DIAMICRON

Principes actifs : Gliclazide

Les gammes de produits

DIAMICRON 60 mg cp LM séc

Non remboursé

Sur prescription seulement

Diabète non insulinodépendant

Forme :

 Comprimé sécable à libération modifiée

Catégories :

 Métabolisme et nutrition, Antidiabétiques systémiques, insulines exclues, Sulfamides hypoglycémiants, Gliclazide

Principes actifs :

 Gliclazide

Posologie pour DIAMICRON 60 mg cp LM séc

Indications

Diabète non insulinodépendant

Posologie

Adulte de plus de 18 ans . Diabète non insulinodépendant (implicite)
2 comprimés au moment du petit-déjeuner à avaler sans croquer avec un verre d'eau. Maximum 2 comprimés par jour.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

ARRÊTER le traitement et CONTACTER IMMÉDIATEMENT un MÉDECIN en cas de réactions cutanées  telles que:

-  éruption pouvant évoluer vers la formation généralisée de cloques ou une desquamation de la peau.

-  rougeurs,

-  démangeaisons,

-  urticaire,

-  cloques,

-  angio-œdème (gonflement rapide des tissus tels que les paupières, le visage, les lèvres, la bouche, la langue ou la gorge pouvant entraîner des difficultés respiratoires)

CONSULTER IMMÉDIATEMENT UN MÉDECIN en cas de coloration jaune des yeux et de la peau.

SURVEILLER régulièrement le taux de sucre dans le sang (et éventuellement dans l'urine) pendant le traitement.
SUIVRE le régime alimentaire conseillé, et avoir une activité physique.
EN CAS D'HYPOGLYCEMIE, risque d'apparition de : maux de tête, sensation de faim, pâleur, faiblesse, épuisement, nausées, vomissements, fatigue, somnolence, troubles du sommeil, agitation, agressivité, difficultés de concentration, diminution de la vigilance et augmentation du temps de réaction, dépression, confusion, troubles de la parole ou de la vision, tremblements, troubles sensoriels, étourdissements et sensation d'impuissance ; transpiration, peau moite et froide, anxiété, fréquence cardiaque rapide ou irrégulière, tension artérielle élevée et forte douleur subite dans la poitrine qui peut irradier dans les régions avoisinantes (angine de poitrine).
Si le taux de sucre continue à diminuer : confusion sévère (délire), convulsions, anomalies du comportement (perte de maîtrise de soi), respiration superficielle et fréquence cardiaque ralentie avec éventuellement perte de connaissance aboutissant à un coma.
CONSOMMER IMMÉDIATEMENT certaines formes de sucre, par exemple des morceaux de sucre (à avoir toujours sur soi), du jus de fruit sucré ou du thé sucré. En l'absence d'amélioration CONSULTER IMMÉDIATEMENT UN MÉDECIN OU L'HÔPITAL LE PLUS PROCHE.
EN CAS D'HYPERGLYCEMIE, risque d'apparition de : soif, besoin fréquent d'uriner, sécheresse buccale, peau sèche et qui démange, infections cutanées et baisse de performance. CONSULTER UN MÉDECIN.
ÉVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

NE PAS PRENDRE de préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (troubles visuels, hypoglycémie, hyperglycémie).

 


Contre-indications pour DIAMICRON 60 mg cp LM séc

  • Diabète de type 1
  • Précoma diabétique
  • Coma diabétique
  • Acidocétose diabétique
  • Insuffisance rénale sévère
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Allaitement
  • Enfant de moins de 6 ans
  • Patient de moins de 18 ans
  • Grossesse
  • Femme envisageant une grossesse
  • Consommation d'alcool
  • Déficit en G6PD
  • Intolérance au lactose

Effets indésirables pour DIAMICRON 60 mg cp LM séc

Niveau d’apparition des effets indésirables

Fréquent

Agitation

Agressivité

Angor

Anxiété

Bradycardie

Céphalée

Convulsions

Fatigue

Hypertension

Hypoglycémie

Palpitation

Tachycardie

Vertige

Dépression

Coma

Hypersudation

Arythmie

Confusion

Délire

Baisse de la vigilance

Somnolence

Tremblement

Difficulté de concentration

Perte de connaissance

Nausée

Vomissement

Trouble du sommeil

Aphasie

Trouble de l'élocution

Parésie

Respiration superficielle

Perte de maîtrise de soi

Diminution des réactions

Faim intense

Trouble de la vision

Peau moite et froide

Trouble sensoriel

Sensation d'impuissance

Constipation

Diarrhée

Douleur abdominale

Dyspepsie

Anémie

Erythème

Hépatite

Leucopénie

Maladie auto-immune

Thrombopénie

Urticaire

Eruption cutanée médicamenteuse

Elévation des phosphatases alcalines

Syndrome de Stevens-Johnson

Eosinophilie

Eruption maculopapuleuse

Angio-oedème

Ictère cholestatique

Elévation des ALAT

Elévation des ASAT

Granulocytopénie

Nécrolyse épidermique toxique

Prurit cutané

Rash cutané

Syndrome DRESS

Anémie hémolytique

Cholestase

Hyponatrémie

Ictère

Insuffisance hépatique

Insuffisance rénale

Agranulocytose

Augmentation des enzymes hépatiques

Vascularite allergique

Pancytopénie

Erythropénie

Porphyrie aiguë


Selon l'expérience clinique avec le gliclazide, les effets indésirables suivants ont été rapportés :

L'effet indésirable le plus fréquent avec le gliclazide est l'hypoglycémie.

Comme pour les autres sulfamides hypoglycémiants, le traitement par DIAMICRON peut entraîner une hypoglycémie, en particulier en cas de repas pris à intervalles irréguliers et en cas de saut d'un repas.

Les symptômes éventuels sont : céphalées, faim intense, nausées, vomissements, fatigue, troubles du sommeil, agitation, agressivité, diminution de la concentration, de la vigilance et des réactions, dépression, confusion, troubles visuels et troubles de la parole, aphasie, tremblements, parésie, troubles sensoriels, vertiges, sensation d'impuissance, perte de maîtrise de soi, délire, convulsions, respiration superficielle, bradycardie, somnolence, perte de connaissance voire coma et pouvant conduire à une issue fatale.

D'autre part, des signes de contre-régulation adrénergiques peuvent être observés : hypersudation, peau moite, anxiété, tachycardie, hypertension, palpitations, angor et arythmie cardiaque.

Les symptômes disparaissent en général après la prise d'hydrates de carbone (glucides). Par contre, les édulcorants artificiels n'ont aucun effet. L'expérience avec les autres sulfamides hypoglycémiants montre que malgré des mesures initialement efficaces, une hypoglycémie peut récidiver.

En cas d'hypoglycémie sévère ou prolongée, même temporairement contrôlée par une absorption de sucre, un traitement médical immédiat voire une hospitalisation peuvent s'imposer.

Autres effets indésirables 

Des troubles gastro-intestinaux à type de douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhées, constipation, ont été rapportés ; ils peuvent être évités ou diminués si le traitement est pris pendant le petit-déjeuner.

Les effets indésirables suivants ont été plus rarement rapportés :

· Eruptions cutanéo-muqueuses : rash, prurit, urticaire, angio-oedème, érythème, éruptions maculopapuleuses, réactions bulleuses (tels que le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique et maladies auto-immune bulleuses), et exceptionnellement, syndrome DRESS (éruption médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques).

· Troubles hématologiques : ils sont rares et incluent anémie, leucopénie, thrombocytopénie, granulocytopénie. Ces anomalies sont généralement réversibles à l'arrêt du traitement.

· Troubles hépato-biliaires : élévation des enzymes hépatiques (ASAT, ALAT, phosphatases alcalines), hépatites (cas isolés). Interrompre le traitement en cas d'apparition d'un ictère cholestatique. En règle générale, ces symptômes régressent à l'arrêt du traitement.

· Troubles visuels : des troubles visuels transitoires dus aux variations de la glycémie peuvent survenir en particulier lors de l'instauration du traitement.

Effets de classe :

Comme pour les autres sulfamides hypoglycémiants, les effets indésirables suivants ont été observés : érythrocytopénie, agranulocytose, anémie hémolytique, pancytopénie, vascularite allergique, hyponatrémie, augmentation du taux des enzymes hépatiques, insuffisance hépatique (cholestase et ictère) voire hépatite qui ont régressé à l'arrêt du traitement ; seuls quelques cas ont conduit à une insuffisance hépatique mettant en jeu le pronostic vital.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le DIAMICRON 60 mg cp LM séc

Grossesse

Il n'existe pas de donnée ou des données limitées (moins de 300 grossesses) sur l'utilisation du gliclazide chez la femme enceinte ; peu de données existent avec d'autres sulfonylurées.

Chez l'animal, le gliclazide n'est pas tératogène (voir section Données de sécurité précliniques).

Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter d'utiliser le gliclazide pendant la grossesse.

Le contrôle du diabète doit être obtenu avant la conception afin de réduire les risques de malformations congénitales dus à un diabète mal équilibré.

Pendant la grossesse, les antidiabétiques oraux ne sont pas appropriés, l'insuline constitue alors le traitement de choix du diabète. Il est recommandé d'effectuer le relais de l'antidiabétique oral par l'insuline lorsqu'une grossesse est envisagée ou dès la découverte de celle-ci.

Allaitement

L'excrétion de gliclazide ou de ses métabolites dans le lait maternel n'est pas connue. Compte tenu du risque d'hypoglycémie néonatale, le gliclazide est par conséquent contre-indiqué chez la femme qui allaite.

Un risque chez le nouveau-né/nourrisson ne peut être exclu.

Fertilité

Aucun effet sur la fertilité ou la reproduction n'a été observé chez les rats mâles et femelles (voir rubrique Données de sécurité précliniques).


Mise en garde pour DIAMICRON 60 mg cp LM séc

Mise en garde

Hypoglycémies :

Ce traitement ne sera prescrit que si le patient est susceptible de s'alimenter régulièrement (y compris prise de petit-déjeuner). Il est important d'absorber régulièrement des hydrates de carbone, le risque d'hypoglycémie étant majoré en cas de repas pris tardivement, d'alimentation insuffisante ou pauvre en hydrates de carbone. L'hypoglycémie peut survenir plus particulièrement en période de régime hypocalorique, après un effort important ou prolongé, après ingestion d'alcool, ou lors de l'administration d'une association d'agents hypoglycémiants.

Des hypoglycémies peuvent survenir après administration de sulfamides hypoglycémiants (voir rubrique Effets indésirables). Certains épisodes peuvent être sévères et prolongés. Une hospitalisation peut alors s'avérer nécessaire et le resucrage doit être éventuellement poursuivi sur plusieurs jours.

Une sélection soigneuse des patients, de la dose utilisée ainsi qu'une information adéquate du patient sont nécessaires pour diminuer le risque d'hypoglycémies.

Facteurs favorisant le risque d'hypoglycémie :

· Refus ou incapacité du patient à coopérer (particulièrement chez les sujets âgés) ;

· Malnutrition, horaire irrégulier des repas, repas sauté, période de jeûne ou modification du régime ;

· Déséquilibre entre exercice physique et prise d'hydrates de carbone ;

· Insuffisance rénale ;

· Insuffisance hépatique sévère ;

· Surdosage en DIAMICRON®;

· Certains troubles endocriniens : troubles thyroïdiens, insuffisance hypophysaireet surrénale ;

· Administration concomitante d'autres médicaments (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Insuffisances rénale et hépatique : la pharmacocinétique et/ou la pharmacodynamie du gliclazide peuvent être modifiées chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou une insuffisance rénale sévère. Chez ces patients, l'hypoglycémie pouvant être prolongée, une prise en charge appropriée doit être instituée.

Information du patient :

Les risques d'hypoglycémie, ses symptômes (voir rubrique Effets indésirables), son traitement, ainsi que les conditions qui y prédisposent, doivent être expliqués au patient et à sa famille.

Le patient doit être informé en particulier de l'importance du respect du régime alimentaire, de la nécessité d'effectuer un exercice physique régulier et de contrôler régulièrement la glycémie.

Déséquilibre glycémique :

L'équilibre glycémique d'un patient traité par un antidiabétique oral peut être modifié en cas de survenue des événements suivants : administration concomitante de préparations à base de Millepertuis (Hypericum perforatum) (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions), fièvre, traumatisme, infection ou intervention chirurgicale.

Dans certains cas, il peut être nécessaire de recourir à l'insuline.

L'efficacité hypoglycémiante de tout antidiabétique oral, y compris le gliclazide, peut s'atténuer au cours du temps chez de nombreux patients : ceci peut être lié à une aggravation du diabète ou à une diminution de la réponse au traitement. Ce phénomène est appelé échec secondaire pour le distinguer de l'échec primaire, dans lequel le médicament est inefficace dès la première utilisation. Avant de classer un patient parmi les échecs secondaires, on évaluera les possibilités d'ajustement de la dose et du suivi du régime alimentaire.

Dysglycémie :

Des perturbationsde la glycémie, dont hypoglycémie ethyperglycémie,ont été rapportéeschez des patientsdiabétiques recevantun traitement concomitant parfluoroquinolones, en particulier chez les patients âgés. Ainsi, un suivi attentif de la glycémieest recommandé chez tous les patients recevantsimultanémentDIAMICRON60mgetune fluoroquinolone.

Analyses biologiques :

La mesure du taux d'hémoglobine glyquée (ou de la glycémie à jeun) est recommandée pour évaluer le contrôle glycémique. Une autosurveillance glycémique peut aussi être pratiquée.

Les médicaments de la classe des sulfonylurées sont susceptibles d'entraîner une anémie hémolytique chez les sujets porteurs d'un déficit enzymatique en G6PD (glucose-6-phosphate déshydrogènase). Le gliclazide appartenant à cette classe, des précautions doivent être prises chez les patients déficients en G6PD et un traitement appartenant à une autre classe thérapeutique que les sulfonylurées doit être envisagé.

Patients porphyriques :

Des cas de porphyrie aiguë ont été décrits avec d'autres médicaments de la classe des sulfonylurées chez les patients atteints de porphyrie.

Excipients :

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares).

Précautions d'emploi

Hypoglycémie

Malnutrition

Régime hypocalorique

Exercice physique intense

Jeûne

Modification des habitudes alimentaires

Insuffisance rénale légère à modérée

Insuffisance hépatique légère à modérée

Dysfonctionnement thyroïdien

Insuffisance hypophysaire

Insuffisance surrénale

Fièvre

Traumatisme récent

Infection

Intervention chirurgicale

Surveillance hémoglobine glycosylée

Surveillance glycémie

Coronaropathie sévère

Atteinte carotidienne sévère

Maladie vasculaire

Ictère cholestatique

Porphyrie

Interaction avec d'autre médicaments

Les produits suivants sont susceptibles de majorer l'hypoglycémie

Associations contre-indiquées

·         Miconazole (voie générale, gel buccal)

Augmentation de l'effet hypoglycémiant           avec survenue possible de manifestations hypoglycémiques, voire de coma.

Associations déconseillées

·         Phénylbutazone (voie générale)

Augmentation de l'effet hypoglycémiant des sulfamides hypoglycémiants (déplacement de leurs liaisons aux protéines plasmatiques et /ou diminution de leur élimination).

Utiliser de préférence un autre anti-inflammatoire sinon prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance : adapter s'il y a lieu la posologie pendant le traitement par l'anti-inflammatoire et après son arrêt.

·         Alcool

Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation) pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

·         Du fait de la majoration de l'effet hypoglycémiant, dans certains cas, des hypoglycémies peuvent survenir lors d'un traitement concomitant par les médicaments suivants :

Autres antidiabétiques (insuline, acarbose, metformine, thiazolidinediones, inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4, agonistes des récepteurs GLP-1), bêta-bloquants, fluconazole, inhibiteur de l'enzyme de conversion (captopril, énalapril), antagonistes des recepteurs-H2, IMAO, sulfonamides, clarithromycine et anti-inflammatoires non stéroïdiens.

Les produits suivants risquent d'entraîner une augmentation de la glycémie.

Associations déconseillées

·         Danazol

Effet diabétogène du danazol.

Si l'association ne peut être évitée, prévenir le patient et renforcer la surveillance glycémique et urinaire.

Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par le danazol et après son arrêt.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

·         Chlorpromazine (neuroleptiques)

À fortes posologies (> 100 mg par jour de chlorpromazine), élévation de la glycémie (diminution de la libération d'insuline).

Prévenir le patient et renforcer la surveillance glycémique. Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par le neuroleptique et après son arrêt.

·         Glucocorticoïdes (voies générale et locale : intra-articulaire, cutanée et lavement rectal) et tétracosactide:

Elévation de la glycémie avec parfois cétose (diminution de la tolérance aux glucides par les corticoïdes).

Prévenir le patient et renforcer la surveillance glycémique, surtout en début de traitement. Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par les corticoïdes et après leur arrêt.

·         Ritodrine, salbutamol, terbutaline :

(Voie I.V.)

Elévation de la glycémie par les bêta-2 stimulants.

Renforcer la surveillance glycémique. Passer éventuellement à l'insuline.

·         Préparations à base de Millepertuis (Hypericum perforatum)

L'exposition au gliclazide est diminuée par le Millepertuis (Hypericum perforatum), d'où l'importance de surveiller la glycémie.

Les produits suivants peuvent causer une dysglycémie :

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

·         Fluoroquinolones :

Dans le cas d'une utilisation concomitante de Diamicron 60 mg avec une fluoroquinolone, le patient doit être prévenu du risque de dysglycémie et la surveillance de la glycémie doit être renforcée.

Associations à prendre en compte

·         Anticoagulants (warfarine….)

Les sulfamides hypoglycémiants peuvent entraîner une majoration de l'effet anticoagulant pendant le traitement.

Une adaptation de la posologie de l'anticoagulant peut être nécessaire


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Excipients

Lactose, Maltodextrine, Hypromellose, Magnésium stéarate, Silice

Exploitant / Distributeur

MEDIWIN LIMITED

Code UCD7 : 9397654

Code UCD13 : 3400893976548

Code CIS : 60150830

T2A médicament : Non

Laboratoire exploitant : MEDIWIN LIMITED

Prix vente TTC : Non communiqué

Taux de TVA : 10%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 0€

Taux SS : 0%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PHN

Date AMM : 21/05/2013

Rectificatif AMM : 06/03/2020

Marque : DIAMICRON

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400949000241

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

DIAMICRON 60 mg, comprimé sécable à libération modifiée, boîte de 100 (détails indisponibles)

Comprimé sécable à libération modifiée

DIAMICRON 60 mg, comprimé sécable à libération modifiée, boîte de 30

Comprimé sécable à libération modifiée

DIAMICRON 60 mg, comprimé sécable à libération modifiée, boîte de 30 (IP1)

Comprimé sécable à libération modifiée

DIAMICRON 60 mg, comprimé sécable à libération modifiée, boîte de 30 (IP2)

Comprimé sécable à libération modifiée