traitement, afin d'identifier ces sujets à très haut risque de toxicité hématologique. Les variants alléliques TPMT*2, TPMT*3A et TPMT*3C représentent environ 90-95% des variants alléliques retrouvés chez les sujets caucasiens.
Des adaptations posologiques sont proposées chez ces patients ayant un déficit génétique en TPMT afin de prévenir ce risque (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Cependant, le déficit génétique en TPMT ne permet pas de prévenir la survenue de l'ensemble des cas de myélosuppression sévère. Ainsi, une surveillance étroite de la formule sanguine reste nécessaire dans tous les cas.
Ce risque de myélosuppression peut être exacerbé par la co-administration de médicaments inhibant la TPMT, comme l'olsalazine, la mésalazine, ou la sulfasalazine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Toxicité hépatique :
En raison du potentiel hépatotoxique de l'Imurel, un bilan hépatique doit être effectué avant le début du traitement et une surveillance mensuelle de la fonction hépatique doit être réalisée au cours des 3 premiers mois de traitement, puis tous les 3 mois par la suite. Les patients traités par l'Imurel doivent être informés de la nécessité de contacter immédiatement le médecin en cas d'ictère
Sensibilité aux infections :
Surveillance hématologique
Infection
Hématome
Saignement
Myélosuppression
Déficit en thiopurine méthyltransférase
Surveillance fonction hépatique
Ictère
Infection à virus Varicelle-Zona
Patient exposé au virus de la varicelle
LEMP
Hépatite B active
Anticorps de surface anti-hépatite B positifs
Exposition au soleil
Exposition aux UV
Syndrome lymphoprolifératif
Syndrome d'activation macrophagique
Infection par EBV
Infection à CMV
Patient porteur d'une mutation héréditaire du gène NUDT15
Insuffisant rénal
Insuffisant hépatique
Hépatotoxicité
Hématotoxicité
Sujet âgé
Patiente en âge de procréer
Homme fertile
Nouveau-né de mère traitée
Manifestation d'hypersensibilité
Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés.
Interactions communes à tous les cytotoxiques :
Associations contre-indiquées (voir rubrique Contre-indications)
+ Vaccin vivants atténués
Risque de maladie vaccinale généralisée mortelle et jusqu'à au moins six mois après l'arrêt de la chimiothérapie
Associations déconseillées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)
+ Phénytoïne, fosphénytoïne
Risque de survenue de convulsions par diminution de l'absorption digestive de la seule phénytoïne par le cytotoxique, ou bien risque de majoration de la toxicité ou de perte d'efficacité du cytotoxique par augmentation de son métabolisme hépatique par la phénytoïne ou la fosphénytoïne.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Antivitamines K
Diminution de l'effet de l'anticoagulant oral par augmentation de son métabolisme hépatique.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral à la mise en route du traitement par azathioprine et après son arrêt.
Associations à prendre en compte
+ Immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus, évérolimus, sirolimus, temsirolimus)
Immunodépression excessive avec risque lymphoprolifératif
Interactions spécifiques à l'azathioprine :
Associations contre-indiquées (voir rubrique Contre-indications)
+ Inhibiteurs de xanthine oxydases (allopurinol, oxipurinol/thiopurinol, fébuxostat)
Insuffisance médullaire réversible mais éventuellement grave. D'après les données non cliniques, d'autres inhibiteurs de la xanthine oxydase, comme le fébuxostat, peuvent prolonger l'activité de l'azathioprine, résultant potentiellement en une exacerbation de la myélosuppression. L'administration concomitante est déconseillée, dans la mesure où les données sont insuffisantes pour déterminer une réduction de dose adéquate d'azathioprine.
Associations déconseillées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)
+ Ribavirine
Risque majoré d'effets indésirables graves, par inhibition du métabolisme de l'azathioprine par la ribavirine.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
Associations à prendre en compte
+ Dérivés de l'acide aminosalicylique (mésalazine, olsalazine, PAS, sulfasalazine)
Risque de majoration de l'effet myélosuppresseur de l'immunomodulateur par inhibition de son métabolisme hépatique par le dérivé de l'ASA, notamment chez les sujets présentant un déficit partiel en thiopurine méthyltransférase (TPMT)
+ Curarisants
Il est cliniquement prouvé que l'azathioprine antagonise l'effet des myorelaxants non dépolarisants. Des données expérimentales confirment que l'azathioprine inverse le blocage neuromusculaire produit par les agents non dépolarisants, et montrent que l'azathioprine potentialise le blocage neuromusculaire produit par les agents dépolarisants (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentIMUREL_07102015_AVIS_CT14538
Télécharger le documentMise au point sur l'interaction médicaments et jus de pamplemousse
Télécharger le documentLactose monohydraté, Amidon de maïs, Stéarique acide, Amidon, Magnésium stéarate, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 400, Titane dioxyde, Fer oxyde, Fer oxyde
HAC PHARMA
Péricentre 2 43 - 45 avenue de la Côte de Nacre CS 15236
14000
CAEN CEDEX 4
Code UCD7 : 9270729
Code UCD13 : 3400892707297
Code CIS : 64841852
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : ASPEN PHARMA TRADING LTD
Laboratoire exploitant : HAC PHARMA
Prix vente TTC : 8.43€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 8.43€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 22/04/2004
Rectificatif AMM : 16/12/2022
Marque : IMUREL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400936414327
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible